Ypsilon éditeur
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[ 🌊 RDV à Marseille 🚲 ]
Le Salon du livre métropolitain revient à la Citadelle de Marseille les 17-19 octobre. Destiné à mettre en valeur le livre et ses acteurs du pourtour méditerranéen, sa 2e édition est dédiée à la Grèce, pays fondateur de la ville de Marseille.
Programme : tinyurl.com/4f8hax5t
Flyer rencontre au Salon du livre métropolitain à la Citadelle de Marseille. Fond bleu, logos du Salon, Citadelle de Marseille et Métropole Aix-Marseille-Provence. Photographie noir et blanc des Trois Maria, autrices des Nouvelles lettres portugaises.
Samedi 18 octobre à 10h30.
Littérature et transgression : la postérité des « Trois Maria »
Rencontre autour des Nouvelles lettres portugaises – livre mythique qui valut à ses trois autrices d’être poursuivies pour outrage aux mœurs. Publié à Lisbonne en 1972, ce texte subversif et polyphonique fit scandale et souleva un élan international de solidarité. Sa parution en français en 2025 chez Ypsilon célèbre ce moment littéraire et politique majeur. Avec la traductrice Ilda Mendes dos Santos, l’éditrice Isabella Checcaglini et l’autrice Margaux Mazellier. Flyer rencontre au Salon du livre métropolitain à la Citadelle de Marseille. Fond bleu, logos du Salon, Citadelle de Marseille et Métropole Aix-Marseille-Provence. Photographie noir et blanc de Yannis Ritsos, traduit par Pascal Neveu chez Ypsilon éditeur.
dimanche 19 octobre à 10h30
Traductrices, traducteurs du grec : passeurs de pensée.
Rencontre avec Pierre Guéry, poète, traducteur et performeur ; Pascal Neveu, traducteur ; et René Bouchet, traducteur ; Gilles Ortlieb, prosateur, poète, essayiste et traducteur et Anne-Laure Brisac, éditrice et traductrice, animée par Barbara Dimopoulou, maîtresse de conférences à Aix-Marseille Université.
Traduire, c’est faire dialoguer les voix et les imaginaires, mêlant engagement poétique, attention politique et transmission culturelle. Une réflexion sur ce geste intime et collectif qui fait résonner les mots de l’autre. Flyer rencontre au Salon du livre métropolitain à la Citadelle de Marseille. Fond bleu, logos du Salon, Citadelle de Marseille et Métropole Aix-Marseille-Provence. Photographie couleur de Maria Attanasio (© Robbie Lee) publiée chez Ypsilon éditeur.
dimanche 19 octobre à 14h
La fille de Marseille
Rencontre avec l’autrice Maria Attanasio et son éditrice Isabella Checcaglini, animée par Giulia Camin, responsable de la bibliothèque de poésie contemporaine du Cipm – Centre international de poésie Marseille.
La fille de Marseille (2024, Ypsilon) donne voix à Rosalie Montmasson, héroïne oubliée de l’unité italienne. Maria Attanasio mêle sources et fiction pour révéler cette femme libre trahie, transformant son histoire en une leçon d’histoire captivante. Flyer rencontre au Salon du livre métropolitain à la Citadelle de Marseille. Fond bleu, logos du Salon, Citadelle de Marseille et Métropole Aix-Marseille-Provence. Collage de plusieurs couvertures de livres d’Ypsilon éditeur.
dimanche 19 octobre à 16h30
Itinéraire d’une éditrice
Rencontre avec Isabella Checcaglini, fondatrice des éditions Ypsilon, animée par Barbara Dimopoulou, maîtresse de conférences à Aix-Marseille Université
Fondé en 2007, Ypsilon Éditeur publie des œuvres où fond et forme dialoguent, alliant littérature étrangère, poésie et typographie, avec un souci d’invention et d’exigence éditoriale.
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sans frontières ni genre. On prend le large on fait des détours, par la grande histoire par la petite, des navires on passe aux aéronefs, pour enfin poser le pied sur la terre ferme. Mais juste le temps de s’y retrouver, rêvasser et repartir.
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une histoire pleine d’histoires —« sa pensée progresse par prolifération corallienne »— de la Russie à l’Amérique, du XIXe au XXe siècle, de Sergueï Eisenstein, son Potemkine, Odessa et la mer Noire à Claude Cahun, l’androgynie, Coney Island et le dirigeable Zeppelin.
Un fil : l’imaginaire marin ↓
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« roman de matelots », ce livre de Judith Schalansky commence au bord de la Baltique dans le bleu clair gris qu’ont en commun la mer et le ciel des souvenirs d’enfance et d’un pays qui n’existe plus tel quel. Les lignes s’estompent au fur et à mesure des rencontres de la narratrice qui transcrit ↓
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— et puis les filles ne deviennent pas matelots. Les femmes à bord, ça porte malheur. » Ce refus se fait défi, elle ne sera jamais matelote mais écrivaine et pourra jouer autant de rôles en pantalon qu’elle voudra, défaire et réinventer mythes et légendes. Roman d’apprentissage et ↓
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📖 AUJOURD’HUI EN LIBRAIRIE 📖
Judith Schalansky — Le bleu ne te va pas. Roman de matelots.
Traduction de Lucie Lamy | 978-2-35654-135-2 | 144 p. | 12,5 × 21 cm | 17 €
🔗 ypsilonediteur.com/catalogue/le...

« Quand je serai grande, je serai matelote. »
« On dit matelot — lui répond le grand-père ↓
Photographie de la couverture du livre « Le bleu ne te va pas » de Judith Schalansky traduit par Lucie Lamy et paru chez Ypsilon éditeur dans la série « Fragile ». La couverture est imprimée sur un papier bleu clair, typographie en bleu marine, le titre et le nom de l'autrice est disposé sur un motif de traits évoquant des vagues ou un paysage marin. Le livre est pris en photo sur une feuille miroir déformante. Photographie d’une double page du livre « Le bleu ne te va pas » de Judith Schalansky traduit par Lucie Lamy et paru chez Ypsilon éditeur dans la série « Fragile ». La photo montre la page 77 où est reproduit une photographie noir et blanc de Claude Cahun. Photographie d’une double page du livre « Le bleu ne te va pas » de Judith Schalansky traduit par Lucie Lamy et paru chez Ypsilon éditeur dans la série « Fragile ». La photo montre une citation en exergue de l’ouvrage « Vertiges » de W.G. Sebald « Sur le pont se tenait, jambes écartées, rubans de béret flottant au vent, un matelot brandissant à bout de bras deux pavillons multicolores, et qui lançait de complexes signaux sémaphoriques. » Photographie d’une double page du livre « Le bleu ne te va pas » de Judith Schalansky traduit par Lucie Lamy et paru chez Ypsilon éditeur dans la série « Fragile ». La photo montre les pages 40-41 où est reproduit une photographie noir et blanc du yacht impérial russe, Standart, avec à son bord le tsarévitch Alexis Nikolaïevitch de Russie et l'équipage du bateau. Sur le livre est posé un marque page montrant une citation du livre « Il y avait toujours un autre côté. »
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[ 📕 RDV jeudi ! 📕 ] Rencontre autour de « Vie imaginaire » de Natalia Ginzburg le jeudi 2 octobre à la librairie L’Arbre du voyageur / 55 rue Mouffetard / Paris 5ᵉ)
Flyer soirée Natalia Ginzburg à L’Arbre du voyageur le jeudi 2 octobre à 19h. Portrait photographique noir et blanc de Natalia Ginzburg. Photographie du livre  « Vie imaginaire » paru chez Ypsilon. Typographie noire sur papier rouge.
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🗣 📚 [ CE WEEK-END ! ] Lecture inédite au Théâtre de la Ville par Maria de Medeiros, Valérie Dashwood et Cécile Garcia Fogel des Nouvelles lettres portugaises des « Trois Maria » dans la nouvelle traduction parue chez Ypsilon éditeur.

sam. 27 à 18h & dim. 28 à 15h
Réservations : buff.ly/wlCRNNQ
Flyer lecture des Nouvelles lettres portugaises, photographie en noir et blanc d'une manifestation de femmes pour la libération des « Trois Maria » au début des années 1970. Sur la photo, l'image de couverture du livre de la nouvelle traduction parue chez Ypsilon éditeur (typographie dorée sur papier vert), dans le bas du visuel les informations concernant les 2 lectures samedi 27 et dimanche 28 septembre 2025.
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📕📕📕 Merci à la @librairietropismes pour cette très belle soirée autour de Natalia Ginzburg ! 📕📕📕
Photographie de la rencontre autour de Natalia Ginzburg à la librairie Tropismes de Bruxelles. Prise de vue de l’intérieur de la librairie, au premier plan le public de dos, a l’arrière plan Isabella Checcaglini et Anne-Lise Remacle devant les rayons remplis de livres.
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🔵 DU VEN. 19 AU DIM. 21/09 🔵 Nous serons présentes à la cinquième édition du Poetik Bazar, le festival & marché de la poésie de Bruxelles aux Halles de Schaerbeek. 🔵 Programme complet : www.poetikbazar.be/fr 🔵
Logo du Poetik Bazar #5 aux Halles de Schaerbeek à Bruxelles du 19 au 21 septembre. Lettrage bleu avec le dessin d’une fleur rouge au centre. Flyer rencontre au Poetik Bazar « Langues invisibles et travail du texte » le vendredi 19/09 à 17h à la Petite halle des Halles de Schaerbeek (Bruxelles) avec Marina Skalova, Chloé Billon & Isabella Checcaglini. modération : Louis Van Brabant. Informations en typographie verte et rouge sur un fond bleu clair.
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🔴 JEUDI 18/09 : Rencontre autour de « Vie imaginaire » de Natalia Ginzburg à la Librairie Tropismes (Bruxelles) 🔴 Soirée animée par Anne-Lise Remacle avec l’éditrice Isabella Checcaglini. 🔴 Infos & réservations sur le site de la librairie : www.tropismes.com/agenda/dans-... 🔴
Flyer rencontre à la librairie Tropismes à Bruxelles le jeudi 18/09 à 19h autour de Natalia Ginzburg avec Isabella Checcaglini, portrait photographique d’Isabella et visuel de couverture de « Vie imaginaire » de Ginzburg paru chez Ypsilon éditeur. Mention entrée libre et gratuite, réservation conseillée. Photographie du rayon littérature italienne de la librairie Tropismes de Bruxelles, couvertures de plusieurs livres de Natalia Ginzburg mais aussi de Pier Paolo Pasolini, Amélia Rosselli, Sandro Penna…
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Deux rencontres à venir : le 18/09 à Bruxelles chez Tropismes et le 02/10 à la librairie L’Arbre du voyageur à Paris ! Toutes les informations sur notre site : ypsilonediteur.com/ephemeride
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Disponible aussi à notre stand du Salon « Lisons libres ! » de l’Édif, ouverture cet après-midi à 16h à la Halle des Blancs Manteaux
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📚 AUJOURD’HUI EN LIBRAIRIE :
Natalia Ginzburg — Vie imaginaire. Postface de Cesare Garboli. Traduction de Muriel Morelli. INÉDIT | ISBN 978-2-35654-132-1 | 264 p. | 11,5 × 17 cm | 17 €
➡️ ypsilonediteur.com/catalogue/vi...
Photographie de la couverture de « Vie imaginaire » de Natalia Ginzburg, traduction de Muriel Morelli paru chez Ypsilon éditeur. Le titre est imprimé en noir sur papier rouge. Une main tient le livre devant un mur blanc en arrière-plan. Photographie d'une double page de « Vie imaginaire » de Natalia Ginzburg, traduction de Muriel Morelli paru chez Ypsilon éditeur. Le titre du texte est « Liberté » et l’extrait indique : « Il  m’arrive assez souvent de penser à ce mot : « liberté ». Souvent je me demande ce que cela signifie pour moi. Souvent je pense  qu’il  m’arrivera de la perdre. Toujours je me souviens du temps où en Italie il  n’y en avait pas. Pour ceux de ma génération, le mot « liberté » ressuscite ces années lointaines. // Le mot « liberté » nous semblait alors  d’une extrême simplicité et  d’une évidence fulgurante. Il retentissait en nous comme un son de trompette. Il flottait dans notre ciel comme un drapeau. Il renfermait tous les trésors du monde et  l’atteindre nous aurait immédiatement guéris de tout vice, ineptie, mélancolie.  L’atteindre serait comme vivre au paradis. Et ce paradis, nous étions sûrs de le rencontrer au coin  d’une rue. Nous marchions dans sa direction à grands pas rapides et passionnés. Nous étions frustes, passionnés et confus. » Photographie d'une double page de « Vie imaginaire » de Natalia Ginzburg, traduction de Muriel Morelli paru chez Ypsilon éditeur. On voit deux mains tenir le livre ouvert à la page 76 et l’extrait indique : « Il est difficile de dire dans quelle mesure  l’écrivain  d’aujour d’hui a besoin que  d’autres écrivains écrivent. Toujours absorbé par  l’idée de ne pas savoir faire une chose que peut-être personne ne lui demande de faire,  l’écrivain sent ses membres  s’ankyloser et a la sensation précise que le monde autour de lui  n’est  qu’immobilité et poussière. Mais  s’il voit quel qu’un  d’autre faire un geste ou un pas, il se sent tout à coup soulagé, et le souvenir des voix, des gestes et des pas  s’éveille en lui. Tâtonnant et vacillant, il cherche les outils  qu’il avait repoussés et les utilise. Il  n’a pas oublié  qu’il les trouvait odieux et inutiles, factices et inadéquats. Il les utilise quand même, car brusquement il se fiche de tout ce  qu’il a pu penser. »
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📚 RDV dès vendredi aux Blancs-Manteaux ! 🚲
Retrouvez nos livres au salon « Lisons Libres ! », la fête de l’édition indépendante. Programme complet sur le site de L'Édif : www.edition-idf.fr

HORAIRES
ven. 5 : 16-19 h / sam. 6 : 11-20 h / dim. 7 : 11-19 h

48 rue Vieille du Temple, 75004 Paris
Flyer du salon Lisons libres, illustration d’Anna Wanda Gogusey, en arrière plan une ville dans les tons jaunes et verts, au premier plan une main tient un livre ouvert dont s’échappent des personnages dessinés depuis une double page. Logo du salon Lisons libres ! sur fond jaune. Texte indiquant : HORAIRES D’OUVERTURE AU PUBLIC
ven. 5 sept. : 16-19 h / sam. 6 sept. : 11-20 h / dim. 7 sept. : 11-19 h
Halle des Blancs Manteaux
48 rue Vieille du Temple, 75004 Paris
Métro Saint-Paul (ligne 1) ou Rambuteau (ligne 11) Logo du salon Lisons libres ! sur fond violet. Texte indiquant : Table ronde. L’ÉDITION INDÉPENDANTE PEUT-ELLE RÉINVENTER LA LITTÉRATURE ? Dimanche 7 septembre, 14h. L’édition indépendante cultive l’audace : dans sa manière d’aborder la littérature, de jouer avec les formes, de mixer les textes classiques et contemporains. L’inventivité et le soin apportés à l’objet livre donnent une nouvelle vie aux œuvres, sous un jour original. Plongée dans ce laboratoire littéraire, où les textes prennent des chemins de traverse, entre créativité, exigence et liberté. Avec Isabella Checcaglini, éditrice, Julie Amiot-Guillouet, autrice et Ana Maria Torres, libraire. Animée par Gaëlle Bohé.
Salle 1 – Halle des Blancs-Manteaux.
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📖 🚲 Nous serons également présentes à la 5ᵉ édition du Poetik Bazar, le marché de la poésie de Bruxelles, les 19, 20, 21 septembre 2025 aux Halles de Schaerbeek à Bruxelles.
🖇️ Infos & programme : www.poetikbazar.be/fr
Flyer du Poetik Bazar #5, logo sur fond bleu, et personnage assis en tailleur lisant un livre géant rouge, une fleur rose sur la tête. Illustration : Fanny Dreyer.
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📚📍Nous serons présentes avec une centaine d’autres maisons d’édition au 1er salon de l’Édif «Lisons Libres !», la fête de l’édition indépendante en Île-de-France, du vendredi 5 au dimanche 7 septembre 2025 à la Halle des Blancs-Manteaux (Paris 4ᵉ).
🖇️Infos et programme : www.edition-idf.fr
Flyer du salon Lisons libres, illustration d’Anna Wanda Gogusey, en arrière plan une ville dans les tons jaunes et verts, au premier plan une main tient un livre ouvert dont s’échappent des personnages dessinés depuis une double page.
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🔴 « Pour nous, le seul choix possible est d’être du côté de ceux qui meurent ou souffrent injustement. » Natalia Ginzburg, extrait de « Les Juifs » (ypsilonediteur.com/media/pages/...) dans VIE IMAGINAIRE (ypsilonediteur.com/catalogue/vi...) — en librairie le 5 septembre.
Image de la couverture de Vie imaginaire de Natalia Ginzburg traduction de Muriel Morelli a paraître chez Ypsilon éditeur le 5 septembre (typographie noire sur fond rouge) Portrait photographique noir et blanc de Natalia et Leone Ginzburg lors de leur voyage de noces en 1938 Extrait de l’article original paru dans le journal italien La Stampa le 14 septembre 1972
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☀️ Césure estivale du 17 juillet au 3 septembre 2025 inclus. Toute commande passée pendant cette période sera traitée dès notre retour le 4 septembre 2025. Vous pouvez toujours trouver nos livres chez votre libraire ou sur placedeslibraires.fr
Un lys de mer pousse sur la plage, à l'horizon la mer le long des côtes sardes. Photo : Robbie Lee.
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📗 [ À LIRE : ] « Sororité, j’écris ton nom ! » par Sonia Da Silva, à propos des Nouvelles lettres portugaises dans le Luxemburger Wort.
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Capture d’écran de l’article « Sororité, j’écris ton nom ! » de Sonia da Silva dans le Luxemburg Wort
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qui fait caca dans une tasse : les deux garçons, au bord du sommeil, devaient bien s’amuser, et faire des cauchemars très colorés.
Devenu adulte, Gabriel Weisz rend visite à Jodorowsky qui lui offre le manuscrit, qu’il a conservé et fait relier. Alors seulement Le lait des rêves se répand ↓
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et Gabriel. « Georges aimait manger le mur de sa chambre. Ne le fais pas, disait son père ». Ce sont les premiers mots du Lait des rêves. Il faut être un peu accroché. On y parle de têtes coupées et recousues sous le pied, de sorcières vendeuses de tacos, d’un vautour dans la gelée, d’un éléphant ↓
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plaie avec sa petite cuillère, verse une goutte de sang dans sa tasse. «Maintenant je sais que tu reviendras», lui dit-elle, et cette sorcellerie scelle leur amitié. Au départ (définitif) d’Alejandro pour Paris, Leonora lui offre un grand carnet dessiné de contes écrits pour ses enfants Pablo ↓