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Entre le fascisme le communisme ou l’islam, mon cœur balance… laquelle de ces idéologies est la plus dangereuse…
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Une pensée pour Montesquieu qui s’est efforcé d’expliquer sur plus de 500 pages l’esprit des lois, le pouvoir et les contre-pouvoirs, et se voit aujourd’hui méprisé par le moindre expert en commentaire qui a vu de la lumière chez CNews et y est entré pour donner son avis.
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Omar Youssef Souleimane, un sourire contre les dictatures et les islamistes
➡️ https://l.lexpress.fr/Nxc
Mais quand on essentialise un peuple, qu’on réduit des individus à leur supposée appartenance ethnique ou nationale, on sort du champ politique pour entrer dans celui du racisme. Poster une vidéo qui n’aborde même pas ces distinctions fondamentales, c’est une esquive, pas un argument.
La loi de 1905 parle de religion, pas de race. Et c’est justement là toute la différence : on peut critiquer une religion ou une idéologie — c’est la liberté d’expression.
Ce n’est pas être anti-palestinien que de dénoncer ceux qui, sous couvert d’antisionisme, nourrissent les mêmes vieux fantasmes antisémites. Ton combat serait plus crédible si tu cessais d’ignorer cette réalité gênante.
Ha ha ha ! La carte du “je suis juif donc je ne peux pas être antisémite”, sérieusement ? C’est comme prétendre qu’être une femme empêche d’être sexiste. Tu t’abrites derrière l’identité pour éviter la critique.
L’antisionisme, quand il est sincère, est légitime. Mais quand il sert de cache-sexe à un antisémitisme sournois, ça devient problématique. Vouloir démonter l’amalgame, oui ; refuser de voir cette réalité, c’est de la pure hypocrisie militante.
Ah, voilà le moment où on m’explique que toute critique d’ambiguïtés sur la laïcité est forcément raciste. C’est pratique : ça évite d’avoir à penser les choses en nuance. Mais merci pour le diagnostic définitif sur “ce que j’ai compris” ou non. Un classique du débat à sens unique.
Oh, super ! Un cours de laïcité dispensé par Gol D Roger, expert autoproclamé depuis 8 minutes. Hâte que tu m’expliques que défendre la neutralité de l’État, c’est être islamophobe. Vas-y, éclaire-nous, champion 🤡
Ah, donc quand ça tourne mal, ce n’est même plus l’ennemi extérieur, c’est juste du pouvoir pour le pouvoir — sans lien avec l’idéologie qui l’a permis, soutenu et justifié ? C’est pratique : l’idéologie est toujours innocente. Comme un couteau qui n’aurait rien à voir avec le meurtre.
Merci de confirmer mon point : plus d’argument, juste des étiquettes. Vous êtes fébrile au point de me prêter une foi pour éviter de répondre sur le fond. Quand on n’a plus que ce genre de pirouette, c’est qu’on a quitté le débat d’idées.
Baisse des indemnisations pour les salariés du privé, mais silence total sur les jours de carence des fonctionnaires toujours figés. Égalité devant la maladie ? Visiblement pas pour tout le monde... #JusticeSociale #DeuxPoidsDeuxMesures
Quant à la "logique du capitalisme", je ne la réduis pas à la nature humaine. Je dis qu’aucun système ne fonctionne si l’homme n’évolue pas. Refuser de le voir, c’est continuer à croire qu’une idéologie sauvera le monde à notre place.
Ce que vous appelez "stalinisation" n’est pas une dérive accidentelle : c’est une récurrence historique. Partout où le pouvoir est centralisé au nom du peuple, il finit par s’en protéger contre lui.
Le procès d’intention est pratique : si on critique les systèmes, c’est qu’on ne les a "pas compris". Cette condescendance déguisée est une autre ficelle usée. Vieille, elle aussi.
À force de tout justifier, vous ne proposez plus une idée : vous prêchez une foi. Et comme souvent, les fidèles rejettent la faute sur les hérétiques et le monde extérieur. Ce n’est plus un débat politique, c’est un catéchisme.
Les pires dérives écologiques ou humaines (Grand Bond en avant, Révolution culturelle, Kampuchéa démocratique) ne relèvent ni d’un siège, ni d’un impérialisme : ce sont des choix internes, portés par des logiques idéologiques et centralisées.
La comparaison avec 1793 tient deux ans. Là où la Terreur cesse, l’URSS, la Chine maoïste ou la Corée du Nord institutionnalisent la répression pendant des décennies. C’est plus une stratégie de pouvoir qu’une défense passagère.
Toujours la même litanie marxiste-léniniste : si le communisme tourne à la dictature, ce n’est jamais la faute du système, toujours celle des ennemis extérieurs. Le dogme est intact, le réel est prié de s’adapter.
Après avoir tenté la dédiabolisation médiatique, voilà maintenant la victimisation judiciaire. Non, appliquer la loi, même contre Marine Le Pen, ce n'est pas une persécution politique, juste le fonctionnement normal d'une démocratie. Cette Une du #JDD est honteuse ! #Démocratie
À ne surtout pas manquer : LFI et sa fameuse 6ème République où la laïcité sera en option et les accommodements avec l’islamisme inclus d’office. Merci Nathalie et Pierre-Yves, on connaît déjà le programme ! 🙄 #RépubliqueEnMarcheArrière
Donc vos fixations idéologiques, ça tourne en rond. Vous projetez vos fantasmes sur un ‘système idéal’ qui ne tiendrait pas deux semaines face à la nature humaine. Franchement, vos lubies commencent à fatiguer.
Le fond du problème n’est pas le capitalisme ou le communisme. Le vrai souci, c’est que l’homme, collectivement, n’a pas la maturité pour penser au-delà de son intérêt immédiat. Changer de système sans changer de mentalité, c’est juste repeindre un mur qui s’écroule.
Et puis ce vieux tour de passe-passe : ‘le communisme n’a jamais existé’. Mais il a pollué, emprisonné, affamé… sans jamais exister ? Vous voulez qu’on rejoue le même scénario en espérant un miracle cette fois ? Chiche, mais sans nous.
Personne n’a nié que le capitalisme pollue. Ce que vous niez, c’est que les régimes communistes l’ont fait aussi, parfois bien plus brutalement — Aral, Tchernobyl, déforestation massive, sols stériles à jamais. À croire que quand c’est votre camp, la planète peut crever en silence.