Mais, mais… en parcourant vos messages de la soirée, je viens de voir que vous aviez fait la même XD

Quand on se rêve Zohran Mamdani, mais que, en fait, on est le portrait d'Andrew Cuomo.

Merci pour Christian Chavassieux et son intervieweur Lloyd Chery. ☺️

You are absolutely right about Mr. Mamdani's religion.

However, from what I understand, Mr. Mamdani's proposals are now much closer to the radical left than to the Socialist Party in France.

Merci ! J'ai hâte de lire la critique dans le prochain Bifrost !

La saison 2 (finale ?) a été confirmée par Netflix et j'en suis ravi. Surtout que le Cliffhanger du dernier épisode me laisse un goût d'inachevé et une furieuse envie d'aller m'acheter les mangas pour savoir la fin 😜 9/9

Cette première saison m'a rappelé The Land of Tanabata avec l'histoire séculaire d'un village qui revient hanter un monde contemporain qui n'en a plus rien à faire des vieux dieux et esprits. 8/9

Ce qui m'a surtout retenu dans cette série c'est le parti pris graphique (qui rappelle Dorohedoro), le rythme, à la fois lent, contemplatif à certains moments et pourtant soutenu, les protagonistes tour à tour effrayants, tendres, amicaux, violents... bref, humains. 7/9

De plus, je ne m'attendais pas à la surprise de trouver une série animée japonaise écrite par un homme traitant aussi ouvertement d'amour entre garçons. C'est rafraichissant.
Toutefois, ceci n'est qu'un détail, même s'il est important. 6/9

Non, c'est bien une première saison psychologique sur l'identité, la perte, l'amitié et l'amour. Comme toujours, je suis sans doute trop vieux, le comportement des adolescents, erratique, cyclothymique, est assez dur pour moi à supporter et est pourtant très bien mis en scène. 5/9