Très intéressant, merci !

Je mettais en garde contre les instruments d'occasion qui fonctionnent en circuit fermé avec leurs propres sons (horribles), sans connectique externe (peut-être adaptables, je ne sais pas).
Effectivement, ils sont anciens, mais circulent encore sur le marché.

Ah oui, rien à voir, là on est dans la stylisation, l'art, pas dans un acteur qui imite une ambiance morgue.

Et puis du Caurroy a un aspect plus archaïsant que le Requiem de Mozart, ça justifie mieux les gisants, qui étaient encore en vogue en France au XVIe s.

Voici le type de résultat :

www.youtube.com/watch?v=pjDC...

Les vieux modèles ne sont pas connectibles et produisent des sons synthétiques absolument abominables.

On peut bien sûr acheter une console numérique, désormais, mais c'est cher. Acheter deux claviers-maîtres est plus raisonnable pour essayer.

Autrement dit : n'importe quel clavier MIDI qui puisse se connecter à un PC fait l'affaire.

(En revanche il faut éviter de faire tourner ça sur un PC où il y a déjà plein de choses dessus…)

Je voulais juste dire qu'il n'est pas nécessaire d'investir dans un piano numérique ou un synthétiseur, un petit clavier électronique suffit.

Je n'y connais pas grand'chose, mais de ce que je comprends, le clavier-maître sert d'interface, il n'a pas forcément de grande banque de sons.

Ça coûte pas grand'chose et c'est vraiment très, très gratifiant.

(Même si on joue peu et mal, trois accords sur Saint-Michel-en-Thiérache ou sur Salisbury, ça fait tout de suite une véritable impression !)

L'orgue permet de prendre son temps dans les enchaînements…

En réalité, en dehors des pièces inutilement virtuoses, c'est bien commode : ça permet d'avoir la ligne de basse bien posée et de pouvoir faire plein d'autres choses avec les mains.

Mais ça vaut pour des œuvres complexes, pas pour accompagner des chants de messe, où l'on peut s'en passer.

Ça doit influer aussi, oui.

(En tout cas bravo pour ton premier engagement et ta nouvelle carrière !)

Les pieds sont facultatifs la plupart du temps ! Pour de l'accompagnement de cantiques ou du baroque français, par exemple, pas vraiment besoin.

Je n'ai pas trouvé ça très dur, mais j'ai étudié l'orgue à une époque où j'avais déjà une indépendance des mains correctes, c'est sûr que tout à la fois…

En réalité, si tu bosses régulièrement, tu progresses beaucoup plus vite à l'orgue qu'au piano, il n'y a pas toutes les fanfreluches de nuances dynamiques et de timbre.

A priori ça devrait assez bien parler à ton approche méticuleuse par les exercices répétés.

… mais le son est atroce.

Il faut mieux acheter des claviers-maîtres + le logiciel Hauptwerk, qui a recueilli les sons de dizaines de véritables orgues (et pas les plus vilaines !). Là, c'est incroyable.

(Et ça casse moins les oreilles que les vrais.)

(Et ça prend moins de place.)

Si on est passionné par l'ouvrage, une postface avec un peu de contexte, des notes de bas de page pas repoussées à la fin, c'est déjà mieux… ou simplement on achète ensuite un bouquin méta.

La préface c'est nul. Je vote pour toi.

Absolument. D'autant plus que la plupart du temps il s'agit ou d'une collaboration de prestige, à peu près sans intérêt (j'ai des noms), ou comme tu dis d'observations de niche qui ont peu de probabilité de recouper les intérêts du lecteur.

Je pense que tu as confondu avec Questions pour un Séminariste.

Je suis irrécupérable, semble-t-il.

(quelques photos que vous connaissez peut-être)