*la température = la fièvre. Il faisait froid, mais ça, on fait avec ! 😂

parce que c'est le parcours du combattant.
Qu'on aille travailler malades, donc absolument pas efficaces, qu'on contamine une classe entière (coucou la Sécu), mais qu'on n'ait pas besoin d'être remplacés, pour qu'il y ait bien un enseignant devant la classe.

Les statistiques comme boussole.

mais dans ce cas, pas de prolongation, donc nouvel arrêt avec nouveau jour de carence. Et toujours pas la possibilité de se reposer sereinement pour se requinquer, ce qui serait le meilleur traitement.
Je pense que tout est fait pour qu'on finisse par ne plus s'arrêter quand on est malades

par la téléconsultation, même plus vraiment pour être soignée, elle n'en 3st plus là, mais juste être dans les clous administrativement. Consultation expédiée en 2 minutes : grippe. Arrêtée pour... la journée.
Si ça ne va pas mieux lundi, direction case départ : trouver un médecin ou téléconsulter

que c'est à cause de personnes comme elle, qui abusent du système, que la sécu est en déficit (sécu qui, rappelons-le encore et encore, n'est pas une largesse de l'Etat, mais est approvisionnée par nous pour justement pouvoir être soignés quand on en a besoin...).
Elle se résout alors à passer 3/..

d'avoir un rdv avec un médecin. En vain. À 18h, elle finit par se rabattre sur le maison médicale de garde, où elle sait qu'elle va attendre des heures alors qu'elle a 39. Pour s'annoncer, il faut appeler le 15. Là, elle se fait jeter par la régulatrice qui lui dit que ça s'appelle un rhume et 2/...

Merci beaucoup.

Acte 4 : des parents viennent se plaindre à l'école.
Acte 5 : on verra aujourd'hui, mais je ne suis pas impatiente de découvrir la suite.
#Laïcité

Pas merci les médias et les politiques qui racontent n'importe quoi sur la laïcité et braquent les gens sur le sujet, nous savonnant la planche.

je ne détiens pas la vérité sur ce sujet.
Acte 2 : un gamin, qui a dû écouter un mot sur 4, raconte à la maison que la maîtresse a dit qu'il y a plusieurs dieux et qu'il faut la croire parce que c'est la vérité. Ses parents le croient sur parole évidemment.
Acte 3 : la rumeur court au quartier.

Défendre les valeurs de l'école publique, qui préexistent et survivent aux ministres, de passage.

Et mon métier, c'est de leur donner les outils pour s'émanciper. Tout ce qu'on fait en classe doit, me semble-t-il, concourir à cet objectif.

s'engager, mais ça ne pèse pas lourd face aux bulldozers du camp adverse).
Alors finalement, l'idée que je trouve la plus efficace à mon niveau, et bien c'est de faire mon métier.
Mon VRAI métier. Ce qui implique de résister aux pressions, aux caprices politiques, aux injonctions sociétales.

Hmmm, Pays de Sault, d'expérience, bof bof. Mais Ariège 🤩

C'est pas faux.
#MoiMêmeDemission

www.page-educ.fr/article/eval...

Voilà qui développe très bien cette asphyxie que nous sommes nombreuses/nombreux à ressentir.