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Car nous pensons en toute mauvaise foi patin couffin
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Le starter pack de marseillologie qui va bien.

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Et pensées et mobilisation particulières cette année pour Réda.
On n’oublie pas, on ne pardonne pas.
L'ensemble des parlementaires marseillais·e·s de gauche ont signé un courrier commun adressé à Emmanuel Macron pour demander la grâce de Réda M.

Via www.instagram.com/p/DQhHWTcDJ-...
Olala mince (sauf qu’à l’instar de la région Sud, la Drôme Provencal·e n’est pas un département, non ?) [mais « une région naturelle et touristique » si j’en crois ici et là].
On a compris Drôme provençal (en gros).
Se pourrait-il que cette petite bévue de vocabulaire soit liée au fait que la Drôme, et la Drôme provençale en particulier, est un désert journalistique quasi total, je n'ai pas la réponse, mais je pose la question.
Suite à l'expulsion de Réda M., le Collectif du 5-novembre a décidé d'interpeller le Président de la République pour solliciter une grâce au vu de la situation exceptionnelle de celui qui a été reconnu victime des effondrements de la rue d'Aubagne.
« Pour » si, à l’image de cette image, c’est une crèche générée par IA.
Survivant de l'effondrement du 65 rue d'Aubagne et reconnu comme victime à l’issue du procès, Reda M. était retenu au centre de rétention du Canet depuis début septembre. Il a été expulsé vers la Tunisie alors que son état de santé suscite l’inquiétude.

marsactu.fr/victime-de-l...
Victime de la rue d'Aubagne, Reda M. a été expulsé vers la Tunisie
Survivant de l'effondrement du 65 rue d'Aubagne, Reda M., ressortissant tunisien sans-papiers, était retenu au centre de rétention du Canet depuis début septembre. Il a été expulsé entre le 25 et le 2...
marsactu.fr
Rendez les seaux à bonbon et les masques lumineux ! Vous avez intérêt à les rendre ! Croyez moi, bande de crapules, vous brûlerez en enfer ! On va venir vous chercher, bande d’escrocs… Traitres !

www.francebleu.fr/infos/faits-...
Par contre, s’il faut parler anglais, merci mais merci bien. #OnNeParleAnglaisQuAvecCharlesPasqua
Pour l’initiative (et le reste), c’est l’immense @nicolasmemain.bsky.social qu’il faut remercier.
Honte à lui, honte à nous.
Pour qu'on mesure la dinguerie : le président de région PACA se moque du maire Marseille qui s'opposait au recrutement à l'OM d'un agresseur, vu qu'il fait gagner des matches au final.
La grande classe.
Instabilité à Paris, galapia à Marseille, comme on dit.

via #Pointue ⛵️
La photo d’illustration qui date de 2019 parce que personne ne les a littéralement jamais vu·e·s dans la même pièce depuis (et personne qui regarde dans la même direction).

Mes écolos sûr·e·s.
À la une | Les Écologistes choisissent leur chef de file pour les municipales sur fond de psychodrame
➡️ https://l.marsactu.fr/atu
Il est essentiel, chacun·e en conviendra, que nous puissions consulter cette photo.
En hommage à qui on expose quoi ?
Au Mucem, la guillotine exposée en hommage au combat de Robert Badinter contre la peine de mort
Au Mucem, la guillotine exposée en hommage au combat de Robert Badinter contre la peine de mort
Par AFP © 2025 AFP A l'occasion de l'entrée au Panthéon de Robert Badinter, une guillotine sera exposée à partir du 9 octobre au coeur de l'emblématique Mucem à Marseille, pour témoigner de ce qu'était la peine capitale abolie en 1981 sous l'impulsion de l'ancien garde des Sceaux. Faite de bois et de métal, la machine à décapiter, 4 mètres 50 de haut et 800 kilos, trône seule au centre d'une pièce de l'exposition permanente du musée, attendant l'arrivée des premiers visiteurs. Juste à côté, des extraits du célèbre plaidoyer de Robert Badinter du 17 septembre 1981 sont inscrites, dont l'un rappelle que "la France aura été, en dépit de tant d'efforts courageux, l'un des derniers pays à abolir la peine de mort". C'est à l'ancien ministre de la Justice que l'on doit la conservation de ce "monstre" au Mucem. Un an après avoir mis fin à la peine capitale, il proposait d'intégrer la guillotine aux collections nationales. A une seule condition: elle ne pourrait être exposée avant l'an 2000. Fichier vidéo Aujourd'hui, l'exposition de cette machine construite en 1872 s'inscrit dans la mission du Mucem de "conserver des traces des grandes avancées sociales et sociétales", selon son président Pierre-Olivier Costa. "Nous souhaitons faire rentrer dans le patrimoine commun un objet qui n'aura plus jamais aucun usage". Depuis l'abolition de la peine de mort, le grand public a pu observer une guillotine à trois reprises: lors d'une exposition au musée d'Orsay en 2010, mais sous un voile, et deux fois à Marseille, à l'ouverture du Mucem en 2013 et à la prison des Baumettes en 2019. Invention française de la fin du 18e siècle, la guillotine a été surnommée de nombreuses façons au cours de son histoire, comme le "Rasoir national", la "Veuve", ou encore la "Raccourcisseuse patriotique". Mais son nom original vient de Joseph-Ignace Guillotin, qui l'a fait adopter comme mode unique d'exécution capitale. Sa lame tranchante a marqué de son ombre les places publiques tout au long du 19e siècle, jusqu'en 1939 où son usage a été réservé à l'espace clos des prisons. Aujourd'hui, son "mécanisme (...) est volontairement bloqué pour des raisons de conservation et de sécurité", souligne le Mucem.
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