~~ #FemmeVieLiberte
#WomanLifeFreedom ~~
Un ruisseau d'or pour cette fin d'année...
Un ruisseau d'or pour cette fin d'année...
Je dormis longtemps.
La tempête me réveilla !
L'orage, un mouvement brusque du sol
ou du ciel mis le feu à mon esprit. Tout fut différent. Toute ma tranquillité fut débordée. J'étais en train de mourir
dans une béance inconnue.
J'aperçus la nuque d'un mec sous mon nombril.
Je dormis longtemps.
La tempête me réveilla !
L'orage, un mouvement brusque du sol
ou du ciel mis le feu à mon esprit. Tout fut différent. Toute ma tranquillité fut débordée. J'étais en train de mourir
dans une béance inconnue.
J'aperçus la nuque d'un mec sous mon nombril.
un lent furtif mouvement
tectonique des forces terreuses de la forêt ! La lave se frayait
un chemin... dangereux, embarrassant
et vorace.
Des profondeurs de mon sommeil,
j'entamais un incertain
mouvement chaotique du bas
de mon corps.
Vint un halo.
un lent furtif mouvement
tectonique des forces terreuses de la forêt ! La lave se frayait
un chemin... dangereux, embarrassant
et vorace.
Des profondeurs de mon sommeil,
j'entamais un incertain
mouvement chaotique du bas
de mon corps.
Vint un halo.
dans mon sommeil remanié.
Je me perdis au milieu
de quelques séismes inconnus
étrangement dantesques !
Mes cauchemars
se remplirent de monstres
qui dévoraient le sol, le tronc de mon
arbre, et avec un feu apocalyptique... la
blancheur de mon ventre.
dans mon sommeil remanié.
Je me perdis au milieu
de quelques séismes inconnus
étrangement dantesques !
Mes cauchemars
se remplirent de monstres
qui dévoraient le sol, le tronc de mon
arbre, et avec un feu apocalyptique... la
blancheur de mon ventre.
Je marchais encore une heure ou deux
au fond des odeurs belles, sombres
et fraîches. La forêt était douce
et peu compliquée.
Je m'endormis, un peu fatigué,
sur un amas de feuilles, à l'abri
d'un tronc d'arbre généreux et
protecteur.
Je marchais encore une heure ou deux
au fond des odeurs belles, sombres
et fraîches. La forêt était douce
et peu compliquée.
Je m'endormis, un peu fatigué,
sur un amas de feuilles, à l'abri
d'un tronc d'arbre généreux et
protecteur.
me fit enlever
mes derniers vêtements.
J'étais comme un arbre, aussi suave
qu'un vent de juin,
nu tel un oiseau.
Je m'enfonçais dans l'ombre secrète
des chênes et aperçus la dernière
lueur du chemin.
Tout mon corps fut tonique !
Et compact...
me fit enlever
mes derniers vêtements.
J'étais comme un arbre, aussi suave
qu'un vent de juin,
nu tel un oiseau.
Je m'enfonçais dans l'ombre secrète
des chênes et aperçus la dernière
lueur du chemin.
Tout mon corps fut tonique !
Et compact...
gouttes d'une sueur
qui rampa de la courbe endormie
de mon cou
pour vagabonder lentement
sur les poils de mon torse
et mouiller lascivement la peau
sous mon nombril
qu'une mouche s'affairait
d'exciter en se posant
et en s'échappant.
gouttes d'une sueur
qui rampa de la courbe endormie
de mon cou
pour vagabonder lentement
sur les poils de mon torse
et mouiller lascivement la peau
sous mon nombril
qu'une mouche s'affairait
d'exciter en se posant
et en s'échappant.
je m'assis sur un tapis
de mousses grasses.
La fraîcheur me fit l'effet
d'une déclaration d'amour tempétueuse !
Je plongeai ma main
au creux foncé de son humidité.
Un frémissement laboura mon dos
jusqu'au secret sournois
de mon oreille...
je m'assis sur un tapis
de mousses grasses.
La fraîcheur me fit l'effet
d'une déclaration d'amour tempétueuse !
Je plongeai ma main
au creux foncé de son humidité.
Un frémissement laboura mon dos
jusqu'au secret sournois
de mon oreille...
et m'ébrouais de lumières
et d'odeurs d'acacias...
La forêt majestueuse posait
ses baisers truculents sur mon cou,
amoureusement dévasté !
Quelques chèvrefeuilles
couronnaient mon extase
d'adolescent d'un nouvel orgasme
riche et olfactif...
et m'ébrouais de lumières
et d'odeurs d'acacias...
La forêt majestueuse posait
ses baisers truculents sur mon cou,
amoureusement dévasté !
Quelques chèvrefeuilles
couronnaient mon extase
d'adolescent d'un nouvel orgasme
riche et olfactif...
Tes yeux sont mes cerfs-volants qui
m'emportent et je
m'enfuis
de la grisaille urbaine
vers les rivages de ta bouche...
Je voyage sur ton tapis
de menthe et de cannelle et
je survole le pilon
majestueux de ton nez
pour caresser la prairie sauvage de
tes longs cheveux
.
Tes yeux sont mes cerfs-volants qui
m'emportent et je
m'enfuis
de la grisaille urbaine
vers les rivages de ta bouche...
Je voyage sur ton tapis
de menthe et de cannelle et
je survole le pilon
majestueux de ton nez
pour caresser la prairie sauvage de
tes longs cheveux
.
Où sont
nos rires ?
Cette légèreté
innocente
ce bruissement
de page
ces pas de sables
sur ta plage...
Les ocres
violettes
des paradis futiles
au vent éclaté
se sont dilués
vers des pianos
étranges
aux solfèges glacés...
d'une mer
autrefois étale
au ciel, là-bas
azuré.
.
Où sont
nos rires ?
Cette légèreté
innocente
ce bruissement
de page
ces pas de sables
sur ta plage...
Les ocres
violettes
des paradis futiles
au vent éclaté
se sont dilués
vers des pianos
étranges
aux solfèges glacés...
d'une mer
autrefois étale
au ciel, là-bas
azuré.
.
L'automne
s'engouffre
dans nos plannings.
La pluie
légère
disparaît, et le vent,
en grise
mine
de nos polaroïds
oranges.
Nos rires,
aux passés étranges
se sont couverts
de buées.
Seules importent
l'urgence et la facilité.
Comme si le
printemps
s'était oublié.
.
L'automne
s'engouffre
dans nos plannings.
La pluie
légère
disparaît, et le vent,
en grise
mine
de nos polaroïds
oranges.
Nos rires,
aux passés étranges
se sont couverts
de buées.
Seules importent
l'urgence et la facilité.
Comme si le
printemps
s'était oublié.
.
Je marche
derrière toi,
loin derrière toi.
Ta nuque se meut
doucement
comme cet oiseau de passage...
Et ton dos,
en amoureux
absent
s'échappe
se calfeutre
s'abîme.
Aux hurlements déchirés.
.
Je marche
derrière toi,
loin derrière toi.
Ta nuque se meut
doucement
comme cet oiseau de passage...
Et ton dos,
en amoureux
absent
s'échappe
se calfeutre
s'abîme.
Aux hurlements déchirés.
.
Alors... j'écris :
Alors... j'écris :
~~~~~~
www.facebook.com/share/p/1ADW...
~~~~~~
www.facebook.com/share/p/1ADW...
#islamisme #nazisme #nazislamisme
En mémoire de Samuel Paty,
assassiné le 16 octobre 2020.
Marié, papa d'un enfant de 5 ans.
Professeur d'Histoire-géographie depuis 23 ans, innocent massacré, éviscéré, décapité par la barbarie islamiste.
#islamisme #nazisme #nazislamisme
En mémoire de Samuel Paty,
assassiné le 16 octobre 2020.
Marié, papa d'un enfant de 5 ans.
Professeur d'Histoire-géographie depuis 23 ans, innocent massacré, éviscéré, décapité par la barbarie islamiste.
Je vais changer de #genre.
Mon #genre précédent était "Trace de craie" : c'était à prévoir, avec la pluie la craie s'est effacée.
Donc, pour un temps indéfini, jusqu'à la prochaine désintégration, mon #genre est :
"quark strange" ou "quark s".
fr.wikipedia.org/wiki/Quark_étr…
Je vais changer de #genre.
Mon #genre précédent était "Trace de craie" : c'était à prévoir, avec la pluie la craie s'est effacée.
Donc, pour un temps indéfini, jusqu'à la prochaine désintégration, mon #genre est :
"quark strange" ou "quark s".
fr.wikipedia.org/wiki/Quark_étr…