La majorité optimise “à l’aveugle”.
Les meilleures segmentent tout :
- par canal d’acquisition
- par type de plan
- par vitesse d’activation
- par cas d’usage initial
- par 1er produit ht
La majorité optimise “à l’aveugle”.
Les meilleures segmentent tout :
- par canal d’acquisition
- par type de plan
- par vitesse d’activation
- par cas d’usage initial
- par 1er produit ht
Voilà le cas qu’on a vu sur une marque:
- les clients “2 achats / an” décrochent fortement : –18 %, –22 %, –14 % sur trois mois
- et pourtant les nv. clients / réactivés progressent : +7 %, +5 %, +9 %
Voilà le cas qu’on a vu sur une marque:
- les clients “2 achats / an” décrochent fortement : –18 %, –22 %, –14 % sur trois mois
- et pourtant les nv. clients / réactivés progressent : +7 %, +5 %, +9 %
1er réflexe → comparer l’évolution de vos nouveaux clients et de vos repeat.
Souvent ça permet d'identifier:
un problème de produit
un assortiment mal calibré
ou une promesse qui n’attire plus les bons profils
1er réflexe → comparer l’évolution de vos nouveaux clients et de vos repeat.
Souvent ça permet d'identifier:
un problème de produit
un assortiment mal calibré
ou une promesse qui n’attire plus les bons profils
En plus, ça convertit mal
puisque c’est un mélange de profils qui n’ont rien à voir entre eux.
En plus, ça convertit mal
puisque c’est un mélange de profils qui n’ont rien à voir entre eux.
Elle a besoin de données bien structurées, d’objectifs clairs… et d’humains qui comprennent le business.
Sans ça, même les meilleurs algos optimisent dans le vide.
Elle a besoin de données bien structurées, d’objectifs clairs… et d’humains qui comprennent le business.
Sans ça, même les meilleurs algos optimisent dans le vide.
Ils font du volume.
Mais ils ne remboursent jamais leur CAC.
Et pourtant :
le CRM les retarget
les campagnes les arrosent
les équipes les sur-servent…pour 3 % de conversion.
Ils font du volume.
Mais ils ne remboursent jamais leur CAC.
Et pourtant :
le CRM les retarget
les campagnes les arrosent
les équipes les sur-servent…pour 3 % de conversion.
Comparez le repeat à 90–180 jours des acheteurs BF/CM avec celui du reste de vos clients.
S’ils sous-performent → réduisez les remises.
Gardez le site ouvert,
mais arrêtez de brader pour protéger vos marges.
Comparez le repeat à 90–180 jours des acheteurs BF/CM avec celui du reste de vos clients.
S’ils sous-performent → réduisez les remises.
Gardez le site ouvert,
mais arrêtez de brader pour protéger vos marges.
On en parle ?
Ils annonçaient un “CA record”.
Puis on creuse :
- des produits offerts comptés comme du revenu
- des remises traitées comme de la valeur créée
- des lignes gonflées par du chiffre… qui n’existe pas
On en parle ?
Ils annonçaient un “CA record”.
Puis on creuse :
- des produits offerts comptés comme du revenu
- des remises traitées comme de la valeur créée
- des lignes gonflées par du chiffre… qui n’existe pas
Bonne semaine à tous !
Bonne semaine à tous !
Et pourtant, les taux de repeat baissent.
Parce que la technologie optimise la communication,
mais pas la motivation d’achat
La fidélisation naît d’une XP cohérente,
pas d’un workflow automatisé.
Et pourtant, les taux de repeat baissent.
Parce que la technologie optimise la communication,
mais pas la motivation d’achat
La fidélisation naît d’une XP cohérente,
pas d’un workflow automatisé.
Sur plusieurs marques analysées :
- Les meilleurs nouveaux clients ont jusqu’à 36 % de probabilité de rachat dans l’année.
- Les moins bons, à peine 8 %.
Ce qui compte, c’est la qualité des clients que vous recrutez.
Sur plusieurs marques analysées :
- Les meilleurs nouveaux clients ont jusqu’à 36 % de probabilité de rachat dans l’année.
- Les moins bons, à peine 8 %.
Ce qui compte, c’est la qualité des clients que vous recrutez.
Un client acquis à -40% n’est pas un client gagné.
C’est un client loué à prix fort.
La vraie victoire, c’est de l’amener à racheter plein tarif.
Sinon, votre croissance est juste une dette cachée.
Un client acquis à -40% n’est pas un client gagné.
C’est un client loué à prix fort.
La vraie victoire, c’est de l’amener à racheter plein tarif.
Sinon, votre croissance est juste une dette cachée.
Les bonnes regardent leur ROAS.
Les meilleures regardent la Valeur Future cumulée de leur base client à 12 mois.
Les bonnes regardent leur ROAS.
Les meilleures regardent la Valeur Future cumulée de leur base client à 12 mois.
Ce n’est pas le chiffre d’affaires.
C’est la valeur cumulée des clients à 12 mois.
Ce chiffre raconte tout : acquisition, fidélisation, pricing, marge.
C’est votre vrai baromètre de performance durable.
Ce n’est pas le chiffre d’affaires.
C’est la valeur cumulée des clients à 12 mois.
Ce chiffre raconte tout : acquisition, fidélisation, pricing, marge.
C’est votre vrai baromètre de performance durable.
Certains attirent des clients « one-shot » qui ne rachètent jamais.
D’autres génèrent des clients à fort potentiel de repeat.
Le MRV (Merchandise Residual Value) : la capacité d’un produit à créer de la récurrence.
Certains attirent des clients « one-shot » qui ne rachètent jamais.
D’autres génèrent des clients à fort potentiel de repeat.
Le MRV (Merchandise Residual Value) : la capacité d’un produit à créer de la récurrence.
Identifiez les acheteurs “rapides”, allouez-leur budget et attention.
Les “lents” ?
Déplacez-les dans un workflow adapté ou arrêtez-d’y investir
Identifiez les acheteurs “rapides”, allouez-leur budget et attention.
Les “lents” ?
Déplacez-les dans un workflow adapté ou arrêtez-d’y investir
Sauf le client.
On parle de CRM, d’IA, de marketing automation.
Mais tant que le produit n’est pas désiré,
aucun outil ne crée la fidélité.
La fidélisation n’est pas un bouton à cliquer,
c’est une conséquence business.
Sauf le client.
On parle de CRM, d’IA, de marketing automation.
Mais tant que le produit n’est pas désiré,
aucun outil ne crée la fidélité.
La fidélisation n’est pas un bouton à cliquer,
c’est une conséquence business.
Par la promo → Volume fort, marge faible, fidélité quasi nulle.
Par la marque / le produit → Moins de volume, plus de marge, meilleure rétention.
Par l’expérience / la relation → Ces clients reviennent… et ramènent les autres.
Par la promo → Volume fort, marge faible, fidélité quasi nulle.
Par la marque / le produit → Moins de volume, plus de marge, meilleure rétention.
Par l’expérience / la relation → Ces clients reviennent… et ramènent les autres.
Le ROAS flatte l’ego, pas la marge.
Un x6 sur Meta ne veut rien dire si le client ne rachète pas.
Remplacez le ROAS par un LTV/CAC et votre stratégie change instantanément.
Le ROAS flatte l’ego, pas la marge.
Un x6 sur Meta ne veut rien dire si le client ne rachète pas.
Remplacez le ROAS par un LTV/CAC et votre stratégie change instantanément.
LTV ≠ fidélité.
Seul le LTV/CAC révèle la santé réelle d’un modèle.
Un bon marketer fait de la pub.
Un excellent marketer fait du profit.
LTV ≠ fidélité.
Seul le LTV/CAC révèle la santé réelle d’un modèle.
Un bon marketer fait de la pub.
Un excellent marketer fait du profit.
Regardez plutôt ce que ces clients valent à 12 mois.
Un LTV de 0,8× le CAC, c’est une victoire… pour Meta, pas pour vous.
Regardez plutôt ce que ces clients valent à 12 mois.
Un LTV de 0,8× le CAC, c’est une victoire… pour Meta, pas pour vous.
Le même client, recruté en mars ou en novembre, n’a pas la même rentabilité.
Les campagnes d’acquisition devraient être pilotées par la valeur future,
pas par le coût d’entrée.
#ecommerce #dnvb
Le même client, recruté en mars ou en novembre, n’a pas la même rentabilité.
Les campagnes d’acquisition devraient être pilotées par la valeur future,
pas par le coût d’entrée.
#ecommerce #dnvb
La vraie croissance vient de la rétention.
Et les chiffres le prouvent : c’est la rétention qui fait le succès ou l’échec d’un produit.
La vraie croissance vient de la rétention.
Et les chiffres le prouvent : c’est la rétention qui fait le succès ou l’échec d’un produit.