Parce que chaque enfant doit savoir qu’on aide sa maman, qu’on ne la laisse pas seule, qu’on la soutient.

Maman, c’est pour toi.
Et pour toutes les autres. ❤️

C’est pour cela que je reste engagée en politique, après toutes ces années.
Même quand c’est difficile, frustrant, épuisant.
Parce que je refuse que l’on dise à une mère qu’elle doit compter sur elle même, que « quand on veut, on peut ».

Et pourtant, notre société ne les aide pas assez. Nos politiques les ignorent trop souvent.
Elles portent tout, seules, alors que cela ne devrait pas être aussi dur.

Et pourtant, notre société ne les aide pas assez. Nos politiques les ignorent trop souvent.
Elles portent tout, seules, alors que cela ne devrait pas être aussi dur.

Je pense à toutes ces mères seules, celles qui jonglent entre les factures, les devoirs, le travail, la fatigue.
Celles qui se battent pour offrir une vie meilleure à leurs enfants, sans toujours trouver de main tendue.

Ma mère est arrivée en France seule, avec trois enfants et une valise.

Il a fallu que je devienne mère à mon tour pour comprendre – non, pour ressentir – à quel point cela a dû être difficile.

L'enquête de Mediapart pour celles et ceux qui souhaitent la consulter ⬇️

www.mediapart.fr/journal/fran...

Cette culture de l’omerta et du silence est intolérable dans la société, mais quand elle est portée au plus haut niveau, elle est révoltante. Si tout cela s’avère vrai mais il faudra qu’il en tire toutes les conséquences.

Tout mon soutien aux victimes et à leurs familles.

Il n’a jamais déclenché l’article 40 du code de procédure pénale en sa qualité de ministre, de député, de président du conseil général ou de maire de Pau. Pourquoi un tel déni de responsabilité ?

Les réponses sont insuffisantes et pas à la hauteur. Nous attendons la vérité.

M. Jean Marie Delbos, une des victimes, lui a écrit une lettre touchante par voie recommandée à sa mairie en mars 2024.

Pourquoi ne lui a-t-il jamais répondu ?

Il a rencontré le juge Christian Mirande dans son cabinet d’instruction au sujet de trois dossiers très graves au sujet de l’établissement Bétharram.

Pourquoi n’a t-il rien fait ?

Laissons le mensonge à l’extrême-droite, nous valons mieux que ça.

Notre premier engagement envers les citoyens, c’est la vérité.
Et mon premier engagement c’est de me battre pour une meilleure justice pour nos concitoyens.

#DirectAN #censure

Ma seule boussole est la lutte contre les injustices. Je ne prétends pas avoir toutes les réponses à la manière de lutter contre elles. Mais ce que je ne supporte pas, ce sont des mensonges comme celui-ci : la loi de finances spéciale suffisait pour faire avancer le pays.

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⚠️ Pas d’actualisation des impôts : impact direct sur les collectivités et services publics.
⚠️ Pas de nouvelle dépense d’investissement : - de financements pour les associations, collectivités...
⚠️ Risque de paralysie économique : retard sur les projets, impact sur l’emploi.

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Nous refusons cependant d’enfoncer le pays dans une crise institutionnelle + profonde en votant la censure. Ce serait prolonger l’instabilité, bloquer le pays sans budget pdt des mois et forcer l’application d’une loi de finances spéciale, aux conséquences concrètes et lourdes.

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