Kimberley Dusznyj
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✍🏻 Journaliste. Formée à l'IJBA, passée par La Rep des Pyrénées, Le Progrès et Sud Ouest. Produit (et bénévole) de La Chance média. Sujets de prédilection : société (droits des enfants et des femmes, discrimination), VSS et ruralités.
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"JOUER AVEC LE FEU" : LA NOUVELLE SOUPE DE LA BOURGEOISIE DE GAUCHE
(Par @nicolasframont.bsky.social)

1. Jouer avec le feu raconte la radicalisation à l'extrême droite d'un fils dans une famille ouvrière, avec Vincent Lindon en père dépassé.
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Tu rêves de prendre ta plume ou sortir ta caméra et de rapporter la voix des autres ?✍🏻 De parler du monde qui t'entoure ?
Les candidatures pour la promotion 2026 de @lachance-media.bsky.social sont ouvertes, jusqu'au 9 juin. Ne te censurez pas, tu as ta chance et ta place !
➡️ lachance.media
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Dans les pépites récemment publiées ✨, cette fine et complète analyse de "l'urban gaze" qui se joue dans la façon dont les médias parlent des territoires ruraux, par l'excellent travail d'Emma Conquet.
Ça en dit beaucoup sur la façon dont nos campagnes sont invisibilisées, loin de la réalité vécue.
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URBAN GAZE : LA RURALITÉ TOUJOURS VUE DEPUIS LA VILLE 🧵
Un concept d'Emma Conquet

1. Dans les médias, la campagne est souvent perçue à travers un prisme urbain : tantôt idéalisée, tantôt méprisée. Ce regard centralisé façonne les représentations et invisibilise les réalités rurales.
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Malgré une industrialisation croissante et la concurrence étrangère, Jean-Richard parvient à s'adapter. "Ce qu'ils faisent en un mois, je le fais désormais en une journée."

Peu d'entreprise artisanale comme celle-ci perdure. Plus qu'un savoir-faire, un vivier de ressources locales. [2/2]
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Fin novembre, j'ai réalisé pour @sudouest.fr un reportage passionnant dans une tuilerie familiale centenaire à Saint-Astier (47), la tuilerie Pralong. J'ai rencontré Jean-Richard et sa mère, Eliette. Ensemble, ils font perdurer la tradition artisanale transmise de génération en génération. [1/2]
De briques et de poussières : depuis 130 ans, la tuilerie Pralong pèse dans le paysage artisanal du Lot-et-Garonne
LE CLUB DES ENTREPRISES CENTENAIRES - L’entreprise Pralong n’est plus à citer parmi les industries emblématiques du département. Depuis 1894, la tuilerie fournit de nombreux professionnels et particul...
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Pour la petite fille en moi qui rêvait de s'appeler Britney et non Kimberley et qui idolâtrait cet enfant de la culture pop puritaine des USA.

Une série documentaire bien construite et percutante pour mieux comprendre le parcours de cette queen exploitée et incomprise, reflet d'une société névrosée
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Princesse de la pop et prophétesse de sa propre vie, Britney Spears s'est vue sacrifiée sur l'autel de la célébrité moderne.

« Britney sans filtre », une série documentaire à retrouver sur arte.tv/fr/videos/RC-025912/britney-sans-filtre/
5 hits de Britney qui sonnent comme des PROPHÉTIES / Accompagné de visuels de la star en lien avec le texte
Baby, One More Time
Et si Britney ne demandait en réalité qu’à redevenir l’enfant qu’elle n’a jamais pu être ? Enfant star de la machine Disney, elle a été propulsée trop vite et loin dans la célébrité, sous les yeux d’une Amérique aussi puritaine que libertine. Y-a-t-il une bonne manière d’être une star quand on est une femme ? Négatif. / Accompagné de visuels de la star en lien avec le texte

Slide 3 : Circus
En 2007, elle orchestre la mise à mort de son personnage public en se rasant le crâne. Sa vie a été un véritable cirque médiatique alimentée par nos regards complices et avides de sensationnel. Sommes-nous les propres bourreaux de nos idoles ? Il faut croire que oui. / Accompagné de visuels de la star en lien avec le texte
  
Toxic
Britney se dit accro à son amant, qu’elle qualifie de toxique. Sauf qu’à cette époque, c’est un peu tout son entourage qui l'empoisonne. Son père le premier, en la privant de sa liberté. Justin Timberlake, pour lui avoir brisé le cœur et fait son beurre sur son malheur. Ou encore la presse people dont elle a été longtemps le bouc émissaire. / Accompagné de visuels de la star en lien avec le texte
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et de toute façon je n'ai pas vérifié tous les titres de PQR ce matin.
Mais pour la majorité que j'ai vu, ils ne l'ont pas fait.

Coup bas pour la presse locale, qui a sa responsabilité dans la transmission de la mémoire.
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Je me sens attristée et honteuse de constater que des confrères et consœurs, dans les rédactions des PQR, n'aient pas eu cette conscience-là. Certes, ils et elles en parlent. Mais ça devrait figurer en Une de tous les titres.

Je ne citerai aucun titre en particulier, ce n'est pas le but,
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Certes, peut-être que tous les lecteurs ne s'y intéressent pas forcément, et que des actus locales sont très importantes aujourd'hui. Pour autant, c'est une des responsabilités de la presse, qu'elle soit ou non locale.

La presse se doit de transmettre cette mémoire. C'est un devoir.
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Je viens partager ce qui me semble être, en ce jour très particulier et essentiel pour la mémoire, une aberration.
En tant que journaliste, je suis très choquée que la presse quotidienne régionale (PQR) n'ait pas daigné mettre en Une la couverture de 80 ans de la libération d'Auschwitz-Birkenau.