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macOS 26 peut surconsommer la mémoire vive chez certains utilisateurs, y compris sur macOS 26.0.1
Certains utilisateurs de macOS 26, y compris la dernière version macOS 26.0.1, font état d’un souci qui ralentit fortement la machine : les applications restées ouvertes un peu trop longtemps demandent petit à petit une quantité de mémoire vive démesurée, comme le rapporte TheMacObserver. Le bug n’est pas systématique, mais bien handicapant, d’autant qu’il semble toucher plus facilement les machines n’ayant que 8 Go de RAM. Et quand il arrive, il ne fait pas semblant : certains utilisateurs se sont retrouvés avec des applications légères comme Pages consommant plus de 175 Go de mémoire, ou pire la calculette demandant... 42 Go. Le souci touchant plusieurs apps laisse penser qu’il ne vient pas d’une application en particulier, mais d’un composant système partagé par de nombreux programmes. D’autres hypothèses tendent vers un bug venant de la nouvelle couche visuelle Liquid Glass qui contiendrait une erreur menant à une surconsommation de RAM. Les machines les plus touchées semblent être les Mac avec 8 Go de RAM ayant effectué une mise à niveau depuis un ancien OS vers Tahoe. SI vous rencontrez ce souci, plusieurs étapes existent pour tenter de remédier au problème : * Forcer à quitter l’application, et la relancer. * Redémarrer le Mac avec l’option « Rouvrir toutes les fenêtres ouvertes précédemment » décochée. * Vérifier la « Pression sur la mémoire » dans l’application Moniteur d’activité. Si elle monte alors que le système est au repos, redémarrez votre Mac. * Pour de longues sessions sur Pages, évitez de faire des copier/coller de grosses images, cachez temporairement les vignettes dans les très longs documents, et mettez la collaboration iCloud en pause. * Faites un échantillonnage de l’opération » dans le Moniteur d’activité et envoyez-le grâce à l’assistant Feedback assistant d’Apple pour leur remonter le souci. Pour les utilisateurs avancés seulement, deux autres voies possibles : * Testez une préférence cachée de SwiftUI avec la commande defaults write -g com.apple.SwiftUI.DisableSolarium -bool YES * Vous pouvez revenir en arrière avec la commande suivante : defaults delete -g com.apple.SwiftUI.DisableSolarium Ces deux dernières commandes sont à utiliser à vos risques et périls, le Terminal n’étant pas à conseiller aux utilisateurs novices. Si vous êtes touché, le plus simple et efficace reste de redémarrer de manière régulière la machine, en attendant qu’Apple corrige le problème. N’hésitez pas à nous en faire part dans les réactions si vous rencontrez ce bug.
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Les Crocs aux couleurs de Windows XP pour les 50 ans de Microsoft sont en vente
Mise à jour du 10 octobre 2025 : Les Crocs Windows XP sont en vente sur le site de Microsoft dédié au merchandising de la marque. Les chaussures valent 80 $, et il est possible de se faire livrer en France. Attention, les frais de port restent assez élevés et Microsoft indique bien que les taxes ne sont pas prises en compte, ce qui implique le paiement de la TVA (et des frais de dossiers) lors de la réception. N'espérez pas vous en tirer en dessous de 130 à 140 € pour la paire de Crocs, donc. Espérons pour les amateurs que Microsoft décide de le vendre dans nos contrées. Version originale : Pour les 50 ans de Microsoft — la société est née un peu avant Apple, en 1975 —, les employés peuvent acheter un pack assez étonnant : une paire de Crocs (des chaussures clivantes) aux couleurs de Windows XP et de son fond d'écran si connu, Bliss. Image The Verge. Vendues 80 $ selon The Verge, elles sont accompagnées de petits accessoires promotionnels aux couleurs de Microsoft, qui reprennent le logo de MSN, l'icône d'Internet Explorer, celle de Clippy ou un pointeur de souris. Les Crocs sont bleues, avec les nuages du fond d'écran de Windows XP. Un sac de transport, aussi aux couleurs du fameux fond d'écran, semble fourni avec les Crocs. Nos confrères indiquent que l'ensemble est en précommande pour les employés, et qu'une annonce (avec peut-être une commercialisation plus large) devrait arriver dans les prochains jours. Il y a malheureusement peu de chances qu'Apple propose des New Balance 992 aux couleurs d'Aqua…
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Médicaments se met à jour pour iOS 26 et adopte le design Liquid Glass
Lancée il y a bientôt 15 ans, l’application Médicaments continue son petit bonhomme de chemin. Ce programme destiné aux professionnels de santé permet de consulter les informations officielles sur plus de 12 000 médicaments vendus en France, comme leur composition, prix, effets, et taux de remboursement. Elle sert aussi à vérifier les interactions entre plusieurs traitements et fonctionne même sans connexion Internet. L’app est désormais prête pour iOS 26 et a été complètement réécrite en SwiftUI pour l’occasion. Médicaments sous iOS 26. Image iGeneration L’interface a été revue, prenant en charge Liquid Glass et permettant désormais d’accéder à son historique depuis la page principale. Son développeur Simon de Bernard nous a expliqué avoir amélioré la recherche, qui devrait être plus souple et plus puissante. Elle comprend les approximations phonétiques ou les recherches par préfixe sur l'ensemble des mots de la désignation et des formulations. La base de médicaments a été mise à jour, tandis que l’app donne un accès direct aux groupes référent/génériques. Notons que les versions iOS antérieures à iOS 26 ne profitent pas de la réécriture en SwiftUI et restent sur la version Objective-C/UIKit. Médicaments peut être téléchargée gratuitement, mais impose un abonnement à 12 € par an pour accéder aux monographies complètes. L’application Notices médicaments se destinant aux particuliers n’a pas encore été mise à jour.
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Apple devrait vraiment intégrer Auracast dans iOS
Pendant longtemps, Apple a été une des sociétés qui intégrait très rapidement les nouveautés de la norme Bluetooth, que ce soit avec des claviers et des souris il y a plus de vingt ans, l'intégration de l'audio ou même la prise en charge du Bluetooth LE dès 2010 avec les iPhone 4S ou les MacBook Air. Mais il y a un domaine où la société a pris du retard : celui de la norme LE Audio et plus spécifiquement celle de la technologie Auracast. Auracast. Auracast est une technologie Bluetooth qui repose sur les codecs LE Audio — qu'Apple ne prend pas en charge — et qui permet de diffuser un flux audio en broadcast, un peu à la manière d'une station de radio locale. Un appareil qui émet en Auracast (comme un téléviseur) envoie un flux audio, et n'importe quel appareil peut ensuite accrocher ce flux, pour en profiter1. La technologie est intéressante dans de nombreux cas. Le premier est celui de l'accessibilité : l'Auracast peut remplacer la boucle magnétique pour les aides auditives, en se connectant sur un flux envoyé numériquement. C'est aussi assez pratique avec les téléviseurs, pour partager l'audio d'un film avec deux paires d'écouteurs… ou pour récupérer le flux audio d'un appareil placé dans un endroit public, comme un bar ou un aéroport. La technologie est aussi de plus en plus employée par les fabricants d'enceintes pour les synchroniser facilement, avec une technologie (à peu près) standardisée. LG a une solution efficace dans son app iOS. Il faut aller dans les réglages Auracast, choisir un flux et connecter les écouteurs à ce flux. Image WatchGeneration. Les premiers produits Bluetooth LE Audio, avec LC3 et Auracast, disponibles cette année Mais en 2025, le problème principal est qu'Apple ne prend pas en charge Auracast avec ses AirPods, ni même dans ses systèmes d'exploitation. Et sans cette intégration de la part d'Apple, la technologie ne prend pas. C'est un des défauts d'Auracast : la solution la plus évidente pour sélectionner un flux nécessite un écran. Quelques appareils peuvent se connecter automatiquement à un flux public, mais c'est une option plutôt réservée aux enceintes qui détectent un flux émis par un modèle d'une marque identique. En l'état, la sélection du flux dépend donc souvent d'une application, qui n'est pas nécessairement disponible. Quelques constructeurs (comme LG) ont fait l'effort de proposer une app iOS pour sélectionner un flux et connecter un casque dessus (testé avec des LG xboom Buds) mais ce n'est pas généralisé. Avec des Creative Zen Air Plus, il faut se reposer sur la détection et la connexion automatisée qui est perfectible, alors que les Sony Inzone Buds, eux, ne peuvent même pas être connectés à un appareil iOS, étant donné qu'ils ne prennent en charge que les codecs LE Audio qu'iOS ignore. Google le fait. Image Google. Cet état de fait n'est pourtant a priori pas une contrainte technique, et Apple pourrait en effet intégrer a minima un sélecteur pour choisir un flux Auaracast directement dans iOS. Ce qui éviterait de devoir passer par l'application d'un constructeur, donc la logique va varier en fonction des marques… quand la fonction est implémentée. Nous pouvons l'affirmer pour une bonne raison : Google l'a fait. Android, dans ses dernières versions, intègre en effet le nécessaire pour rejoindre un flux Auracast. Avec des écouteurs compatibles — la liste comprend des modèles Sony, Google, Samsung, etc. —, il est possible de lister les flux Auracast disponibles, pour connecter les appareils compatibles. Nous vous proposerons un dossier plus complet sur la mise en place d'Auracast et les quelques limites, mais il nous semblait important de parler de l'absence d'Apple dans ce domaine. En espérant qu'une mise à jour d'iOS 26 et des AirPods ajoutera la prise en charge de la technologie. --- * Flux qui peuvent être publics ou privés, avec un mot de passe.  ↩︎
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Apple muscle son bug bounty avec des primes record pour les failles les plus sophistiquées
Apple vient d’annoncer une grosse refonte de son programme de chasse aux bugs (bug bounty), qui vise à inciter les chercheurs en sécurité à remonter des failles et autres vulnérabilités dans ses logiciels. Cupertino a annoncé qu’elle allait doubler la récompense maximale pour certains problèmes très sophistiqués, qui peut maintenant atteindre les 2 millions de dollars. Dans son communiqué, Apple explique que cette grosse somme vise les chaînes de failles pouvant atteindre « des objectifs similaires à ceux des attaques sophistiquées menées par des logiciels espions mercenaires ». L’idée est de mettre l’accent sur les chaînes complètes plutôt que sur les vulnérabilités individuelles. Apple insiste sur sa générosité et affirme qu’il s’agit de la plus importante récompense offerte par un programme de prime du même genre. Cupertino rappelle également offrir un bonus pour les recherches concernant son mode Isolement sur les bêtas. Celui-ci « aide à protéger les appareils contre les cyberattaques extrêmement rares et très sophistiquées ». La récompense la plus haute dépasse les 5 millions de dollars. Les catégories vont désormais être plus variées. Apple explique par exemple donner jusqu’à 300 000 $ pour les évasions du bac à sable WebKit réalisables en un seul clic, et jusqu’à 1 million pour les exploits de proximité sans fil utilisant n’importe quelle radio. Nous doublons ou augmentons considérablement les récompenses dans de nombreuses autres catégories afin d'encourager des recherches plus approfondies. Cela inclut 100 000 dollars pour un contournement complet de Gatekeeper et 1 million de dollars pour un accès non autorisé à iCloud, car aucune exploitation réussie n'a été démontrée à ce jour dans ces deux catégories. Apple a également présenté les Target Flags, un indicateur technique fourni par les chercheurs pour démontrer rapidement et objectivement qu’une vulnérabilité est exploitable. Le but est d’accélérer l’évaluation et le versement des récompenses, même avant qu’un correctif soit disponible. Jusqu’à présent, les chercheurs devaient attendre qu’Apple publie un patch avant de toucher leurs primes. Apple affirme avoir distribué plus de 35 millions de dollars à plus de 800 chercheurs depuis le lancement du programme en 2020. Les nouveautés présentées aujourd'hui seront mises en place au courant du mois de novembre.
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Google offre un an de Gemini Pro et 2 To de stockage aux étudiants
Google fait une fleur aux étudiants et va leur offrir un an de sa formule « Pro » d’outils IA. La ristourne est disponible à ce lien : elle comporte les différents avantages de l’offre Google AI Pro, comme l’accès aux modèles d’IA les plus performants, des crédits pour la génération de vidéos en plus de 2 To de stockage dans le nuage. Il faut une adresse étudiante pour en profiter, un numéro d’attestation CVEC étant recommandé pour accélérer le processus. Les outils de Google inclus dans l’offre sont variés. On y trouve un accès étendu à Gemini avec le modèle 2.5 Pro, mais aussi Deep Research, qui a été pensé pour aider dans les recherches. Le compagnon de notes NotebookLM est également de la partie, celui-ci servant par exemple à créer des podcasts en se basant sur un cours. Veo 3 peut générer des vidéos, tandis que Nano Banana est réputé pour la retouche de photos. Cette offre sans engagement est valable jusqu’au 9 décembre, alors ne trainez pas trop si vous êtes intéressés. Pour ceux n’étant pas étudiants, la formule est facturée 21,99 € par mois. Les utilisateurs d’IA pourront chercher une ristourne chez leur opérateur : Free offre depuis février un an d’accès gratuit au service Le Chat Pro de Mistral, tandis que Bouygues propose la même chose avec Perplexity Pro. Orange propose de son côté ChatGPT plus à moitié prix pendant 6 mois.
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Dia : le successeur d'Arc carburant à l'IA désormais accessible à tous
Dia, le successeur d’Arc carburant à l’IA, est désormais disponible pour tous sur macOS. Le navigateur était jusqu’à présent en bêta et fonctionnait à l’aide d’un système d’invitation. Il est maintenant possible de le télécharger directement depuis le site officiel, sachant qu’il faudra un Mac M1 avec Sonoma au minimum pour en profiter. Le navigateur pèse pas loin de 1 Go et n’a pas encore été traduit en français. Le navigateur Dia. Image MacGeneration Le navigateur embarque un assistant que l’on peut questionner à tout moment. Il peut répondre à des questions en lien avec ce qui est à l’écran, mais aussi à d’autres plus générales. Les fonctions de base comme les résumés ou la reformulation de texte sont présentes. Il est possible de lui envoyer des pièces jointes pour analyse, et le navigateur peut se baser sur votre historique pour ses réponses. Un abonnement à 20 $ par mois est disponible depuis peu pour les plus gros utilisateurs. Dia : le successeur d’Arc gagne un abonnement Pro à 20 $ par mois Le lancement global du navigateur devrait permettre d’accélérer la cadence. Le CEO de The Browser Company a promis des mises à jour hebdomadaires accompagnées de nouvelles fonctions, comme un futur mode concentration, une mémoire des onglets mieux gérée ou une refonte des « Skills », un système de raccourcis. Les navigateurs carburant à l’IA sont de plus en plus nombreux. Perplexity a récemment ouvert à tous Comet, tandis qu’Opera a dévoilé Neon, Google n’est pas en reste et va faire en sorte que Gemini s’intègre mieux à Chrome. Dans un autre registre, Mountain View vient de lancer un modèle pensé pour manipuler les navigateurs.
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Le nouveau propriétaire de Bartender a sorti une mise à jour majeure, qui semble poser problème avec macOS Tahoe
Bartender a fait grand bruit l’an dernier, pour de mauvaises raisons : cette app qui permet de modifier la barre des menus de macOS a été vendue dans la plus grande discrétion à un nouveau propriétaire qui était lui encore bien discret quant à ses intentions. Un petit peu plus d’un an après, l’entreprise a sorti la première mise à jour majeure de l’app avec une sixième version disponible depuis le mois de septembre. Le changement de numéro signale une réécriture complète de l’app, comme les développeurs l’indiquent sur leur blog, avec des gros changements internes et même la traduction en français. Image Applause Group. Que de bonnes nouvelles sur le papier… même si les retours font état de gros problèmes, en particulier avec macOS Tahoe. Alors que Bartender 6 revendique sa compatibilité avec le nouveau système d’Apple, des utilisateurs se plaignent d’une utilisation anormalement élevée de ressources, d’autres d’une mise à jour qui a conduit à perdre tous les réglages précédents. Les bugs, cela arrive bien entendu, mais ce n’est pas très rassurant sur l’état de cette app et on peut avoir envie de regarder du côté des alternatives. Il faut dire qu’elles ne manquent pas, on en a évoqué quelques-unes au fil des années dont Barbee sortie au printemps dernier. Dans le domaine, la référence semble toutefois être Ice, qui présente l’avantage d’être gratuit et surtout open-source. C’est un aspect important, car toutes ces apps ont besoin de surveiller la barre des menus de macOS pour la gérer. Concrètement, cela implique de leur permettre de faire des captures d’écran régulières et ainsi de voir tout ce qui est affiché à l’écran. Les développeurs de Bartender le mentionnent d’ailleurs, en soulignant que la sixième version réduit le nombre d’utilisations de cette fonction (qui conduit à l’affichage d’un point violet dans la barre des menus, c’est macOS qui le fait automatiquement) et surtout en garantissant que les images sont stockées dans la mémoire vive et jamais mises en ligne. Au lieu de dépendre de la bonne volonté des développeurs, Apple a pris les choses en main avec macOS Tahoe, qui propose des solutions pour remplacer entièrement Bartender et les autres. Cette version permet de masquer les icônes qui s’affichent dans la barre des menus, même si le développeur de l’app ne l’a pas prévu. C’était l’un des principaux arguments des apps tierces et d’après ce que j’ai pu constater sur mon Mac, je peux en effet masquer toutes les apps qui occupent de la barre sur ma barre de menus, sans exception. macOS Tahoe permet de masquer des apps tierces de la barre des menus, retirant aux apps comme Bartender un argument. Image MacGeneration. L’autre grosse nouveauté est moins tangible pour le moment. Les développeurs peuvent désormais créer des contrôles qui trouveront place dans le centre de contrôle entièrement revu avec macOS 26, ou bien dans la barre des menus. Pour l’heure, peu d’apps gèrent la nouveauté, même si on l’a croisée notamment dans le gestionnaire de tâches Things. macOS Tahoe 26 : découverte du nouveau Centre de contrôle inspiré de l'iPhone Si vous êtes malgré tout intéressé, une version de démonstration est proposée pour Bartender 6 et elle fonctionnera pleinement pendant quatre semaines. Au-delà, une licence vendue environ 20,7 € TTC est nécessaire. Pour les utilisateurs de la cinquième version, la mise à jour sera facturée environ 12 €, sauf si la licence précédente avait été acheté en 2025. macOS Sequoia est nécessaire au minimum, l’interface est traduite en français.
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NFT, post-quantique et blockchain dans les ordinateurs de Thomson
Metavisio, la société qui vend des ordinateurs sous la marque iconique Thomson — si tant est qu'un PC qui porte le même logo qu'un MO5 PLatini est iconique — vient d'annoncer avoir déjà vendu plus de 10 000 modèles équipés de la puce de sécurité de Sealsq, la QS7001. De façon basique, c'est un composant TPM (obligatoire pour Windows 11) spécifique, parfois employé à la place des implémentations d'AMD ou Intel intégrées dans les CPU. La puce de Sealsq est basé sur une architecture RISC-V. Le fameux Thomson MO5 Platini. Image Home Computer Museum. La société, qui travaille depuis peu avec le département de la guerre département de la défense américain, est spécialisée dans la sécurité et indique que sa puce de sécurité intègre des protections post-quantiques. Rappelons que les rares ordinateurs quantiques actuels sont essentiellement des démonstrations technologiques et que les protections post-quantiques sont donc globalement une assurance pour le futur. En plus de la puce spécifique, les ordinateurs de Thomson intègrent une partie logicielle dédiée, qui donne accès à un token Sealcoin. C'est en résumé un accès à une blockchain décentralisée, avec une pointe d'IA (pour cocher encore une case à la mode). Sur le papier, ce Sealcoin permet notamment une meilleure sécurité et peut en théorie remplacer un mot de passe… et ressemble énormément à un NFT, sans dire le mot NFT. Toute la question, et c'est un problème récurrent sur ce type de sécurité, est de pouvoir vérifier que la puce et la partie logicielle sont réellement plus efficaces qu'un composant TPM classique et si le Sealcoin est un réel avantage pour les clients de Metavisio. Ou si, comme souvent, c'est un effet d'annonce qui permet de mettre en avant quelques mots clés (plus ou moins) à la mode, sans réels avantages.
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Free Mobile promet que l’Apple Watch « arrivera bientôt » sur son réseau mobile
Les clients Free Mobile devraient enfin pouvoir utiliser prochainement leur forfait mobile avec une Apple Watch cellulaire. Le quatrième opérateur français n’a pas annoncé de date, mais comme le rapporte Univers Freebox, c’est l’une des promesses faites à l’occasion des journées communautaires organisées le mois dernier avec des abonnés. L’eSIM adaptée à watchOS « arrivera bientôt », a ainsi promis l’entreprise, même si l’absence de date ferme n’est rassurant qu’à moitié. Image WatchGeneration. En effet, l’arrivée de l’Apple Watch chez Free mobile n’est pas une idée nouvelle, loin de là. On en parlait déjà il y a près de trois ans, quand l’eSIM est apparue chez l’opérateur et que sa comptabilité avec la montre était alors à l’étude. Un an après, des préparatifs semblaient avoir commencé, sans suite. Début 2024, c’est Xavier Niel en personne qui confirmait son arrivée, même s’il annonçait alors la couleur en « espérant » que ce soit le cas en 2025. Dernier épisode de la saga, d’autres préparatifs techniques ont été repérés pendant l’été, signe peut-être que la situation évoluait. Il faut dire qu’au cœur de la prise en charge de l’eSIM par les Apple Watch, le problème n’est pas tant technique que contractuel. Apple signe des contrats spécifiques avec les opérateurs et même si on ne connaît pas les détails, on sait qu’il y a des échanges financiers dans l’affaire. Free Mobile a probablement surtout passé du temps à négocier les termes du contrat avec la Pomme, même si on imagine qu’il y a aussi des préparations à faire en arrière-boutique. Quoi qu’il en soit, l’annonce faite aux communautés est rassurante et peut-être que la promesse de 2025 sera tenue. Sinon, la prise en charge des Apple Watch sera sûrement pour le début de l’année prochaine. Au passage, Free Mobile a indiqué que ce n’était pas exclusif à la Pomme, d’autres montres connectées devraient également en bénéficier.
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Une mystérieuse invitation d’Apple affole les réseaux
Une carte d'invitation émanant d'Apple et publiée par le photographe Johnny Hawk a mis le feu aux réseaux sociaux ces dernières heures. Elle comportait le message suivant : Salut Johnny. Nous sommes tellement heureux de t’accueillir au Colorado Voici un petit sac rempli d’essentiels pour ton séjour parmi nous — profites-en bien. À très bientôt ! La carte est accompagnée d’un sac à dos noir frappé du logo d’Apple et d’une flasque blanche. Il n'en fallait pas plus pour que certains s'imaginent que cette invitation ait un lien avec les nouveautés Apple qui doivent être présentées ce mois. Apparemment, il n’en est rien. C'est donc ça une green card ? Ce rassemblement dans les Rocheuses ferait en réalité partie de la campagne marketing liée au keynote de rentrée déjà passé, consacrée à l’iPhone 17. Dans plusieurs publications sur X et Instagram, Tony Hawk a révélé qu’Apple l’avait convié dans le relief escarpé du Colorado pour tester les nouveaux iPhone, AirPods et Apple Watch dans des "conditions extérieures exigeantes". L'évènement dure plusieurs jours. Il y a pire comme décor ! Apple organise parfois ce genre d’événements régionaux, destinés à faire découvrir ses produits à des influenceurs dans des contextes atypiques. Ces sessions se déroulent toutefois le plus souvent dans de grandes villes, métropoles New York. Apple face à une avalanche de fuites : iPad Pro M5, Vision Pro, MacBook Pro M5… Apple : une deuxième salve de nouveautés se prépare pour l’automne Toutefois, si Apple n'organise pas de keynote pour présenter ses nouveautés à la fin octobre, il est fort possible qu'elle invite des journalistes et influenceurs à des rencontres privées en amont ou dans la foulée de leur présentation. Mais dans ce genre de cas, tout se passe à huis clos, dans de grandes villes, et la discrétion est de rigueur.
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iOS 26.1 : petit coup de boost pour les performances ?
Grosse bataille sur Reddit pour savoir si iOS 26.1 offre un petit coup de pouce côté performances, notamment sur les nouveaux iPhone. Plusieurs utilisateurs affirment avoir observé une hausse des scores dans les benchmarks, même si, d’un test à l’autre, il est toujours difficile d’être catégorique : un outil comme Geekbench peut donner des résultats sensiblement différents selon les conditions. Sur Reddit, un utilisateur a ainsi partagé les scores de son iPhone 17 Pro Max, qui atteignait au lancement 3 510 en single-core et 9 408 en multi-core. Dans notre propre test, nous avions relevé des valeurs très proches : 3 559 et 9 381. Quelques semaines plus tard, chez ce même utilisateur, les scores sont passés à 3 766 et 9 613, avant d’atteindre 3 778 et 9 725 avec la bêta publique 2 d’iOS 26.1, publiée le 8 octobre. Une progression lente mais constante au fil des mises à jour. Test des iPhone 17 Pro et 17 Pro Max : le Pro est-il devenu de trop ? Cela dit, il faut évidemment prendre tout cela avec des pincettes. Le premier test a été réalisé le jour de l’achat du téléphone, alors que l’iPhone devait encore exécuter en arrière-plan ses nombreuses tâches d’indexation et de configuration. En consultant la base de données Geekbench, on observe toutefois la même tendance à la hausse, ce qui suggère que l’amélioration est bien réelle. Comparaison n'est pas raison, mais voici les résultats de Geekbench avec des iPod touch de 2015 et 2012. Les résultats de benchmark dépendent d’une foule de paramètres : processus en arrière-plan, température de l’appareil, indexation des apps, etc. Une telle variation peut aussi bien venir d’une optimisation logicielle de la part d’Apple que du fait qu’iOS fonctionne désormais plus sereinement après le flot de mises à jour post-lancement. Certains utilisateurs rapportent d’ailleurs des améliorations similaires sur d’autres modèles d’iPhone. Rien de totalement certain, mais au moins, les chiffres vont dans le bon sens : mieux vaut les voir progresser que baisser !
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La Model Y Standard arrive en France à 40 000 €, en attendant d’éventuelles aides
Quelques jours après sa sortie aux États-Unis, Tesla annonce le lancement de la Model Y Standard en Europe, y compris en France où on peut commander ce nouveau modèle sur le configurateur. C’est la même formule que de l’autre côté de l’Atlantique, à savoir une Model Y appauvrie, surtout avec des retraits stylistiques à l’extérieur et de nombreuses fonctionnalités en moins à l’intérieur. Le prix de base est identique en dollar et en euro, soit 39 990 € en Europe. La Model Y Standard est ici en blanc, elle se reconnaît à ses phares avant sans barre lumineuse traversante ou encore à ses jantes spécifiques et ses roues plus petites. Image Tesla. La bonne nouvelle pour les clients français, c’est que la voiture est produite dans l’usine berlinoise de Tesla et elle correspond ainsi en théorie aux règles complexes pour bénéficier de la prime CEE Coup de pouce, qui atteint 3 180 €. La mauvaise, c’est que Tesla n’a pas fait les demandes avant de lancer la nouvelle variante, un classique chez l’Américain. Résultat, vous n’en bénéficierez pas si vous commandez aujourd’hui, ou du moins ce n’est pas sûr. Si tout va bien, l’entreprise va faire valoir ses droits auprès des instances compétentes, la Model Y Standard recevra un écoscore favorable et les voitures pourront être vendues à partir de 36 810 €, un excellent rapport qualité/prix fin 2025. Même si Tesla facture à la livraison et non à la commande et que tout le monde pourrait ainsi en bénéficier quand les livraisons débuteront en fin d’année, mieux vaut rester prudent si vous comptez absolument sur les aides. En attendant, la gamme a été revue, puisque la Model Y Standard remplace l’ancienne Propulsion en entrée de gamme et elle reste moins chère malgré l’absence d’aides, même si l’écart est faible. La Propulsion débutait peut-être à 44 990 €, elle bénéficiait des primes et les clients payaient environ 42 000 €. C’était toutefois une Y « complète », sans les retraits et changements apportés par la gamme, que j’avais détaillés dans l’article précédent. Au lieu de la nouvelle voiture à 25 000 $ promise en 2020, Tesla propose une Model Y appauvrie à 40 000 $ Par rapport à la Model Y Standard américaine, l’européenne se distingue toutefois par quelques petites variantes. On doit la plus importante à l’Union européenne : puisque Tesla est obligé d’offrir un maintien de la voie de série, l’Autopilot standard reste proposé sur toutes les variantes, y compris l’entrée de gamme. Aux États-Unis, les clients doivent payer l’option pour bénéficier de la conduite entièrement autonome, une option également vendue ici à 7 500 €, pour bénéficier de cette fonctionnalité aussi courante en 2025. Une mesquinerie purement logicielle, le matériel étant identique, que le constructeur n’a pas pu reprendre sur le continent à cause de la législation locale. L’Europe ne dit rien sur les toits vitrés recouverts d’un tissu à l’intérieur, alors la Y Standard conserve cette bizarrerie, que le fabricant présente comme une aide à l’efficience. La Model Y était déjà le SUV électrique le plus économe, cette variante fait en effet encore mieux, même si c’est surtout lié aux roues de 18 pouces par défaut. Tesla annonce une autonomie théorique de 534 km selon le standard européen WLTP, soit 34 km de plus que l’ancienne Propulsion. Les gains sont finalement nettement moins bons qu’aux États-Unis, mais c’est sûrement parce que la batterie n’a rien à voir et on imagine que l’entreprise a repris le pack LFP de la Propulsion, avec sans doute la même capacité d’environ 60 kWh. Il communique sur une excellente consommation WLTP de 13,1 kWh/100 km et annonce une charge rapide jusqu’à 175 kW, comme l’ancienne version. Image Tesla. Parmi les petites différences, notons que Tesla a retiré ici l’option pour passer aux jantes de 19 pouces, il faudra opter pour une variante supérieure. Le blanc est la couleur par défaut, comme les autres versions, et les clients peuvent choisir du noir ou gris en option. Pas d’intérieur blanc, seul l’attelage reste proposé en accessoire. Si cette Model Y vous semble dépouillée, il faudra désormais ajouter 7 000 € pour acheter la Model Y « Premium », qui est le nouveau nom de la Propulsion Grande Autonomie. Nonobstant sa dénomination, elle est inchangée et bénéficie des aides française, si bien que la différence n’est en réalité que de 4 000 € environ par rapport à la Standard. Pour finir, notons que la Model 3 Standard reste pour l’heure une exclusivité américaine. En Europe, Tesla vend toujours la Propulsion habituelle, également à partir de 39 990 € même si le fabricant affiche une « prime Tesla » qui la fait descendre juste sous la barre des 37 000 € pour le client. Une manière sans doute de lui rendre de l’intérêt face à la Model Y Standard, sachant que la berline est produite en Chine et ne bénéficie d’aucunes aides officielles. Rappelons qu’elle a reçu récemment une mise à jour assez mineure, avec tout de même deux changements réclamés de longue date (caméra avant et levier pour les clignotants). En attendant une Model Y (à peine) moins chère, Tesla améliore la Model 3
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Apple Watch : une grande réorganisation avant un renouveau en 2026 ?
L’Apple Watch a soufflé ses dix bougies cette année. Certes, l’Apple Watch SE 3 est sympathique, l’Ultra 3 a eu droit à une mise à jour honnête et watchOS 26 apporte son lot de nouveautés, mais Apple n’a pas vraiment cherché à marquer le coup pour cet anniversaire symbolique. Image : Apple Pendant dix ans, le principal responsable de la montre connectée d’Apple, c’était Jeff Williams. L’ex-numéro 2 de la firme — souvent présenté comme le Tim Cook de Tim Cook — quittera Cupertino d’ici la fin de l’année. Il avait joué un rôle clé dans le lancement du tout premier modèle. Son départ provoque une vaste redistribution des cartes en interne, notamment en ce qui concerne l'Apple Watch, comme le rapporte Bloomberg . Jeff Williams, COO et n°2 d’Apple, quittera son poste à la fin du mois Pour simplifier, l’écosystème Apple Watch englobe trois grandes composantes : * la gamme de montres elle-même, * watchOS, son système d’exploitation, * et Fitness+, le service de coaching associé. Côté matériel : John Ternus monte encore en puissance Image Apple/MacGeneration Côté matériel, c’est John Ternus, l’homme fort du hardware chez Apple, qui reprend la main. Pressenti pour succéder un jour à Tim Cook, il aura désormais la pleine responsabilité de l’ingénierie de l’Apple Watch. L’équipe lui était déjà rattachée, mais jusqu’ici, c’est Jeff Williams qui pilotait les nouvelles versions de la montre. John Ternus serait-il le futur CEO d’Apple ? Côté logiciel : Craig Federighi récupère watchOS Image Apple Autre figure bien connue des keynotes, Craig Federighi voit lui aussi son périmètre s’élargir. Après avoir pris la direction de Siri et de visionOS, le système d’exploitation du casque Vision Pro, il chapeaute désormais watchOS. Un changement qui pourrait permettre de rapprocher un peu plus la montre de l’écosystème iPhone — et de fluidifier certaines synergies entre les deux plateformes. Côté services : Eddy Cue prend la main sur la santé et le fitness Image Apple Du côté des services, c’est Eddy Cue, grand patron des services d’Apple, qui récupère les équipes en charge de la santé et du fitness. Le timing n’a rien d’anodin : cette décision intervient à l’approche du lancement d’un nouveau service d’abonnement baptisé Health+. Ce futur service intégrera un assistant dopé à l’intelligence artificielle, conçu pour aider les utilisateurs à mieux gérer leur bien-être grâce à des recommandations personnalisées en matière de nutrition, d’exercice et de sommeil. Son lancement est prévu pour 2026. 2026 : un grand cru pour l'Apple Watch ? Reste à voir ce que tout cela changera pour les utilisateurs. Plusieurs signaux laissent penser que 2026 pourrait marquer un tournant pour l’Apple Watch. Notre confrère de Consomac estime que 2026 sera une grande année pour la montre connectée d’Apple. Il s’appuie notamment sur un rapport de Digitimes publié en août, qui évoque « un redesign significatif » pour l’un des trois modèles à venir. Le média taïwanais reste évasif, mais affirme qu’Apple devrait revoir la disposition des capteurs à l’arrière de la montre. Et ce ne serait pas la seule nouveauté : d’autres changements seraient également prévus, sans plus de précisions pour l’instant. Des fuites qui laissent à penser que le meilleur est à venir Toujours en août 2025, Apple avait fait une petite boulette en publiant par erreur du code interne truffé de références à des produits encore en développement. Parmi eux, plusieurs indices concernaient directement l’Apple Watch. On y découvrait notamment que la firme travaillait sur deux nouveaux modèles : * Apple Watch Series 12, en versions GPS (N237) et cellulaire (N238) ; * et une Apple Watch Ultra 4, uniquement cellulaire (N240). Autrement dit, les deux gammes haut de gamme devraient être renouvelées l’an prochain, tandis que l’Apple Watch SE 3 resterait inchangée en entrée de gamme. Apple cherche toujours à mettre Touch ID sur l'Apple Watch La fuite mentionnait également « AppleMesa », le nom de code associé à Touch ID, laissant entendre qu’Apple testerait l’intégration d’un capteur d’empreintes digitales directement sur le bouton latéral. Enfin, un nouveau processeur T8320 a fait surface, marquant la fin de l’actuelle architecture T8310 utilisée depuis trois générations. Les références internes « Watch8,x » (au lieu de « Watch7,x » actuellement) confirment d’ailleurs qu’Apple prépare une mise à jour plus ambitieuse que d’habitude pour 2026. L’avenir dira si toutes ces rumeurs se confirment, mais une chose est sûre : Apple veut faire de 2026 une année charnière. Pour ses 50 ans, la firme prépare des lancements majeurs dans toutes ses gammes de produits — et la montre connectée ne devrait pas être en reste.
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OpenAI se plaint auprès de l’UE de ne pas être à armes égales face aux GAFAM
Alors qu’OpenAI a récemment présenté la possibilité d’intégrer des apps dans ChatGPT, tente-t-elle maintenant de faire plier ses concurrents par l’intermédiaire des législateurs ? Le timing est en tout cas étonnant, l’entreprise ayant demandé une entrevue le 24 septembre avec la responsable antitrust de l’Union européenne, Teresa Ribera, selon Bloomberg. Les bureaux de la Commission européenne à Bruxelles. Image Wikipedia/Cancillería Ecuador, CC BY-SA 2.0. La firme de Sam Altman est venue se plaindre auprès de l’UE, entre autres, de « difficultés à entrer en concurrence avec ces grandes entreprises » que sont Apple, Alphabet (Google) et Microsoft, et demander à la directrice du bureau antitrust d’intervenir afin « d’empêcher les grandes plateformes de verrouiller les utilisateurs chez eux ». OpenAI s’inquiète aussi de « l’accès aux données essentielles », qui pourrait selon elle être limité voire bloqué par ces entreprises proposant leurs services de cloud à leurs clients. Une façon de demander indirectement l’accès pour ChatGPT aux données privées, ou en tout cas d’interdire à ses concurrents de bloquer l’accès à celles-ci ? L’idée d’empêcher toute limitation d’accès en forçant la main aux compétiteurs par le biais de l’UE n’est pas si absurde : Apple sortira bien tôt ou tard son Siri amélioré, et celui-ci étant amené à accéder aux données personnelles présentes sur le téléphone du client, OpenAI serait bien inspirée de forcer la pomme à lui laisser à elle aussi un accès à la demande du consommateur. Si jusqu’à récemment Microsoft tout comme Apple semblaient êtres bons camarades avec OpenAI, les choses commencent à se dégrader : Apple compte marcher sur les plate-bandes de ChatGPT d’ici l’année prochaine, et Microsoft a bien implanté son Copilot face à ChatGPT dans ses produits tels que la suite Office. De son côté, OpenAI s’intègre de plus en plus dans les entreprises, jusqu’alors chasse gardée de Redmond. La guerre est déclarée, et tous les moyens sont bons.
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Motorola rejoint Apple et Samsung dans la mode des smartphones fins avec l’Edge 70
Après Samsung et son S25 Edge, Apple et son iPhone Air, tout le monde veut faire un téléphone le plus fin possible : c’est donc tout naturellement que Motorola entre dans la danse, avec son Edge 70. Pour le moment, Motorola n'a pas communiqué sur les caractéristiques de son appareil, mais la marque a laissé fuité sur une page de son site polonais certaines données concernant la batterie, à savoir une capacité de 4 800 mAh, ce qui en ferait le téléphone « slim » à la plus grande capacité, Apple se contentant de 3 149 mAh sur l’iPhone Air, et Samsung de 3 900 mAh sur son S25 Edge. Pour la recharge, il passerait par une puissance de 68 W, et aurait une autonomie de 50 heures grâce à une batterie silicone-carbone. iPhone Air : le seul modèle facile à trouver (et déjà en réduction) Dans les mentions légales du site, il est aussi possible de retrouver d’autres informations : le téléphone répondrait à la norme IP68 (soit une étanchéité à la poussière et à l’eau jusqu’à quelques mètres pendant 30 minutes), et aurait un capteur de 50 MPixels (mais les visuels montrent 3 objectifs, cette donnée reste donc à préciser). Ces notes de bas de page décidément prolixes nous donnent aussi une mémoire RAM de 8 ou 12 Go suivant la version. Test de l’iPhone Air : mais pourquoi f’Air ? Selon 9to5Google, le nouveau téléphone de Motorola mesurerait 5,8 mm d’épaisseur (contre 5,6 mm pour l’iPhone Air), et devrait être équipé d’un Snapdragon 7 Gen 4, ainsi que d’un verre Gorilla Glass i7. Une indication du prix apparaît aussi sur le site de Motorola Pologne, avec une fourchette allant de 799 à 899 €. De quoi en faire un gros concurrent à l’iPhone Air ?
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