Ashka
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J’aime bien les flims et le jeu vidéal
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En deux jours, mon #LastFourWatched est passé d’une liste qui sent du slip à un truc beaucoup plus présentable.
#LetterboxdFriday
Vendredi 13 Chapitre 8 Arco Jason Va en Enfer Jason X Bugonia L’Intermédiaire Vie Privée Wicked Partie 2
November 28, 2025 at 10:30 PM
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221-Wicked : Partie 2 (Jon M. Chu 2025 cinéma)
⭐️⭐️⭐️1/2❤️
Si cette suite, ou deuxième partie, du superbe Wicked sorti l’année dernière souffre du syndrome de l’acte 2 assez inhérent aux comédies musicales de Broadway, à savoir où les chansons les plus marquantes sont déjà passées, et le reste est un peu moins entraînant, on en sort malgré tout en ayant eu le sentiment d’avoir vu un très beaux spectacle, chatoyant et coloré (plus que dans la 1ere partie), le cœur broyé et les yeux tout mouillés. Cette seconde partie s’attache un peu plus au parcours de Glinda, son évolution et ses dilemmes moraux faces aux événements et à la réalité du monde qui l’entoure. La blonde naïve et pourrie-gâtée voie sa bulle éclater et en même temps, lui explose au visage la réalité du monde Oz. Un monde totalitaire, en proie au capitalisme, à l’industrialisation détruisant la nature, au racisme et à la xénophobie, et à une population biberonnée à la post-vérité. Une belle prolongation du discours entamé dans la partie 1. Mais ce qui touche vraiment, c’est la relation entre Elphaba et Glinda, une amitié tiraillée entre les déchirements politiques et amoureux, le tout culminant dans une séquences où deux amies se déclarent leur amour mutuel absolument bouleversant. Alors oui, c’est moins entraînant ou galvanisant que la première partie, mais ça n’en reste pas moins une superbe comédie musicale qui se voir et revoir avec gourmandise mais en gardant près de soi un bon paquet de mouchoirs salvateurs.
November 28, 2025 at 8:50 PM
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220-Vie Privée (Rebecca Zlotowski 2025 cinéma)
⭐️⭐️⭐️1/2
Vie Privée suit le parcours de Lilian, une psy dont le monde et les convictions vont être bouleversées lorsqu’elle apprend le suicide d’une de ses patiente. Persuadée que quelque chose de plus sombre se cache derrière, elle va s’imposer dans la vie de famille de sa défunte patiente pour tenter de démêler un complot meurtrier. Dit comme ça, on pourrait penser que Vie Privée pourrait pencher vers le thriller, le whodunit façon Cluedo, alors que le nouveau film de Rebecca Zlotowski est une comédie acerbe sur la petite bourgeoisie, autosuffisante et qui s’ennuie dans leurs beaux appartement haussmanniens. Le film s’amuse avec tendresse de voir s’enliser cette femme hautaine, sûre d’elle, ne se remettant jamais en question et qui a perdu son sens de l’écoute. Son parcours lui fera ouvrir les yeux sur les aspects de sa vie qu’elle a compartimenté (à l’image de son appartement), qui pourrissent son relationnel avec les autres et le déni qu’elle s’est forgée pour ne jamais y faire face. Derrière cette petite comédie bourgeoise, qu’elle est fondamentalement, on trouve un film très soigneusement filmé, avec une très belles photo et des effets de style inattendus dans ce genre de production. Mais surtout, on a un duo d’acteurs, sur le papier totalement improbable, l’immense Jodie Foster et l’excellent Daniel Auteuil, qui ont une alchimie à l’écran absolument délicieuse et irrésistible et qui vaut à elle seule le visionnage de Vie Privée.
November 28, 2025 at 8:36 PM
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219-L’Intermédiaire (David Mackenzie 2025 cinéma)
⭐️⭐️⭐️
Un chouette petit thriller, qui aurait très bien pu être un film de plateforme vu son ampleur, mais qui fait toujours plaisir de voir au cinéma. L’Intermédiaire suit un agent chargée de faire le liens entre des lanceurs d’alertes qui se déballonnent pour mettre fin aux pressions et menaces de leurs employeurs afin que l’affaire puisse se terminer en toute sécurité pour les deux parties. Hors, lors que notre mystérieux protagoniste, incarné par l’excellent Riz Ahmed, commence à se prendre d’affection pour sa cliente et que celle-ci se met à commettre des erreurs, c’est toute l’opération et leur sécurité a tout les deux qui est mise en péril. Shooté ultra efficacement à la manière des thrillers paranoïaques des années 70, L’Intermédiaire séduite par la mise en place et l’exploitation d’un dispositif et d’un milieu qui est vraiment inédit dans ce genre de films. On suit ce thriller avec beaucoup de gourmandises et d’étonnements aux divers rebondissements assez bien troussés par ailleurs. Cependant, le film tombe sous les charmes de la facilité avec un dernier acte gangréné par des séquences d’action, un peu hors de propos, qui ne gâchent pas le plaisir mais amoindrit quand même l’impact général de celui-ci. Un bon film du dimanche soir.
November 28, 2025 at 8:21 PM
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218-Bugonia (Yórgos Lánthimos 2025 cinéma)
⭐️⭐️
Faire un remake de Save the Green Planet dans un monde post COVID, en pleine Amérique de Trump, des complotistes à tout vas et de l’hypercapitalisme qui envoie le monde droit dans le mur, c’est une idée pas très conne sur le papier. La mauvaise idée est probablement d’avoir refilé ce script à un réalisateur qui n’aime rien ni personne comme Yórgos Lánthimos. Si le film est interprété à merveille par un trio de comédiens parfaitement investis, mis en image de façon très soignée, l’œil de Lánthimos déformé et salope tout. Son sur-esthétisme alourdit son propos, c’est filmé presque toujours en grand angle ou de façon décadré (genre t’as vu, c’est « décalé ») et sa façon de s’approprier le récit annihiler toute possibilité d’empathie et d’humour présent dans l’original. Si Bugonia se veut drôle, c’est un humour froid et cynique, alors que dans Save the Green Planet c’était fou, absurde et désespéré. Lánthimos film ses personnages collés des rednecks stupides, biberonnés aux complotisme sur internet, comme des maboules prêts aux pires atrocités pour prouver leurs théories, et les puissants, comme les merdes suffisantes qu’elles sont, méprisantes et usant de tous les stratagèmes sociaux culturels pour assoir leurs dominations. Si sur le papier, ce n’est pas inintéressant d’opposer ces deux Amériques irréconciliables, le réalisateur ne se pose jamais la question de l’entre deux, et ne se contente que de pisser sa misanthropie à la face de ses spectateurs.
November 28, 2025 at 8:11 PM
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Le meilleur Soderbergh de l’année c’est Black Bag/The Insider. Derrière cette chasse à la taupe dans le milieu de l’espionnage il fait un portrait acide de la vie conjugale et des rapports de couples.
Affiche de Black Bag (ou The Insider pour son titre en France).
November 27, 2025 at 3:00 PM
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Réception du jour !
Quand Frank Darabont avait encore une carrière.
Blu-ray 4K de The Mist
November 26, 2025 at 6:13 PM
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217-Jason X (James Isaac 2001 blu-ray)
⭐️⭐️
Film matriciel de toute une génération qui inspirera les plus grandes adaptations telles que Doom ou Resident Evil. Complètement stupide mais assez jouissif. Malheureusement, ce qui flingue le film et l’empêche d’être un grand défouloir teubé c’est sa direction artistique en toc et sa photo vraiment dégueulasse du niveau des productions SyFy. C’est dommage parce qu’au bout d’un temps le film se met à ronronner, à balancer quelques vannes bien senties mais il manque clairement de souffle et les meurtres passent au hors champ. Un peu trop timide par rapport au potentiel de nawak.
November 25, 2025 at 3:29 PM
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216-Jason va en Enfer-Unrated Cut (Adam Marcu 1993 blu-ray)
⭐️⭐️1/2
Drag Me To Hell n’a cas bien se tenir. Bordel qu’est-ce que c’est con ! C’est écrit avec les pieds, ça sort du lore de son trou de balle, on ne voit que trop peu Jason, ça n’a aucun sens… mais qu’est-ce que c’est fun ! C’est rythmé de ouf, ça n’arrête pas, ça s’envoie des bourre pifs à tout va, il y a des morts bien gores. Vu le niveau bien médiocre de la saga, une telle connerie qui fait n’imp’ est beaucoup plus regardable que la majorité des autres épisodes. Ah, et pas merci pour le spoil du titre.
November 25, 2025 at 1:23 PM
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215-ARCO (Ugo Bienvenu 2025 cinéma)
⭐️⭐️⭐️
J’aurai sincèrement voulu aimé le film de tout mon être, mais à part l’avoir bien apprécié, je n’en ai pas retiré grand chose. La faute principale est un trop grand classicisme dans sa narration, son intrigue d’amitié impossible entre une enfant et une entité qui n’a rien à faire ici et fait tout pour retourner d’où elle vient peine vraiment à se démarque d’un E.T. De plus, et c’est un avis très personnel, je ne suis vraiment pas fan du charadesign des personnages. En revanche, et je tiens à appuyer sur ce point, la direction artistique est absolument sublime (sauf les perso), avec une représentation du futur inspiré par les mouvances littéraires du hopepunk et/ou solarpunk (toujours pas réussi à définir une ligne claire entre les deux). Avec en fond un discours sur l’écologie, loin d’être culpabilisant et fondé sur l’espoir, un espoir forgé par le souvenir du passé et un regard tourné vers et si miré par l’avenir. Et enfin, si le gros du film ne m’a pas transcendé, j’ai tout de même été vraiment cueilli émotionnellement par la conclusion et l’épilogue qui font de ce Arco, certes un film qui ne m’a pas transcendé mais un film que je n’oublierai pas non plus.
November 24, 2025 at 9:06 PM
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214-Vendredi 13, Chapitre VIII : L’Ultime Retour (Rob Hedden 1989 blu-ray)
⭐️⭐️1/2
Un film jamais à la hauteur de la promesse de son titre original, car oui, ça va à Manhattan, mais pas bien longtemps et que ce n’est pas le carnage espéré. C’est complètement débile, kitch et n’a pas vraiment de sens (Crystal Lake est connecté à l’océan), mais qui est malgré tout plutôt fun, avec des touches d’humour assez bien vues, des meurtres plutôt rigolos. Dommage en revanche que le maquillage soit aussi raté.
November 21, 2025 at 3:48 PM
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213-Wicked : Partie 1 (Jon M. Ch 2024 blu-ray)
⭐️⭐️⭐️⭐️1/2❤️
Second visionnage en préparation de la suite, et au delà du fait que je suis une nouvelle fois tombé sous le charme du film et que j’ai encore fondu en larmes sur Defying Gravity, je me suis plus concentré sur son aspect politique. Même si ce n’est pas toujours fait avec la plus grande finesse, je trouve toujours audacieux que parmi les paillettes, la magie et le côté rose-bonbon, le film déploie un discours plutôt costaud sur l’établissement d’un régime dictatorial, la xénophobie, l’asservissement des population en noyautant la culture, l’éducation et en réduisant au silence les minorités. Le tout dirigé par un leader charismatique et totalitaire, pas bien différent d’un Immortan Joe, pour rester dans le domaine de la fiction, et pointant un ennemi fantoche pour contrôler l’opinion des populations. Une peinture d’un monde désenchantée camouflée derrière un décors à la Disneyland que je trouve vraiment audacieuse.
November 21, 2025 at 2:57 PM
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212-Running Man (Edgar Wright 2025 cinéma)
⭐️⭐️
Quelle déception que ce Running Man par Edgar Wright.
D’un côté, le spectacle pyrotechnique n’est pas déplaisant, certaines vannes fonctionnent plutôt bien malgré le ton plus premier degré que d’habitude pour le réalisateur britannique. Mais si c’est plutôt solide, c’est tout de même assez quelconque au regard de ce dont Wright est capable d’accomplir avec une caméra et un banc de montage. Le film manque de punch, d’impact, de rythme. De plus la photo est terriblement fade, surtout devant d’un technicien aussi accompli que Chung-Hoon Cheng.
Le divertissement offert par Running Man est certes honorable mais la charge politique y est naïve et sonne terriblement faux. Un film anti-système qui tombe à plat, à progression narrative erratique et à l’éveil politique plus adolescent qu’un The Boyz. Et je ne parle pas de Glenn Powell en miscast complet.
Pour comparer les adaptations récentes de King, on pourrait prendre pour exemple Le Lièvre et la Tortue ou Marche ou Crève est la tortue qui, plutôt sobrement, tranquillement et à son rythme va loin et atteint son objectif, et Running Man, c’est le lièvre qui part vite, va dans tout les sens et en fait trop pour in fine, se prendre les pieds dans le tapis.
November 21, 2025 at 9:53 AM
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Few years ago, I was visited by this Little fellow :
A moth seen through my door’s spyhole The other side of the door where we can see the moth on the spyhole
November 21, 2025 at 9:43 AM
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211-Dossier 137 (Dominik Moll 2025 cinéma)
⭐️⭐️⭐️⭐️1/2❤️
3 ans après son formidable La Nuit du 12, Dominik Moll revient à nouveau ausculter le milieu policier avec Dossier 137. On y suit une enquêtrice de l’IGPN chargée de faire la lumière sur le cas d’un manifestant, gravement blessé à la tête par un tir de flashball d’après les témoignages, durant les événements des gilets jaunes en 2018. Avec Dossier 137, Dominik Moll signé un thriller réaliste et plaisant, haletant et grand public, tendu et puissant, porté par une Léa Drucker absolument impériale. Doté d’une mise en scène faussement en retrait qui n’évite pourtant pas le style dans sa représentation de la lourdeur administrative en faisant de la procédure de l’IGPN un enjeu esthétique. Le film met en évidence les dysfonctionnements d’une institution sclérosée et vérolée à tout les niveaux. Le film ne cesse de mettre en sur la table les problèmes de violences policières, du classisme, du racisme institutionnalisé. Et la force du film c’est qu’en évitant tout « et en même temps », sans relativisme naïf, il rappelle que derrière ces institutions nécrosée, il reste des hommes, il reste des femmes, qui croient encore à la valeur de leur métier, à la possibilité de rassembler le peuple qui n’a plus confiance en la police avec une police qui se croit au dessus d’un peuple qu’il méprise et dont il a peur. Mais que ces personnes qui se battent sont à un fil de baisser le bras, de tomber dans l’aphasie et de laisser le corps social meurtri par ceux dont la mission est justement de les protéger. Un film extrêmement puissant, bouleversant, qui m’a laissé en larmes. En larmes de colère et de rage. Un grand film en colère et révolté.
November 20, 2025 at 2:37 PM
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« Petit » arrivage de nouveautés et promos de chez @carlottafilms.bsky.social !
Blu-ray et 4K de À Cause d’un Assassinat, Garçon d’Honneur, La Légende de Baahubali, Yi-Yi et Massacre à la Tronçonneuse
November 19, 2025 at 9:25 PM
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Je vais me rider le Kirby !
Photo de la boîte du jeu Kirby Air Riders
November 19, 2025 at 12:46 PM
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210-Vendredi 13, Chapitre VII : Nouveau Défi (John Carl Buechler 1988 Paramount+)
⭐️1/2
Paresseux, sans inventivité, sans passion, doté d’un cast d’une nullité affligeante. C’est d’un ennui terrible, et l’idée principale du film, à savoir une fille aux pouvoirs télékinésiques est aussi mal amenée que mal utilisée. Les meurtres sont d’une tristesse (sauf le sac de couchage), Jason file un coup de chaque outillage de jardin qu’il trouve de ci de là et oui s’en va. C’est du pur abattage bête et méchant avec un montage qui cut juste avant d’avoir à faire un effet spécial. C’est terrible de ne pas vouloir s’amuser avec le genre qu’il investi. Seul point qui ne m’a pas rendu le visionnage intégralement désagréable, c’est le design de Jason qui est le meilleurs jusqu’alors.
November 18, 2025 at 9:35 PM
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209-Les Aigles de la République (Tarik Saleh 2025 cinéma)
⭐️⭐️⭐️
J’ai passé un bon moment devant Les Aigles de la République. Commençant comme une satire de la bourgeoisie artistique, se croyant supérieure à la chose politique, qui se fait peu à peu corrompre, de force certes, mais aussi par intérêt et un semblant de bonne volonté. Cependant, si cette amusante et grinçant satire est vraiment plaisante, elle tire un peu en longueur jusqu’à un twist qui a deux effets : -ça relance le film sur une tonalité vraiment inattendue -ça annihile un peu le discours social pour partir sur le complot politique En résulte un thriller qui prend par surprise en plombant son discours, c’est dommage, même si la conclusion est que si révolution se passe à la tête des états, la situation du bas peuple ne changera jamais. Un très bon film, qui a pour principal défaut de ne pas être le grand film qu’il aurait dû être. PS : Fares Fares est incroyable !!!
November 18, 2025 at 9:24 PM
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208-Frankenstein (Guillermo Del Toro 2025 Netflix)
⭐️⭐️⭐️⭐️❤️
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Il est triste de voir un auteur et esthète comme Guillermo être cantonné à une plateforme de streaming, surtout lorsque son dernier film est un projet chéri depuis des décennies, que c’est un récit parfait pour son réalisateur amoureux des monstres, et que le résultat est tel que ce Frankenstein, un spectacle baroque revenant à la racine du récit de Mary Shelley en l’enveloppant dans un écrin d’une magnificence sans égal. Del Toro est à la foi la créature, fils perdu face à son géniteur, et à la fois Victor, créateur et esthète qui arrive enfin à assembler les pièces de son rêve, celui qui l’a bâti et qu’il a essaimé tout au long de sa carrière. Et c’est peut-être là qu’est la principale faiblesse du film. Ce Frankenstein est moins un film somme qu’un film matriciel sorti après toutes ses engeances, ce qui en fait un film manquant de surprise pour ceux ayant suivi la carrière du réalisateur mexicain. Cependant, ça n’en reste pas moins un récit toujours aussi passionnant, porté par une direction et un accomplissement artistique absolument phénoménal (à une attaque de loups aux VFX raté près). Les décors sont exceptionnels, les costumes magnifiques, la photo étourdissante, l’utilisation des couleurs stupéfiantes et significatives dans le récit. Le cast est vraiment bon, même si l’on peut regretter que le personnage de Mia Goth soit régulièrement mis à l’arrière plan, et que celui de Christoph Waltz ne soit pas plus creusé. Si Jacob Elordi ne convainc pas tout le monde, il a pour lui que son immense stature élancée apporte une physicalité vraiment intéressante et inédite à la créature. De plus, même si je ne suis pas non plus transcendé par son jeu, les échanges finaux entre lui et Oscar Isaac, ou le passage dans la ferme, sont vraiment touchants et font de ce Frankenstein l’un des films les plus émouvants de son auteur. Spectaculaire, visuellement sublime et bouleversant, c’est vraiment pour ce genre de film qu’on va au cinéma… dommage qu’il n’y ait pas été projeté.
November 18, 2025 at 8:03 AM
jacasses.bsky.social
❌
Incroyable à quel point je n’accroche pas du tout au jeu.
Je m’y ennuie terriblement. J’aime pas le gamefeel. Le jeu me tombe des mains.
J’abandonne.
November 17, 2025 at 10:38 AM
jacasses.bsky.social
Une petite course après un mois de flemme.
November 15, 2025 at 10:53 AM
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24-Hollow Knight : Silksong (Switch 2 ✅100%)
Key art de Hollow Knight Silksong. On voit Hornet, un corps noir très fin drapé d’une toge rouge, armée d’une auguille et à la tête blanche en forme de U avec deux grands yeux noirs, se tenant accroupie prête à attaquer avec des fils de soie tournoyant autour d’elle sur un fond aux couleurs enflammées.
November 14, 2025 at 8:52 PM
jacasses.bsky.social
#letterboxedfriday #FourLastWatch
Vendredi 13 chapitre 6 Yoroï Kaamelott Deuxième Volet, Partie 1 Predator Badlands
November 14, 2025 at 7:58 PM
jacasses.bsky.social
207-Vendredi 13, Chapitre VI : Jason le Mort-Vivant (Tom McLoughlin 1986 blu-ray)
⭐️⭐️⭐️
Embrassant complément un côté camp, ce Vendredi 13 vire vers la pire comédie horrifique. À la fois très drôle et ne négligeant pas le gore et l’aspect boogeyman de la franchise. Mené remboursé battant, entre les séquences de meurtres bien gores, les morceaux d’action et de courses poursuites, et un tempo comique ravageur, le film ne s’arrête jamais. Et niveau drôlerie, on sent que le réalisateur s’amuse comme un fou puisque ça joue sur plein de registres avec du graveleux, de l’absurde, des jeux de mots et du burlesque. Le film a été énormément réfléchi de ce côté puisque la mise en scène joue énormément de ses transitions pour créer des décalages, des associations d’idées desquelles surgissent de l’absurde et de l’humour noir. Sans mauvais jeux de mots, le découpage est hyper efficace. Pour l’instant, c’est mon épisode préféré de la saga et l’un des films m’ayant le plus fait rire cette année.
November 14, 2025 at 3:39 PM