En ce Onze Novembre, j'ai envie de vous parler de Ma Chère Louise, mon roman historique sur la Première Guerre mondiale. Avant de l'écrire, le sujet ne m'intéressait que moyennement. Mais l'histoire de Louise s'est imposée à moi, viscéralement.
Ce roman j'en suis très fière:

J'aime écrire et lire les scènes de disputes: vraies, intenses, violentes, révélatrices... ces scènes apportent beaucoup d'éléments à l'histoire. Voici pourquoi il faut en ajouter dans votre récit:
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Un salon terminé, voici que je prépare le suivant.

Samedi, je serai au Parc des Expositions de Chalon-sur-Saône pour les Geek Legends:

En ce moment, je suis peu présente, car je dois faire un semestre à l'université en vue d'une formation à la rentrée. Je m'amuse des différences à la "moi, de mon temps". Et un des trucs que je trouve super, ce sont les étudiants qui assument de manger seul, ou d'avoir besoin de solitude.

Ma Chère Louise, anciennement chez Nouvelles Plumes, revient dans les librairies.
Une ode à la paix, mais aussi à l'amour et l'amitié à travers l'histoire de Louise, Joseph et Guillaume pendant cette période si difficile qu'a été la Première Guerre mondiale.
#romanhistorique #roman #livre

"Les étincelles du Printemps" a trouvé sa place chez City Editions, 🥳

Actuellement en train de négocier un contrat d'édition. C'est peut-être évident pour beaucoup, mais il y a 5 ans, je n'aurais jamais osé prendre le risque de dire à une ME "là, cette clause ne me va pas".
#fieredemoi #negociersoncontrat

Hop, mon petit bilan du mois de septembre :

www.amelie-hanser.com/bilan-du-moi...

Oups, je ne me suis pas encore présentée ici. Alors voilà, je suis autrice. J'ai écrit dans des genres différents, mais j'axe surtout mon travail autour de l'histoire et la mythologie:

On parle de quelques dizaines de milliers d’hommes et de femmes, intégrant au fil de plusieurs décennies un empire peuplé de plusieurs dizaines de millions d’habitants. Parfois par la violence, le plus souvent... non.

« Finalement le nombre des Barbares fut tel que la vie romaine sous leur poids se détériorait. » L’historiographie insiste depuis 30 ans sur le fait que les « invasions barbares » ne furent pas un phénomène de masse. Quelques rèfs en image.

Je passe mes salons à expliquer aux lecteurs que "non, on ne dit pas chute de l'empire romain" :

Evidemment la culture romaine ne se « dissout » pas du tout (pas plus qu'elle "n'est dissoute"). Au contraire. Le latin reste la langue du pouvoir, les symboles impériaux restent les emblèmes du pouvoir. Un roi franc comme Clovis est profondément romanisé.