FabRusen
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Cinéma / Lecture / SFFF / RABM, Ambient & Noise / Point & Click / 🐈 38 ans / Lille
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fabrusen.bsky.social
Hop, tout leur catalogue part en wishlist !
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La tarte à la merde on a jamais essayé non plus, Josiane.
Hâte d'avoir ton avis.
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Nooooooooooon 😭
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immortana.bsky.social
Le compte de Sakher a une nouvelle fois été supprimé, c'est absolument ridicule. Tout le monde ici le connaît et sait que RIEN ne justifie ça. Bluesky prouve une fois encore qu'ils n'en ont rien à foutre des failles béantes de leur système de modération. Plus que jamais partagez sa cagnotte 🙏
reeeeeeem.bsky.social
Sakher’s account was shut down — the only place where he spoke to the world about his pain and his suffering.

That account was his only voice, his way to survive and keep going.

Today, Sakher lost his last connection to the world.💔

Complement with comments, don't skip‼️
gofund.me/f116bf44
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Ah oui, tu fais monter ta tension et, en plus, tu ne repars MÊME PAS avec une bonne recette de tarte à la fraise ?
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Avec une chance sur combien de s'être énervé contre des bots ? 😅
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"Un film vu, dix de retrouvés", c'est bien ça l'expression, non ?

Furious Swords and Fantastic Warriors, The Heroic Cinema of Chang Cheh, à sortir chez Eureka!
Coffret Furious Swords and Fantastic Warriors, The Heroic Cinema of Chang Cheh édité par Eureka! Les deux boîtiers Furious Swords et Fantastic Warriors. Deux des disques avec, sur chacun, deux affiches de film.
Sur le disque quatre : The trail of the broken blade et The wandering sworman 
Sur le disque cinq : Trilogy of swordmanship et The New shaolin boxers.
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"Ma Vie de Courgette" mentionné 🥰
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uisa.bsky.social
🟡 NOUVEL ÉPISODE !

Vous l'avez attendu presque aussi longtemps que la condamnation de Sarkozy : pour notre retour, on parle des ADOS à l'écran !
+ une nouvelle voix aux côtés de @eyssette.bsky.social & @philopoulpe.bsky.social

🎙️ podcasts.apple.com/us/podcast/3...
🎙️ open.spotify.com/episode/69Uh...
#32 : Les séries pour ados nous rendent-elles meilleur·es ?
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Ouch !
Déjà que je le regardais en coin pour avoir fait jouer Alex Jones dans A Scanner Darkly...
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Nightdreams
(Stephen Sayadian / 1981)
Un homme dans un costume de tartine et lunettes de soleil jouant du saxophone.
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jumpscarecast.bsky.social
Halloween 5 est un film étrange, bordélique et marqué par une production chaotique. Mais on l'aime bien ici.

Nous avons donc donné la parole au réalisateur Dominique Othenin-Girard, qui revient sur l'entièreté de son expérience sur le film!

Dispo sur les plateformes de podcast.
Jaquette du podcast jumpscare sur HALLOWEEN 5 avec l'affiche du film : Michael Myers en gros avec une lame dans laquelle est incrustée Jamie Lloyd, héroine du film.

HALLOWEEN 5
La production chaotique racontée par le réalisateur Dominique Othenin-Girard. Dispo sur toutes les plateformes de podcast.
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Bava donne naissance au Giallo à Rome, un freeze frame incroyable, le brouillon de The Wolf Man et, bon sang, je ne supporte plus du tout Roscoe Arbuckle.
#LetterboxdFriday #LastFourWatched
La Fille qui en savait trop, 4 étoiles sur 5
L'Exorciste Chinois, 3 étoiles et demi sur 5
Man-Made Monster, 3 étoiles sur 5
Out West, 1 étoiles et demi sur 5
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Chinatown Kid (Chang Cheh / 1977)
Zatoïchi, Le Masseur aveugle (Kenji Misumi / 1962)
Escape from the 21st Century (Li Yang / 2024)
L'exorciste chinois (Sammo Hung / 1980)
Chinatown Kid Zatoïchi, Le Masseur aveugle Escape from the 21st Century L'exorciste chinois
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Le film est ressorti dans les 50's sous le titre de The Atomic Monster, histoire de surfer sur les thématiques du moment, tandis qu'en France, il est connu comme L'échappé de la chaise électrique, révélant en partie l'intrigue.
Affiche du film sous le titre The Atomic Monster. Affiche du film sous le titre Man-Made Monster.
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Malgré sa courte durée, ses fulgurances et son interprétation solide, on s’ennuie un peu.
Il y a une romance insérée grossièrement et la scène la plus attendue, donnant au film son titre français, est laissée totalement hors-champ, racontée par un journaliste au téléphone.
Un peu frustrant.
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Résultat : sa force est décuplée, il n'a plus aucune volonté et, surtout, il est tant gorgé d’électricité qu'il luit !
Un effet visuel aussi réussi que pénible puisque notre œil est sans cesse attiré par la tête de Lon Chaney Jr. qui clignote de façon plus ou moins régulière dans le cadre.
Lon Chaney Jr., la tête entièrement lumineuse.
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En 1941, quelques mois avant le Universal Monsters The Wolf Man, George Waggner réalisait Man-Made Monster.

Lon Chaney Jr., dans son premier rôle horrifique, y devenait malgré lui le cobaye du Dr Paul Rigas, mad scientist fascisant rêvant de contrôler des "surhommes" animés par l’électricité.
Ecran titre du film

Universal
Presents
Man Made Monster

Copyright MCMXLI by Universal Pictures Company, Inc. Un homme en costume noir est face à Lon Chaney Jr., ses bras et sa tête dégageant de la lumière. Gros plan du visage du docteur Paul Rigas.
Un homme d'âge moyen portant une moustache, une blouse, un stéthoscope autour du cou ainsi qu'une large paire de lunettes de protection sur le front. June, un livre à la main, face à une bibliothèque.
Elle regarde derrière son épaule.
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Avec ses thématiques humanistes et antispécistes, un peu naïves mais sincères, et une durée dépassant à peine l'heure 15, Gorgo est une bien sympathique et divertissante petite curiosité.
Deux hommes et un jeune garçon dans une pièce pleines d'anciens objets, dont des boucliers, des poteries ou des paniers.
Les regards des trois personnages convergent vers le premier plan où se trouve la proue d'un bateau en bois représentant la tête et le long cou d'un gigantesque reptile.
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Si on peut lui reprocher une surutilisation de stock-shots militaires, assez épuisante à la longue, Gorgo brille par ses sfx faisant de chaque séquence de destruction un vrai plaisir.
Stock Shot montrant deux navires de guerre voguant sur l'océan. Gros plan de Gorgo, gigantesque reptile aux yeux rouges et à la bouche grande ouverte, ornée de dents pointues.
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Qui n'a jamais rêvé de voir un kaijū fracasser Big Ben ou le London Bridge ?
Pas moi en tout cas.

En 1961, pour son dernier film en tant que réalisateur, Eugène Lourié s'inspire de Godzilla et troque la stop-motion de ses précédents films pour un acteur costumé dévastant Londres dans Gorgo.
Le Piccadilly Circus, gorgé de publicités dont une pour le cirque Dorking exposant Gorgo.
Dans le fond, un gigantesque reptile s'approche, la gueule ouverte. Gorgo, un reptile gigantesque, en pleine destruction d'une des tours du London Bridge. Au premier plan, un jeune garçon vétu d'un pull, semblant hurler quelque chose. Derrière lui, deux hommes en tenues de marin, regardant dans la même direction que l'enfant.
Dans le fond, une maison en pierre. Gorgo surgit de l'eau alors que passe une barque sur laquelle se trouvent trois personnes dont deux portant des torches.
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Oui, mais le malaise, guitares au poing.
(au secours)