Haha c'est totalement toi qui prend tes désirs pour la réalité. À la limite, si c'était là-dessus, ce serait plutôt sur ma conversion, mais ce n'est pas vraiment le sujet.

😁😁 (j'y vais progressivement).

C'est mon histoire sans l'être vraiment, puisque ça m'est arrivé avant que j'ai conscience de quoi que ce soit, et justement le livre est sur cet écart, sur comment quelque chose d'aussi important et intime peut n'avoir été absolument rien pour moi. Et comment, à un moment, ça a cessé d'être rien.

J'ai donc un peu de mal à en parler, ce qui est paradoxal puisque le livre s'appelle "Rien de caché"... Mais puisque "il n' y a rien de caché qui ne doive être découvert" (cette citation évangélique n'a rien à voir avec le sujet ni même le choix du titre, c'est un heureux hasard), je l'annonce.

On ne m'enlèvera pas de l'idée qu'on ne défend les frontières, la nation, la culture etc. que quand on ne sait plus du tout (et qu'on se moque de) ce qu'il y a DANS les frontières, ce que représentent la nation et la culture. Sinon, on a autre chose à faire que de "défendre", on a à construire.

Il y a effectivement une manière d'utiliser la "parole du magistère" exactement comme on utilise les LLM, finalement c'est assez logique que quelqu'un ait fait une IA pour ça.

m.imdb.com/title/tt0389...

Oui c'est vrai, c'est un bon entretien.

Je comprends que les dirigeants européens ne disent pas les choses pour essayer de ne pas froisser (?!) Trump, mais je ne comprends pas pourquoi les politiques en général et les médias adoptent cette posture, au lieu d'analyser les choses plus froidement et objectivement et d'alerter l'opinion.

L'un n'empêche pas l'autre, ça ressemble à un texte bricolé sur un coin de table à partir des demandes russes et des intérêts américains. Et si l'Ukraine accepte, Poutine "acceptera" aussi, avancera dans les "zones tampons" et continuera la guerre tranquillement un peu plus tard.

que c'est un choix normatif et pas une description objective ou historique.

J'ai un peu évolué. Je pense maintenant que la question des limites s'est posée tout au long de la tradition et que c'est un peu un renoncement de l'abandonner. Finalement, le travail théologique c'est aussi de s'engager sur les limites du christianisme. Mais il faut le faire en sachant