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🔵 #ENQUETE

La « maison qui saigne » de Saint-Quentin est-elle hantée ? Révélations sur une supercherie vieille de 40 ans

#paranormal #mystère #poltergeist

actu.fr/hauts-de-fra...
L'histoire s'appuie sur une femme pas forcément bien dans sa peau, un mari naïf, des policiers qui enquêtent le jour et font la fête le soir avec le couple, à une époque où les histoires de maisons hantées faisaient recette dans les médias.
Alors que s'est-il passé en 1986 dans cette petite maison d'une cité ouvrière ? On a remonté le fil de cette curieuse affaire pour découvrir les ressorts d'une machination aux relents de secret de famille un peu gênant.
Régulièrement, des images de la maison ressurgissent sur les réseaux sociaux. Nous avons visité cette maison, qui n'a rien d'étrange. La locataire s'en amuse tout de même. Comme tous les autres avant elle, aucun ectoplasme n'est venu la déranger.
La séquence de 18 minutes a popularisé la légende et laissé des traces à Saint-Quentin. Le voisinage en a marre des curieux et des journalistes, toujours à l'affût après tout ce temps.
« J'ai peur qu'un jour on filme l'intérieur par la fenêtre », confie l'actuelle locataire.
Reportage truffé d'approximations, constate-t-on d'aujourd'hui. D'anciens membres de la production reconnaissent d'ailleurs aujourd'hui que le but était de faire du spectacle et non de montrer la vérité.
L'affaire, qui a duré trois semaines selon leur récit, a connu un coup de projecteur inespéré en 1992, pour la première de l'émission Mystères sur TF1. Un reportage, mis en scène comme un film d'horreur de série B, montrait la curieuse expérience du couple. @tf1info.bsky.social
Saint-Quentin (Aisne) est habité par une légende vieille de 40 ans. Dans les années 1980, un couple rapportait vivre des phénomènes étranges chez lui : bruits suspects à la nuit tombée, murs qui saignent.
🔵 #ENQUETE

La « maison qui saigne » de Saint-Quentin est-elle hantée ? Révélations sur une supercherie vieille de 40 ans

#paranormal #mystère #poltergeist

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Des avocats, interrogés par @enquetesactu.bsky.social, alerte sur ces pratiques flirtant parfois avec l'abus de faiblesse.
🗣️ « Une nouvelle tendance de dominatrices est là pour pigeonner des hommes vulnérables, alerte Lady Saylie. La discipline en perd ses lettres de noblesse. »
Des soumis, qui y ont laissé des sommes importantes, ont raconté s'être déjà senti « abusés  ».
Certains se retrouvent sur la paille, à ne pas pouvoir boucler les fins de mois à cause de cette générosité frénétique.
🗣️« Des money miss contactent les hommes au moment de la paye pour les sécher le plus vite possible », raconte-t-on dans ce petit milieu.
Cette pratique ancienne attire désormais tout un tas d'opportunistes à la recherche d'argent facile. Hommes et femmes s'autoproclament dominateurs(trices) pour dépouiller des personnes parfois fragiles, victimes d'une certaine forme d'addiction.
Aucune autre contrepartie n'est attendue.

🗣️ « J’ai déjà eu un money slave qui m’avait fait pour 150 euros de courses. On s’est donné rendez-vous sur un parking, il les a mises dans le coffre de ma voiture. Il s’est agenouillé et je lui ai craché du Coca dans la bouche. »
Dans l'univers BDSM, un fétichisme connaît un essor particulier à travers les réseaux sociaux. Le money slave, ou domination financière, consiste pour un soumis à donner de l'argent à son maître ou sa maîtresse, juste par besoin de se faire humilier...
🔵 #ENQUETE

Ils se ruinent pour se faire humilier : le côté obscur du juteux business du fétichisme

#bdsm #moneyslave #domination

actu.fr/societe/ils-...

#Thread 🧶
Reposted by Enquêtes d'actu
En Eure-et-Loir, la @cgteduc.fr et @sudeducation.bsky.social mènent une campagne de recueil des DTA.

🗣️ "Certaines municipalités sont dans une position de défiance. C’est comme si vous réclamiez les codes de la dissuasion nucléaire !", déplore Thibaut Lemière de la #CGT.
🗣️ "Beaucoup d’écoles appartiennent à de petites communes dont les moyens sont rarement à la hauteur d’un problème comme l’amiante", explique Aurélie Gagnier, porte-parole de la @fsu-snuipp.bsky.social.

Résultat, "des diagnostics pas forcément faits ou pas forcément tenus à jour".
Ainsi, moins de la moitié des écoles bâties avant 1997 confirment disposer d'un DTA, selon l'enquête nationale #amiante du ministère de l'@education.gouv.fr, dont nous révélons un bilan provisoire, établi juste avant la rentrée 2025 ⤵️