C'est très étonnant, chez @lesecologistes.fr, chez les communistes et chez les socialistes, cette manie de trahir les promesses faites aux électeurs et électrices du NFP pour aller se faire marcher dessus par Macron.
La caractéristique première de ce tout petit (mais dangereux) bonhomme qui aura passé son règne à brailler qu’il fallait «responsabiliser» les pauvres est que jamais - pas une seule fois - il n’aura assumé ses propres responsabilités.
La presse et les médias mainstream (et "de référence") trouvent donc tout à fait normal que la principale formation de la gauche parlementaire ne soit pas invitée à la réunion «entre Emmanuel Macron et les chefs de partis politiques».
Le concept de cessez-le-feu «sous le couvert de tirs d’artillerie et de frappes aériennes dans certaines zones» est tout à fait intéressant et novateur...
La presse d'extrême droite subventionnée est littéralement en train d'expliquer qu'à quelques heures près, le prix Nobel de la paix aurait pu être valablement décerné au sponsor néonazi d'une armée génocidaire.
Pour qui se serait laissé convaincre par quelques fans hexagonaux de M. Nétanyahou que l'extrême droite ne serait plus antisémite: ses réactions immondes à la panthéonisation de Robert Badinter font une très utile remise à niveau.
Attention aux homonymies: ce Macron n’est bien sûr pas le même que celui qui a creusé un boulevard pour le parti d’extrême droite cofondé par un ex-SS dont un ancien président avait manifesté sous les bureaux de Robert Badinter avec une foule haineuse qui traitait ce dernier d’«assassin».