Débattre sans fin d’une réforme dont une immense majorité de Français•es réclament l’abrogation est évidemment le meilleur moyen de ne jamais l’abroger - et d'afficher son mépris pour la démocratie.
"Cette impitoyable exposition de l’ineptie du macronisme a ceci d’avantageux qu’elle permet d’abord un retour à cette vérité première : Emmanuel Macron ment – à peu près comme il respire."
Il faudra aussi se demander pourquoi Raphaël Enthoven passe tellement de temps à suggérer que le parti cofondé par un ex-SS dont un député vendait des bouquins antisémites et négationnistes et dont une candidate posait avec une casquette d’officier nazi ne serait pas «passionnément antisémite».
Attention aux homonymies: ce @partisocialiste.bsky.social n’est bien sûr pas le même que celui qui avait pris devant les électeurs et électrices de gauche l’engagement écrit de ne jamais renoncer à l’abrogation pure et simple de ladite réforme.
C’est quoi, exactement, @liberation.fr, ce que tu appelles l’«esprit de responsabilité» des «ténors socialistes, communistes et écologistes»? C’est le fait d’aller se ridiculiser chez Macron tous les trois matins?
C'est très étonnant, chez @lesecologistes.fr, chez les communistes et chez les socialistes, cette manie de trahir les promesses faites aux électeurs et électrices du NFP pour aller se faire marcher dessus par Macron.
La caractéristique première de ce tout petit (mais dangereux) bonhomme qui aura passé son règne à brailler qu’il fallait «responsabiliser» les pauvres est que jamais - pas une seule fois - il n’aura assumé ses propres responsabilités.
La presse et les médias mainstream (et "de référence") trouvent donc tout à fait normal que la principale formation de la gauche parlementaire ne soit pas invitée à la réunion «entre Emmanuel Macron et les chefs de partis politiques».
Le concept de cessez-le-feu «sous le couvert de tirs d’artillerie et de frappes aériennes dans certaines zones» est tout à fait intéressant et novateur...
La presse d'extrême droite subventionnée est littéralement en train d'expliquer qu'à quelques heures près, le prix Nobel de la paix aurait pu être valablement décerné au sponsor néonazi d'une armée génocidaire.