La quasi-totalité des indicateurs sont en hausse, selon les données du ministère de l'Intérieur publiées ce mardi. Ce que n'ont pas manqué de dénoncer la droite et l'extrême droite.

Selon un sondage d'OpinionWay pour « Les Echos » et Radio Classique, 61 % des Français approuvent la mobilisation contre la réforme des retraites. Le soutien des femmes a bondi en deux semaines. S'il reste majoritaire, le sentiment qu'il est nécessaire de faire cette réforme perd du terrain.

Miné par les divisions, le parti à la rose a évité la catastrophe lors de son congrès à Marseille. Mais la nouvelle direction devra prouver son efficacité.

A l'approche de la présentation du projet de loi en conseil des ministres, le ministre de l'Intérieur se déclare prêt à aller plus loin pour convaincre les députés Les Républicains

Le premier secrétaire sortant, Olivier Faure, et son challenger, Nicolas Mayer-Rossignol, sont parvenus à un accord. Le second devient premier secrétaire délégué aux côtés d'une proche d'Olivier Faure.

Si la gauche paraît unie pour sa bataille existentielle contre la réforme des retraites, elle est aussi rattrapée par les divisions internes au sein de ses deux principales composantes - LFI et le PS - et par des divergences qui restent fortes sur le fond.

Le texte porté par les ministres Gérald Darmanin et Olivier Dussopt arrive mercredi prochain sur la table du Conseil des ministres. Le gouvernement n'a aucune certitude d'obtenir une majorité à l'Assemblée.

Olivier Faure et Nicolas Mayer-Rossignol ont renoué le dialogue mais ne parviennent pas à trouver un accord pour sortir le Parti socialiste (PS) de l'impasse dans laquelle il est plongé depuis le deuxième tour de l'élection de son premier secrétaire jeudi dernier.

Après l'avoir agitée comme une menace, une partie des élus de gauche semble renoncer à la stratégie d'obstruction au Palais-Bourbon. Pour eux, il est essentiel de discuter en séance du report de l'âge légal, disposition qui cristallise la contestation.

L'élection du premier secrétaire a coupé le parti en deux camps devenus irréconciliables, alors que Nicolas Mayer-Rossignol conteste toujours la victoire d'Olivier Faure, confirmée après un nouveau décompte dimanche. Encore sonné par ses deux déroutes aux présidentielles de 2017 et 2022, le PS sortira affaibli de cette crise.

L'élection du premier secrétaire a coupé le parti en deux camps devenus irréconciliables, alors que Nicolas Mayer-Rossignol conteste toujours la victoire d'Olivier Faure, confirmée après un nouveau décompte dimanche. Encore sonné par ses deux déroutes aux présidentielles de 2017 et 2022, le PS sortira affaibli de cette crise.

Si la direction du Parti socialiste a annoncé la victoire d'Olivier Faure pour le poste de premier secrétaire, son challenger, Nicolas Mayer-Rossignol, la revendique aussi. Le scénario de 2008 se reproduit.

Au terme d'une nuit d'imbroglios, le premier secrétaire sortant a été reconduit de justesse à la tête du PS avec 50,83% des suffrages, a annoncé le PS ce vendredi matin. Une annonce immédiatement contestée par son adversaire Nicolas Mayer-Rossignol.