Yannick Vely
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Papa totoro. Cannes addict. Japan lover.
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Beau premier film de Shu Qi, #Girl, en partie autobiographique, raconte l'histoire d'une jeune fille en mal d'amour, avec une mère inconséquente, un beau-père violent et une demi-soeur trop chouchoute. Plus que le scénar, c'est la réal qui impressionne, avec une touche HHH.
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le film a son originalité, on s'y sent bien mais bon, c'est assez répétitif quand même.
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Curieux film d'Amenabar, version gay des années de captivité du célèbre écrivain. Le héros est attachant, j'aime ce qu'il dit de la création littéraire, mais passé la première heure très cinéma d'aventure, le film se concentre sur la relation toxique avec le Pacha. #cervantes
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Romance gay bien écrite et bien jouée mais un peu trop étirée et "appliquée", #egoist raconte surtout l'homosexualité au Japon aujourd'hui, toujours enfermé dans une version traditionnelle de la famille. Mais ce n'est pas un manifeste politique mais un vrai mélodrame.
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Curieux film d'Amenabar, version gay des années de captivité du célèbre écrivain. Le héros est attachant, j'aime ce qu'il dit de la création littéraire, mais passé la première heure très cinéma d'aventure, le film se concentre sur la relation toxique avec le Pacha. #cervantes
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Jeu de massacre sympathique avec de beaux numéros d'acteurs, un cynisme total et un vrai sens du rythme. Je regrette presque que les péripéties s'emballent trop vite pour tourner à la grosse farce - mais la dernière scène justifie le virage du perso de Garance. #classemoyenne
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Petit budget - moins d'un 1 million d'euros il me semble - parfaitement utilisé pour un huis clos confronté à la proximité de la guerre. Les deux acteurs sont bons, la tension permanente. Bien sûr cela tire un peu en longueur mais c'est assez bluffant pour un premier long. #honeymoon
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Curieux film ce #HappyEnd , sorte de remake de Typhoon Club, avec une IA qui cherche à contrôler des lycéens turbulents. Le réalisateur saisit bien le mal-être adolescent et s'inquiète de l'utilisation de la surveillance de masse pour faire rentrer les moutons noirs dans le rang.
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comment expliquer ça ? On se posait la même question avec Renaud Baronian sur les films primés à San Sebastian qui restent souvent sur le carreau.
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Portrait d'une mère-courage en Chine, emprisonnée pendant dix ans pour le meurtre de son mari violent. Le réalisateur évite la trajectoire doloriste, montre la complexité psychologique de son héroïne pour décrire un impossible retour en arrière. Pas mal. #herHeartBeatsiitsCage
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Film plutôt raté sur le monde de la mode, avec des persos à peine esquissés, des dialogues mal écrits et le sentiment que personne ne joue dans le même film. Reste qu'Alice Winocour sait faire des images - le défilé final est très impressionnant. #coutures
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Pendant 1 heure, j'étais conquis par l'ambiance du film, le contexte très surprenant, la mise en scène des scènes sous-marines. Mais quand le thriller démarre, le film soudain s'accélère comme le coeur du plongeur et ça devient de moins en moins crédible. Dommage. #lostigres
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Adaptation très fidèle du romain de Giuliano Da Empoli, #leMageduKremlin décrit une fascinante galerie de personnages dans le monde pourri de la Russie post chute du rideau de fer. Si je suis moyennement convaincu par Jude Law en Poutine, Paul Dano, en revanche, est bluffant.
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Sans atteindre le niveau de ses meilleurs films, ce drame musical en deux mouvements distincts sur le retour du fils prodigue marque le retour en forme d'Arnaud Desplechin. Si le récit se perd un peu en route, François Civil y trouve son meilleur rôle. #deuxpianos
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J'aime bien le cinéma de Claire Denis, la sensualité de sa mise en scène. Mais je ne suis jamais entré dans le rythme du #CridesGardes, trop théâtral et inégal sur le plan du jeu - face à Matt Dillon et Isaac de Bankolé, les nouveaux venus souffrent de la comparaison. Trop étiré.
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Joli film de Joachim Lafosse, qui, sur un argument minimaliste - une femme avec enfants emprunte la maison de vacances de l'ex-belle famille - dresse un très beau portrait de femme - magnifique Eye Haïdara. Cela manque peut-être un peu de "puissance". #sixjoursceprintempsla
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Belle surprise que ce #iniinmotion, premier film de Juliette Binoche, doc sur la création en deux parties - les répétitions avec Akram Khan, puis la prestation en elle-même. L'épuisement puis l'extase. La beauté de la mise à nu. Le vertige de la danse. C'est long mais c'est beau.
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Du concentré de Sorrentino, soit un cinéma vulgaire de mâle blanc, conscient de ses effets et de sa supériorité culturelle et même juridique. Dans ce fatras interminable, des éclairs de génie - oui, l'Italien sait écrire de belles scènes comme la larme de l'astronaute. #lagrazia
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D'où vient le réalisme magique chinois ? Premier film produit par Midi Z, Nighttime Sounds impressionne par ses visions poétiques et la beauté de ses scènes nocturnes. Le récit est un peu étiré et manque d'enjeu mais c'est beau la campagne chinoise éclairée aux néons.
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#UngratefulBeings commence comme Aftersun, bifurque pour devenir du Ruben Ostlund. Les références sont lourdes, le film pas inintéressant mais exploitant mal son point de départ : comment l’Amour nourrit une jeune adolescente, au sens propre comme au sens figuré. La fin, hum...
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Original mais vain ce biopic du célèbre #Franz Kafka par Agnieszka Holland. La réalisatrice brise à plusieurs reprises le quatrième mur pour raconter la vie mais aussi la postérité de l’auteur. Cela donne un film kaléidoscopique assez fascinant mais trop long. L'acteur est bien.
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Doc exemplaire de Lucretia Martel sur la mort d'un chef indigène et le procès qui s'en suivit. Il est question de vol des terres par les migrants européens à l'aide de la religion et du droit de propriété, de l'effacement d'un peuple, de sa négation. Fort. #nuestraterra
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Je n'ai rien contre le projet du film, son urgence et la nécessité de rendre hommage à l'action du Croissant Rouge Palestinien. Mais beaucoup de mal avec le concept, entre fiction et doc, cette caméra qui bouge trop, bref son côté scripted reality. Désolé. #theVoiceofHindRajab
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Du torture-porn cinéphile par le sadique grec Yorgos Lanthimos. Mais un sacré ride, tout de même, avec des acteurs prodigieux (Jesse Plemons, Emma Stone), de la mise en scène grandiloquente qui te place dans une zone d'inconfort. Et cette fin bien Etrange Festival. #Bugonia
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Dans la série, les films Netflix durent trop longtemps, je vous présente #JayKelly. Sur 1h40, pourquoi pas, même si tout le monde cachetonne et qu'une comédie pas drôle c'est toujours un peu embarrassant mais... 2h15 ? Pourquoi ne pas couper les scènes inutiles ? Qui valide ça ?