Ben et Diction
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Le 334e RI n'est-il pas un régiment intriguant ?
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Reposted by Ben et Diction
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#1GM 9 mai 1915 - Le ciel du pauvre biffin n’est jamais bleu.

Une attaque particulièrement meurtière

amphitrite33.canalblog.com/2025/09/9-ma...
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J'y penserai !
Seul soucis c'est que je n'ai bien souvent plus aucun caractère en stock...
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Il passe caporal suite aux combats, le 24 octobre, l'énorme promotion des militaires du rang et sous-off au sein du régiment après celle d'août 1914 !
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Voilà un Guyot que je n'ai pas encore recensé ! Il y'en a tellement il faut dire... Merci pour ce partage !
Il a du être versé au 15e BCP en même temps qu'Adrien Guyot, décédé le 16 octobre.
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Aha j'espère que ça plaira !
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Rendez-vous le 15 octobre pour vous partager ces deux jours de combat dans un texte plus détaillé !
Les 334e RI, 57e RIT et 15e BCP seront à l'honneur.
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L'aspirant Maurice CHARBONNIER (au centre de la photo) est touché au cou par balle ou éclat de pierre - non évacué.
Frayeur de la journée pour le chef de la 2e section de la 17e.
Dans 23 jours il sera de nouveau blessé, mais cette fois-ci lors des violents combats du 15 et 16 octobre 1915.
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Le 23 septembre 1915, tandis que le 6e bataillon se trouve déjà en position sur les pentes de l'Hartmannswillerkopf, c'est au tour des chefs de section du 5e bataillon de faire la reconnaissance du secteur.
Se trouvant à la crête, un coup de feu tiré à moins de 20 mètres par un allemand est entendu.
De gauche à droite : le sous-lieutenant THILL - l'aspirant CHARBONNIER - le sergent CHARDIGNY (tous de la 17e Cie du 334e RI)
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Saône-et-Loire, j'ai écris trop vite il est de la classe 12... désolé si vous l'aviez déjà cherché
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Très beau parcours à faire là-haut !
Un grand oncle, Jean Claude AUPOIL de la classe 1913 au 56e RI, blessé au bras et fait prisonnier à Gosselming le 20 août 1914. Ici en 1919.
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Blessé deux fois par balle.Véritable tireur d'élite sur le plateau d'Uffholtz, fait des cartons durant son tour de relève.
Cité pour l'affaire du Hartmannswillerkopf : n'a pas quitté son poste de secours avant d'avoir procédé à l'évacuation de tous les blessés tandis qu'il était menacé par l'ennemi
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Après le père ; voici le fils !
Les funérailles de Robert BOURDON, médecin commandant au service de santé du Maroc, en août 1940.
Né en 1894 à Mâcon.
Tout comme son père ; il servit au 334e RI d'avril à décembre 1915 comme médecin auxiliaire.
Funérailles du médecin commandant BOURDON du service de santé au Maroc Funérailles du médecin commandant BOURDON du service de santé au Maroc Funérailles du médecin commandant BOURDON du service de santé au Maroc
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Ce n'est pas bon pour le cœur de lire des choses pareilles...
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Le 19 octobre 1919 dans le J.O. paraît son inscription au tableau et l'attribution de la Médaille militaire.
Il repasse dans les réserves de la 7e sCOA après-guerre puis est définitivement libéré du service militaire en octobre 1934.
Il décède en 1960 à Cormoranche sur Saône.
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Le 21 juillet 1918, le sergent HYVERNAT passe au 9e Bataillon du 129e RI jusqu'à sa démobilisation le 13 mars 1919 par la 7e sCOA.
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Le sergent HYVERNAT est une troisième fois cité, celle-ci à l'% de la 72e DI pour avoir maintenu intact le moral des hommes de la section durant l'attaque du 31 mai 1917.
Le régiment est relevé le 5 juin : 12 officiers (4 tués) et 810 hommes (160 tués) de pertes approximatives depuis le 20 mai.
Le sergent HYVERNAT du 164e RI et sa croix de guerre avec 1 étoile d'argent et 2 de bronze
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Après ces succès, les Allemands provoquent plusieurs contre-attaques entre les 20 et 31 mai.
Les bombardements redoublent de violences par la même occasion.
Le 31, le 1er bataillon subit une violente attaque. Combats au corps à corps puis repli avant de lancer une contre-attaque victorieuse.
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Le sergent HYVERNAT se démarque lors de ces combats.
Etant chef d'un groupe de grenadiers, il force la résistance d'un abri allemand gênant la progression de la Cie. Une compagnie allemande avec 3 officiers furent prisonniers dans cet engagement.
2e citation à l'% du régiment.
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Après un détour par Verdun, le 164e participe à l'attaque de Monts de Champagne en mai 1917. Il a pour objectif la prise du Mont Haut (3e Bataillon) et de la Cage à Poules (1er Bataillon).
La 1re Cie prend ses objectifs avec une extrême rapidité. Les fortins et abris allemands sont nettoyés.
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Le 1er avril 1916, il est muté à la 1re Cie du 164e RI.
Du 7 au 23 juillet 1916, tandis que le régiment se trouve fortement éprouvé engagé sur la Somme (à l'ouest de Péronne : Herbécourt - Biaches) : il est cité une première fois à l'% du régiment pour un service de liaison éprouvant.
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Rappelé par la mobilisation générale le 2 août 1914 à la 7e sCOA.
Le 5 octobre 1915, Benoît HYVERNAT passe dans l'infanterie et rejoint les rangs du 44e RI (pour l'instruction à l'arme ?).
Pratiquement 3 mois plus tard, le 30 décembre 1915, il passe au 402e RI.
Le sergent HYVERNAT avec sa femme et sa fille en 1914/1915
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Tonnelier de métier, il est appelé le 7 octobre 1906 à effectuer son service militaire à la 7e sCOA à Gray (70).
Il passe caporal le 24 juillet 1907 puis est encore promu le 8 février 1908 comme sergent.
Libéré le 25 septembre 1908, il se retire à Cormoranche sur Saône (01).
Le sergent HYVERNAT durant son service militaire
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Paquet de balles 8mm Lebel ayant appartenu au sergent Benoît Pierre Henri Joseph HYVERNAT (cl.1905).
Rapide retour sur sa carrière militaire : 👇
Paquet de cartouches ayant appartenu au sergent HYVERNAT Paquet de cartouches ayant appartenu au sergent HYVERNAT
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Bouton qui m'a fait de l'oeil hier dans une recyclerie.
Il s'agit finalement d'un bouton du West Riding (Duke of Wellington's Regiment).
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Le colonel paralysé ; son ordonnance PONCET et le maréchal des logis éclaireur MARTIN se précipitent pour le récupérer et le hisser sur un cheval l’amenant à l'abri.
Quoique son sort semblant compromis, il s'en remettra, mis en retraite suite à sa blessure et décèdera en 1947 à Pierre de Bresse !