Erratum : le nouveau recours est examiné le 15 décembre et non le 11.

Un nouveau recours est examiné le 11 décembre.
Les opposant·es espèrent une annulation de l’autorisation environnementale, jugeant :

-le besoin non démontré,
-les impacts environnementaux majeurs,
-les alternatives insuffisamment étudiées,
-les atteintes à la biodiversité et à l’eau non compensées.

➡️ Un impact carbone négatif pendant 30 ans :

Le trafic aérien Toulouse–Paris s’effondre depuis 2019.

La LGV ne captera donc pas la clientèle initialement prévue.

Les émissions liées à la construction ne seront pas compensées avant plusieurs décennies.

➡️Une “autoroute ferroviaire” inutile :

Cette grande infrastructure qui traverse sans desservir la plupart des territoires.
Un projet destiné à une faible fréquentation, entraînant des billets potentiellement très chers.
Une logique de prestige plus que d’utilité réelle.

➡️ Un chantier déjà destructeur :

⚠️destruction massive de milieux naturels.

⚠️Des travaux réalisés en infraction, notamment dans le canal latéral non signalés à l’ARS.

➡️ Un financement européen présenté comme acquis… mais absent :

L’Union européenne a retiré ses financements jusqu’en 2028. Or, la convention prévoit que si l’Europe ne finance pas, ce seront les collectivités locales qui paieront la différence.

📣 Face aux lobbies et aux ingérences étrangères, les États membres dont la France n'ont plus que quelques jours pour se faire entendre : oui aux plans de transition climatique, oui à la responsabilité civile, et oui à un devoir de vigilance étendu à toute la chaîne de valeur !

Cette décision de la Médiatrice est un revers majeur pour l’Omnibus !

La Commission qu’elle doit mettre fin aux procédures opaques et non démocratiques utilisées pour réduire nos droits et nos protections, en particulier dans le cadre des différents paquets “omnibus” actuellement en cours.

Ces conclusions font suite à une plainte en avril 2025 déposée par un large groupe d'organisations de la société civile, dont les Amis de la Terre, dénonçant des processus opaques et dominés par les intérêts industriels, au détriment de l’intérêt général.

Ces révélations interviennent alors que la Médiatrice européenne a conclu que la @ec.europa.eu a violé des principes fondamentaux d’administration publique en préparant l'Omnibus I : transparence, inclusion des parties prenantes, prise de décision fondée sur des preuves.

bsky.app/profile/foee...

Pourquoi ces entreprises ne veulent pas de cette directive ?
Car elle ne veulent pas à avoir à rendre de compte sur leurs activités :
❌Exit les plans de transition climatique prévus par la directive.
❌Exit le devoir de vigilance tout au long des chaînes de production.

Cette attaque concertée et de grande ampleur de ces multinationales a une stratégie : faire des alliances entre droite et extrême droite.

Ces entreprises "majoritairement américaines ont pris en otage le processus législatif européen."
@somoamsterdam.bsky.social
www.somo.nl/the-secretiv...

Mozambique LNG : Société Générale et Crédit Agricole appelées à suivre le Royaume-Uni et à se retirer du projet -> découvrez notre communiqué de presse.

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