et quelques photos pour finir.

Au 3e étage du 28 était installée en 1790 l'"Imprimerie Henri IV", d'où sortirent des numéros de L'Ami du peuple, entre autres.
Camille Pissarro s'y installe au deuxième étage, en novembre 1900.
Au même numéro, la papeterie Gaubert, fondée en 1830, est toujours en activité.

Au 26 : emplacement du bûcher où périt Jacques de Molay, dernier maître de l'ordre du Temple, le 11 ou 18 mars 1314.

Aujourd’hui, la Place Dauphine est un lieu calme et pittoresque, apprécié pour son atmosphère paisible, ses restaurants, ses façades classées.
Au 15 ont vécu Simone Signoret et Yves Montand, ainsi que Yves Simon.

Son plan est triangulaire. Elle se distingue par ses façades harmonieuses en brique et pierre avec toits en ardoise, arcades et boutiques au rez-de-chaussée, destinées à accueillir la bourgeoisie aisée et les officiers du Parlement.
Au fil des siècles, elle a subi plusieurs transformations.

Il ressemble à une cour privée, avec une ambiance de village caché au cœur de la ville. On y trouve notamment le salon de thé L’Heure Gourmande.

Le Passage Dauphine, offre une atmosphère calme, en contraste avec l’animation de Saint-Germain-des-Prés. C’est un lieu avec des pavés au sol, agrémenté de végétation et de petits espaces arborés qui lui donnent un certain charme.

Il devint député en 1789 et participa activement à la Révolution. Il fut emprisonné pendant la Terreur. Plus tard, il organisa les Archives nationales, enseigna l’histoire au Collège de France et publia de nombreux travaux. Il marqua durablement les institutions françaises.

Et des sculptures/figurines visibles au musée d’Orsay

Honoré Daumier est peintre, sculpteur et caricaturiste, célèbre pour son regard acéré sur la société de son temps.
Il se fait connaître grâce à ses lithographies publiées dans la presse. Il dépeint avec humour et satire les travers des hommes politiques, des bourgeois et du système judiciaire.

Ses immeubles ont été construits avec une technique innovante de béton non armé. Rebaptisée Villa Daumesnil en 1871, elle conserve aujourd’hui son charme de petite rue discrète, avec des bâtiments simples et anciens qui témoignent de l’architecture sociale du XIXᵉ siècle.

ah oui dis donc !!!

quelques photos pour finir cette 2e partie.

Au 181 se trouve la gare de Reuilly : le bâtiment, conservé comme symbole ferroviaire, est réhabilité et reconverti en maison des associations du 12e arrondissement.
L'avenue longe aussi la mairie du 12e.

Au 166 : emplacement, de 1840 à 1934, de la manufacture d’instruments de musique mécanique des frères Limonaire.
Au 186 se trouve l’entrée principale de l'église du Saint-Esprit, construite entre 1928 et 1929 dans un style néo-byzantin.

Au n° 124 et 126, immeuble du groupe des maisons ouvrières de la fondation de Madame Jules Lebaudy. L'ensemble de 184 logements est construit autour de deux cours.

Le numéro 30 est un immeuble art nouveau, dessiné par Albert-Théophile Thomas, prix de Rome 1870 et architecte de l'aile droite du Grand-Palais.