Shawarma
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sharozwa.bsky.social
C'est inquiétant à tous points de vue ce que tu me dis. Je ne suis certes pas ta mère, mais puisque tu en parles en public je donne mon avis dont tu feras bien ce que tu veux : file chez le toubib au plus vite.
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Mince, tu as consulté ?
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salisbot.bsky.social
A fun (?) naval history fact for your weekend:

During the Battle of the Nile, French Admiral Dupetit-Thouars lost one arm, then the other, then a leg to cannon fire.

He ordered his men to prop him up in a barrel on the deck so he could keep commanding his ship until he died.
two knights are standing in the woods and one of them is saying i 've had worse .
ALT: two knights are standing in the woods and one of them is saying i 've had worse .
media.tenor.com
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La maison royale Zogu d'Albanie, gardienne des traditions.

Téma ce site vintage de 1997 😍

albania.dyndns.org
Albanie royale
albania.dyndns.org
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nome.bsky.social
What's truly wild is that, for an animal that spends most of its time in water, Hippos can't swim.

2% body fat, remember? They're all *incredibly dense* muscle and bone. They're one of the few mammals which aren't naturally bouyant, and are evolved to just *walk* across the bottom of rivers.
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nome.bsky.social
Additionally, hippos - despite being massive - have almost no fat on them. All of that impressive bulk is muscle.

2% body fat. Compare that to Elephants, which are around 8-10%, or rhinos, which are 10-20%.

The average human is around 20-40%, for reference.

They're *all* muscle.
A comparison, showing a hippo standing in shallow water, and a see-through model of a hippo with an extremely thin layer of subcutaneous fat and skin over a body that's thick with muscle.
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thesamejeanguy.bsky.social
Relancer les échanges culturels franco-russes en balançant Thierry Mariani par une fenêtre
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medericgc.bsky.social
N’oubliez pas qu’un gouvernement technique est amer.
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vrai problème, assez difficile à régler il me semble, la gestion du flux de vélos et de piétons sur cet axe dans le parc.
sharozwa.bsky.social
Par contre effectivement tu peux reprendre ton môme très tôt, pas de problème, mais toute sortie est définitive :(
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Idem. En vrai il doit y avoir un fond de vérité sur le fait que ça les fait ièch sur le plan organisationnel d'accueillir l'enfant après 11h (dans mon cas) mais ça fait bien galérer et oui ça a des effets pervers.
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slaettaratindur.bsky.social
Quand même, panthéoniser Badinter, n'est-ce pas insulter les opinions de la majorité de l'opinion publique, qui est pour la peine de mort, pour le fascisme, pour l'homophobie, pour l'antisémitisme ?
sharozwa.bsky.social
Entre-autres oui, j'y vois aussi l'incapacité à comprendre l'origine du ressentiment et de l'agressivité du colonisé envers le colonisateur, le premier semblant perçu comme ataviquement violent. J'aurais par ailleurs une certaine circonspection sur "les meilleures intentions du monde"
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note : Yamit dont il est question à la fin est une colonie israélienne construite juste de l'autre côté de la frontière égyptienne, abandonnée en 1982 lorsque le Sinaï a été rétrocédé à l’Égypte.
sharozwa.bsky.social
Compte rendu d'une visite de la section française de la WIZO (grande orga féminine sioniste mainstream) à Gaza en 1976, soit 9 ans après le début de l'occupation israélienne.

J'ai mis tout le texte en ALT.

Je vous laisse juges de la tonalité du texte.
Visite à Gaza

Les travaux de la Plénière de l'Exécutif mondial sont toujours précédés d'une visite à une région du pays où se pose un problème particulier. C'est ainsi que par un matin gris, balayé de forts coups de vent, nous sommes parties en car de Tel-Aviv en direction du sud peu après Ashkelon et tandis que le ciel s'éclaircissait progressivement, nous prenions la route côtière et nous dirigions vers Gaza; une jeep montée par deux soldats est venue nous escorter au moment où nous franchissions une frontière invisible: seul signe que nous entrions en territoire « occupé ».
Cette zone de Gaza est, comme chacun sait, une bande de terre qui s'étire au sud d'Ashkelon, 360 km2 de dunes et de terres cultivées où vit une population très dense de près de 372 000 habitants.
Ancienne terre philistine, territoire occupé par l'Egypte jusqu'en 1967, c'était un repaire de feddayines, base idéale pour les coups de mains vers Israël, mais aussi une suite de camps misérables où des milliers de réfugiés vivaient parqués, sans possibilité de sortir ou de circuler sauf avec un visa très difficilement obtenu.

En 1967, les Israéliens entrent à Gaza à la suite de la campagne éclair et y trouvent une population hostile, désœuvrée, une situation matérielle déplorable, des problèmes de chômage et d'insécurité qui paraissent insurmontables.

On s'attaque néanmoins résolument à ces problèmes en s'efforçant conjointement de neutraliser les activités terroristes et d'améliorer les conditions de vie.

Les camps sont coupés de larges routes qui permettent la pénétration facile et rapide des forces de l'ordre, mais sont en même temps nettoyés et assainis de toutes les manières. Les progrès sont lents et il faut rechercher et détruire bien des stocks d'armes, subir bien des pertes douloureuses avant d'enregistrer une baisse sensible des attentats et des guet-apens.
On supprime alors le couvre-feu, on donne la permission de circuler dans tout le territoire et d'aller travailler en Israël au même taux que les ouvriers israéliens.

Du même coup, l'atmosphère s'allège et les conditions de vie s'améliorent considérablement, tandis que dans les écoles les cours reprennent avec des manuels expurgés de leurs exemples guerriers et sanguinaires, et que dans les hôpitaux modernisés et agrandis les dernières techniques médicales sont mises en application par un personnel local entraîné et dirigé par des équipes venues d'Israël.

Les habitants de Gaza ont toujours la qualité de réfugiés, sont inscrits sur les listes de l'UNRWA et continuent à recevoir subsides et vivres la plupart du temps revendus immédiatement.

C'est la crainte de perdre ce statut de réfugiés qui retient encore quelques gens de Gaza dans les anciens camps, tandis que la plupart des autres, gagnant largement leur vie et bénéficiant de prêts très souples, s'installent dans les nouvelles agglomérations que nous avons pu visiter: maisons basses et blanches avec une cour jardin, une véranda couverte servant de salle à vivre trois grandes pièces servant à l'habitation chaque maison compte une vaste cuisine, une salle d'eau. un double WC; tout à l'égout, eau courante, électricité sont installés et les mâts de télévision foisonnent comme dans n'importe quelle banlieue parisienne. Toujours en bénéficiant d'un prêt, les habitants de Gaza peuvent aussi emporter leurs matériaux et construire leurs maisons eux-mêmes, sensiblement sur le même modèle, sinon qu'ils y ajoutent une ou deux pièces et une terrasse suivant leur fantaisie.

Dans un hôpital pour enfants, un médecin israélien au regard doux, entouré d'étudiants en médecine formés au Caire et revenus au pays et d'infirmiers locaux, nous explique comment il est venu peu à peu à bout des craintes et des superstitions et a réussi à implanter les consultations prénatales, la vaccination et la médecine préventive.

Cet effort pour le mieux-être et la liberté de travail, de circulation et d'administration de la population semble porter ses fruits. Certes il s'agit d'une occupation mais rarement la voit-on si humaine et si légère; le gouverneur militaire, après nous avoir parlé de la baisse des attentats... et de la mortalité infantile, conclut par ces mots Dire que ces gens nous aiment serait faux dire qu'ils nous haïssent ne serait pas plus vrai; l'aspiration commune, y compris celle des extrémistes, va à une autonomie maintenant avec Israël des liens culturels et économiques qui s'avèrent indispensables au développement de ce minuscule Etat.

Notre excursion s'achève par une visite à la ville de la mer là où il y a deux ans nous n'avions vu qu'une plage immense et une superbe palmeraie, s'élèvent aujourd'hui les premiers quartiers de Yamit où une population hétérogène, mais fraternelle vit encore une fois l'aventure pionnière et fait d'une audacieuse promesse une réalité en marche.

E. D.
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jtram.bsky.social
Ma vidéo pref des derniers jours, c’est deux jeunes chanteuses lyriques à la Monnaie qui ont accepté de chanter façon opéra tous les arrêts du bus septante-et-un.

Elles s’éclatent, les gens les applaudissent dans le bus. C’est 100% belge tendance feel good.

www.instagram.com/reel/DOxc39-...
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lecheikh.bsky.social
Article intéressant, parfois impressionnant, même si le journaliste en tire des conclusions peut-être trop générales et optimistes.
Cela dit, et on ne le souligne pas assez, sur le plan militaire les offensives russes ont été assez bien contenues cet été.
www.theatlantic.com/internationa...
How Ukraine Turned the Tables on Russia
Russia assumed time was on its side, but a new Ukrainian strategy is yielding surprising results.
www.theatlantic.com
sharozwa.bsky.social
non garde ça comme ça, c'est nickel, ton temps sera mieux employé à blousquer.
sharozwa.bsky.social
Mais non enfin ! C'est "assassin de la police"
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matsubasho.bsky.social
Avec tout cela, pas sûr que l’argument « ce sera le chaos et le cirque avec le RN » soit toujours aussi persuasif auprès les électeurs et électrices.