En gros, le gars a fait l'équivalent d'un régime bikini body, il se la joue Gerry Conlon...

Oh, je l'ai tenté aussi ! Le résultat est beaucoup moins convaincant !!

Je sais !
Mais là, c'est Hassan et sa femme. Elle a la louche généreuse et elle fait semblant de ne pas me reconnaître quand je viens, histoire de me faire 'découvrir' les falafels. C'est mon Portobello Market local !!

Ouais, mais à la mauvaise saison, on se fournit direct au food-truck :-)

Houmous et falafels du marché.

Mais nan, c'est du true crime, avec beaucoup d'humanité complexe et de la caméra embarquée.

4 - Que l'absence de suivi psycho-social soit plus coûteuse humainement et financièrement que des enquêtes, même si c'est moins vendeur sur les plate-formes de streaming.

3 - Qu'une fois la dame retrouvée, on se fout qu'elle soit à la rue, qu'elle ait dû quitter son foyer, que de toute évidence, sa situation soit compliquée. La prise en charge n'allait que jusqu'à la retrouver pour cocher la case 'résolu' sur le dossier.

Notons que
1 - les méthodes quelque peu cavalières pour convaincre le fils d'avouer son crime ne sont pas remises en cause.
2 - Qu'à aucun moment on le lui présente d'excuses pour l'avoir foutu en taule.

Happy ending : on retrouve la dame à la fin. Elle était partie pour redémarrer à zéro, alors d'accord elle vit dans la rue, mais elle est heureuse, elle le dit explicitement.
Toute l'équipe se téléphone avec soulagement.

Et son fils est louche : pas très stable psychologiquement, il s'exprime de façon peu convaincante et en plus il a mis la maison de sa mère en vente sans pouvoir expliquer où elle se trouve. Si on ajoute que ça sent la javel dans la dite maison : il finit en prison.

En plus, c'est une équipe de femmes, avec mixité ethnique et sociale : c'est beau comme une série qui aurait 'sororité' en hashtag.
Là on cherche une dame de 61 ans qu'on n'a plus revue chez elle depuis quelques semaines.

Je m'en souviens !!