Des trentenaires New yorkais refont le monde à l'heure des réseaux sociaux jusqu'à ce que l'escalade géopolitique et la stupeur frappent à leur porte. Des pages d'anticipation apocalyptique tétanisantes jusque dans ce portrait de la médiocrité ordinaire, qui perdure dans cette angoisse de la fin.
Témoignage glaçant d’une ex-employée de Capricci à l’encontre de Thierry Lounas et Claire Bonnefoy (son employeur et la compagne de son employeur). Tout le reste de l’article est effroyable.
C'est en revoyant le film hier que j'ai compris qu'il s'agissait de la même personne derrière les deux BO, aux sonorités différentes et riches en textures variées. Le choeur voluptueux qui accompagne l'ouverture de Sorry, baby; pfiou, les frissons devant l'écran de cinéma.
Je suis tombé par hasard sur ces belles images en 16mm de Kurihara Hayato et Hidaka Yukito, filmés par le directeur de la photographie Bill Kirstein (Opus) lors des essais pour évaluer l'alchimie entre les deux interprètes de Happyend. Le tout accompagné de la musique de Lia Ouyang Rusli.
Et Neo sora enchaine derrière avec l'introduction de ce groupe de lycéens au caractère bien trempé, qu'on suivra tout au long de Happyend, essayant de resquiller pour assister à un set musical techno brute en apesanteur animé par le DJ ¥ØU$UK€ ¥UK1MAT$U en personne.
Lia Ouyang Rusli, c'est la découverte coup de cœur en composition musicale ces derniers temps; musicienne derrière les superbes BO de Sorry, baby d'Eva Victor et Happyend de Neo Sora.
Quand happyend démarre sur une intro de ce calibre enveloppant Tokyo de nuit, ça pose tout de suite une ambiance.
Marie"Claire : Le cancer du sein, le courage des hommes. 💀
Ok bah parlons-en du courage des hommes : Après l'annonce d'un cancer, 20,8 % de femmes sont quittée par leur mec. Seuls 2,9% des hommes sont quittés après un diagnostic. Le courage des hommes. 🚮
Triste à dire mais les grosses productions coréennes n'ont que peu d'attrait depuis un certain temps à quelques exceptions près. Tant pis pour l'unique séance de 1987: when the day comes; j'ai le film en blu-ray et je préfère donner la priorité à Home behind the bars de Cha Jeong-yoon.
Quasiment pas de productions mainstream au programme perso hormis Yadang: the snitch - thriller exubérant avec Mo Ga-lee à la photo - et peut-être le rattrapage de The truth beneath. Bien que Lee Sang-geum soit aux manettes, Pretty crazy a tout de la romcom poussive sur-eclairée et repoussoir.
Planning fait pour le FFCP, 7 séances verrouillées avec 2 autres en supplément si je trouve la motivation. Pas plus de 2 films par jour principalement issus de la section paysage avec des cinéastes émergent(e)s, ce qui est de loin la meilleure partie du festival comme de coutume.
We were lucky to have a screening of Memories to Choke on, Drinks to Wash Them Down last year, during the Portrait de Hong Kong event at Forum des images in Paris.
Je ne suis encore jamais allé à cet endroit. Est-ce qu'il y a des pubs avant le début du film et pendant combien de temps? J'essaie d'organiser mon emploi du temps de l'aprèm, y a peut-être moyen que je fasse une séance.
Internet do your thing, please 🙌 Pour un groupe de mes étudiant.e.s (M2): on cherche un.e expert.e dans le domaine des techniques d'agriculture résistantes à la salinisation (jardins suspendus, irrigation, hydroponique) dispo une petite heure pour un entretien sur le sujet.
Et je me plais à rêver de la sortie d'autres films Daiei de ce cinéaste de génie qu'était Misumi Kenji, dont la fabuleuse comédie satirique Les combinards des pompes funèbres avec Katsu, des mélodrames ciselés au cordeau comme La famille matrilinéaire et autres jidaigeki sidérants.