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CrockTune

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I draw stuff from time to time, don't blame my lack of productivity 🫠
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CrockTune

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Trans everywhere 🏳️‍⚧️ 👀

Film 18
What Did the Lady Forget (1937)
On va suivre la relation amicale de Komiya et sa nièce Setsuko, dans leurs aventure remplie de masculinité toxique, enfin, surtout celle de Setsuko, qui me donne des vibe de mec trans dans le placard.
Le film s'ouvre sur un enfant qui dis que les histoires de femme l'ennuie et ça donne le ton du film, ici on va suivre deux hommes (dans leurs écriture).
Setsuko, fume, bois, va voir des Gueisha, en gros ne colle pas au stéréotype de genre de la femme japonaise et cela nous est bien montrer tout le long du film, les femmes y sont vu souvent en groupe à papoter.
Mais jamais Setsuko n'y est présente, elle traîne avec des garçons et même dans sa façon de s’habillée elle reste masculine.

Elle ira même jusqu'à pousser sont oncle plutôt calme et évitant (il reste un sac a merde aussi) a commettre une violence conjugale à la fin et elle le prendra ensuite à la rigolade.
Pour moi Setsuko est juste un homme et de ce fait participe activement au oppression patriarcale.
Le film est vraiment bon, on aime suivre ces deux personnages être les pires, car leurs alchimie fonctionne très bien.

November 28, 2025 at 6:13 PM

CrockTune

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Et Ozu dit : que le son soit ! Et le son fut.

Film 17
The Only Son (1936)
Les films on enfin du son incr/20
On suit l'aventure d'un jeune garçon qui ment sur le fait qu'il ira en école supérieur auprès de son prof, sa mère le réprimande d'une gifle pour ses mensonges, car iels ne peuvent se le permettre.
Au final elle se démènera pour le faire, il partira donc a Tokyo, des années plus tard, la mère dira a une collègue a elle "je vais voir mon fils a Tokyo" toute heureuse.
Une fois là bas elle apprendra que sont fils est marier, a un fils et travail comme prof de nuit dans un école (askip prof de nuit c honteux).
La mère tentera de caché son amertume, mais la vérité explosera un soir pendant son séjour, elle trouve sont fils raté (avis perso la daronne est une merde).
Et elle quittera enfin Tokyo, à son retour sa collègue lui demandera "comment était la grande ville ?" et la mère se mettra a mentir, cachant ses problèmes, elle s'isolera juste après a l’arrière de l'usine pour se morfondre seule.

Film incroyable, vous avez sûrement compris, le film met en scène une confrontation entre mensonge et réalité/ mère et fils.
Tout le long du film on sent le ressentiment dans chaque geste, dialogue, regard.
Que ce soit cette mère qui trouve sont fils faible (ce sont ses mots) ou ce fils qui tente de lui faire passer un bon moment malgré sa honte.
Ce que j'ai beaucoup aimer c'est que le film prend sont temps, mais on ressent même dans les moments de partage une certaine aigreurs du deux coté.
Personne n'est satisfait de cette vie, mais toustes y sont astreint.
Personnellement j'y vois une critique de la réussite a tout prix, la mère à voulu mettre toutes les chances du coté de sont fils négligeant le lien qu'iels avaient et des années plus tard ce lien à du mal a se reconstruire.

November 27, 2025 at 5:56 PM

CrockTune

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Je reste agréablement surprise de ce que j'ai vu

Film 16
Lion in the Mirror (1936)
J'ai pas tout compris, mais apparemment on va suivre l'histoire d'une femme qui suite a une rencontre avec une vielle, va être possédée par un esprit de lion et transformer en ce dernier.

Ce n'est pas un film, c'est un documentaire, et quel documentaire.
C'est le premier spectacle Kabuki que je vois et c'est trop bien.
Je sais pas quoi dire de plus XD je vais quand même essayer.
On a droit à une brève introduction à qui est Kikugoro Onoe VI, une star montante du milieu et d'une explication comme quoi Kagamijishi (la dance du lion) est une des plus difficile à performé.
C'est suivi d'une représentation, filmé par Ozu et c'est trop bien.
Le moment où la femme se fait enlever par le lion j'étais sur le cul, pareil quand le gars commence à balancer sa chevelure partout.
On reste sur de la performance filmé donc Ozu n'a pas beaucoup de liberté, mais on a droit a quelque plan serré ou de face et sinon on reste sur un plan fix d'ensemble très bien cadré.

November 26, 2025 at 4:32 PM

CrockTune

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Beaucoup de misère, mais aussi de l'entraides

Film 15
An Inn in Tokyo (1935)
On va suivre l'histoire d'une famille sdf, un père Kihachi et ses deux fils, ensemble ils vont erré dans les banlieue industriel de Tokyo sans arrivé a trouvé de travail.
Un jour alors qu'ils sont en train de jouer pour oublié leurs misère ils recroise une femme Otaka accompagnée de sa fille, après une brève conversation on apprendra qu'elle aussi est a la rue.
Plus tard Kihachi retombera sur une amie a lui qui lui offrira un logement et lui permettra de trouvé un travail, il s'empressera d'aider Otaka avec l'argent qu'il gagnera.
Mais un jour la fille d'Otaka tombera malade et sa mère disparaîtra, on apprendra qu'elle travail dans un établissement de sake.
Kihachi en l'apprenant lui dira qu'elle n'a pas a faire ce travail et qu'il s'occupera de payer l’hôpital, il va donc commettre un vol et se rendre au autorité après avoir demandé a son ancienne amie de s'occuper de ses fils.

Le film donne des vibe de road trip très sympa, malgré le sujet aborder qui l'est moins.
Ozu dans les 15 film que j'ai vu à vraiment très souvent dépeint la misère et je trouve ça assez surprenant car je l'ai découvert avec un film qui parlais d'une classe aisée.
J'aime bien ce film, on vois qu'avec les année, le réalisateur à pris en confiance et skill, on a droit a des plan toujours aussi posé mais bien maîtrisé à tel point que par moment j'en oubliais que ce film est muet et 90 ans OoO.
C'est d'une douceur mélancoliques et c'est voulu je pense, un des dialogues parle de la naïveté de la jeunesse et de la nostalgie qu'on les adultes face à leurs enfants qui joue.

November 25, 2025 at 2:55 PM

CrockTune

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Un film masterclass de + dans ma liste de film vu

Film 14
A Story of Floating Weeds (1934)
On suit l'histoire d'une troupe itinérante d'artiste de théatre kabuki dirigé par Kihachi, un homme qui cache un secret.
Sont secret n'est autre qu'un fils, il l'as eu il y a longtemps avec une femme a qui il a fait promettre de faire croire à leurs fils Shinkichi que sont père est mort. (Kihachi se fait passer pour sont oncle)
Mais cela ne va pas durer quand Otaka (la concubine) de Kihachi se met a soupçonné quelques chose elle envoie une jeune actrice de la troupe, pour séduire Shinkichi.
Le temps passe et une relation se sincère se crée entre les deux jeune amoureux mais la troupe, vie de moins en moins bien.
Après de nombreuse représentation non fructueuse, la troupe dois se rendre à l'évidence et décide de dissoudre leurs groupe.
Au même moment Kihachi pense se retirer chez sa famille auprès de sont fils, mais une confrontation avec ce dernier et la divulgation de la vérité va tout chambouler.
Kihachi finira par repartir sur les routes avec Otaka laissant Shinkichi derrière, sont fils regrettera trop tard le rejet qu'il a eu envers sont père plus tôt.

Le film est magnifique, la photographie, les décors, costume, maquillage (surtout ceux des représentation théâtrale).
La mise en scène est un cran au dessus aussi comparer au film précédent, les plans respire enfin, on vois l'horizon, on voyage un peu.
Je n'en ai pas beaucoup parler mais on suit la troupe et il y a beaucoup de personnage en son seins.
Le film se permet quelque plan magnifique plein de sens, je pense à un plan sous la pluie qui met en scène la première confrontation entre Kihachi et Otaka.

November 24, 2025 at 10:06 PM

CrockTune

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Un film sympathique

Film 13
A Mother Should be Loved (1934)
On suit la tragique histoire d'une relation familiale qui va se voir détériorer suite à la mort du père de la famille et de la révélation d'un secret familiale.
Le fils le plus âgé (Sadao) apprendra qu'il est en faite le fils de l'oncle de la famille, il n'a aucun lien de parenté directe avec la mère ni sont frère Kusako.
Malgré tout il restera un temps très proche de sa famille, mais suite au traitement différent que sa mère a envers lui (elle le préfère), il décidera de coupé les ponts.
En carton de fin on apprendra qu'il finira par retourné les voir et qu'iels partirons déménagé en banlieue de ville.

Le film est très bon, malgré des cut abrupte sûrement du au fait que ce film est incomplet, pareil pour les carton de fin qui nous explique le scénario c'est très étrange.
Je conseil ce film malgré tout, on suit cette tragédie sur plusieurs année et on vois l'évolution des relations.

November 23, 2025 at 3:14 PM

CrockTune

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Luth, la grande gobeline guerrière du clan Shak-Zarr ⚔️, après elle est fait 1m20, donc tout est relatif

$Une Gobeline verte pomme en armure rouillé, portant des vêtement en tissu et en cuir, elle a une ceinture ornée d'une assiette sur laquelle est peint l'emblème de son clan (le clan shak-zarr) qui représente l'impacte d'une météorite fracassant le sol. Elle porte un gourdin de bois avec des pics et une cape violette. Elle arbore aussi de nombreux piercing sur le visage et son oreille gauche est sectionné et caché par sa chevelure verte.$

November 23, 2025 at 12:37 PM

CrockTune

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Ce film m'a beaucoup trop intéressé pour ce qu'il raconte ToT

Film 12
Passing Fancy (1933)
C'est les feux de l'amour version débile, attacher vous, je vais tout vous raconter XD
On suit la vie d'un groupe de personnage à Tokyo, il y a d'abord Kihachi et son fils Tomio, puis Jiro (un ami et collègue de Kihachi) et Otome (une gérante de restaurant).
Leurs vie va changer quand après une soirée Kihachi et Jiro vont rencontrer Harue, une jeune femme qui n'a nul part où dormir, Kihachi va donc l'emmener à Otome pour la lui offrir un toit et travail.
Alors que les jours passe Kihachi ce pointeur dégueulasse va vouloir dragué Harue car je paraphrase "elle ressemble a une geisha que j'ai connu" :skull: et se défend avec l'argument du "l'âge ne veux rien dire".
Bref, il se fait recalé car Harue considère Kihachi comme sont oncle et veux se mettre avec Jiro, elle envoie donc Otome demande à Kihachi demander à Jiro si il l'aime.
Problème, Jiro respecte sont ami (le gros pointeur) et refuse de le doublé pour son honneur.
Quand soudain, Tomio tombe malade, et Kihachi se rend compte qu'il à été un père de merde, problème le médecin coûte chère et Kihachi est pauvre, Harue décide alors de se porter volontaire pour trouvé de l'argent, mais Kihachi la réprimande et Jiro lui interdit et dis qu'il le fera a sa place.
Jiro va donc demander des thunes à un barbier (ami à lui) et le gamin fini soigné.
Mais pour remboursé le barbier Jiro dois allez taff à Hokkaido, Kihachi en l’apprenant tel un héro des temps moderne, va casser la gueule de sont ami avant d'abandonné sont fils et de partir pour Hokkaido.
Alors que le barbier lui avais dis plus tôt "tkt je veux plus être remboursé au final car maintenant je sais que cet empreint servais a sauver ce gamin"
Et dans un élan de culpabilité et le seum d'une blague raté, Kihachi saute du bateau pour Hokkaido en marche, pour retourné à Tokyo auprès de sont fils, fin.

Ce film est très cool, malgré ses idées de son temps on va dire.

November 22, 2025 at 12:45 PM

CrockTune

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Dans une autre réalité ce film est l'histoire d'un couple bi qui se sépare et fini en romance lesbienne et gay, c'est mon head canon XD

Film 11
Dragnet Girl (1933)
On suit la relation compliqué de deux bandit, Joji et Tokiko, iels vont vivre des moments compliqué quand Joji va tombé amoureux d'une autre femme.
Je skip toute les histoire du club de box de Joji et de Hiroshi (un jeune délinquant) et Kazuko (la soeur de Hiroshi), mais cette partie est très cool et prend une grande partie du film.
Bref, à la fin après un dernier casse, le couple tente de s'enfuir et une dissension sur leurs projet d'avenir va les pousser a finalement se rendre pour repartie de 0 dans le respect de la loi.

Je dirais que c'est le 1er grand film de Ozu, le récit et dense et la relation entre les deux protagoniste très bien explorer.
La réalisation est parfaite, calme et pressante quand il faut, la composition des plan est très bonne, les lumières sont bien utilisé et le film se paie le luxe de travelling très cool.

November 21, 2025 at 9:10 AM

CrockTune

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Super un film qui s'appel Woman of Tokyo, enfin un film qui va mettre les femmes au 1er plan...

Film 10
Woman of Tokyo (1933)
On suit l'histoire d'un duo de personnage selon moi, une sœur Chikako et son frère Ryoichi qui date une meuf Harue.
Ryoichi est étudiant et Chikako aussi, enfin c'est ce qu'elle dis car elle travaille en faite comme hôtesse dans un cabarets pour payer les études de sont frère.
Un soir Harue rentre chez elle et apprend de la bouche de son frère (qui est un ptn de flic de merde), que Chikako taff dans un cabarets et donc elle va chez eux pour en parlé avec Chikako, mais elle tombe sur Ryoichi qu'on nommera maintenant "sac a merde".
Sac a merde apprenant la nouvelle fait pleurer sa meuf qu'il remballe et expulse de chez lui, puis attend en rage sa sœur.
Quand Chikako arrive, il l'as frappe et la slut shame, puis il sort la laissant dans la maison.
On apprendra que sac a merde c'est suicidé, comme le sac qu'il est, laissant ainsi sa sœur avec le poids de sont suicide et annulant tout ce pourquoi Chikako faisais ça en premier lieu, fin.
Point fort du film, Chikako traite le sac a merde de lâche à la fin quel plaisir.

Je n'aime pas ce film XD, non pas qu'il ne soit pas bien réalisé, c'est tout le contraire la réalisation est vraiment bonne.
Notamment un plan sur une ombre de nœud de pendu quand on apprend la mort de sac a merde.
Y'a aussi une belle répétition des plan extérieur avant et après le drame qui signifie deux choses différente malgré que ce soit le même plan copier coller.
Non, je n'aime pas ce film pour sont histoire des enfers, entre le flic, le slut shaming, le frère qui frappe sa sœur, les journalistes à la fin, tout le final en faite, y'a rien qui va dans ce scénario.

November 20, 2025 at 6:59 AM

CrockTune

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Le film était sympa par contre wtf le nombre de gifle dans sa gueule ça m'a grave choquée

Film 9
Where are the Dreams of Youth? (1932)
On suit la vie de Tetsuo un étudiant qui hérite de la société familiale, une fois directeur, il va aider ses amis a passer l'examen d'embauche en leurs donnant les réponse, mais cette acte de bonté va être mis à rude épreuve quand Tetsuo va se voir en rivalité pour une femme avec Saeki, un ami a lui.
Cette femme va brisé le coeur de Tetsuo et ce dernier va exploser la gueule de Saeki avant de lui demander pardon (c lunaire) et a la fin Saeki fini marié avec la meuf et Tetsuo lui fait coucou de loin xD.

Le film est dans la droite lignée des précédents films de Ozu, on suit des scènes quotidiennes sous couvert de relation qui évoluent.
Je n'en parle que maintenant mais j'aime beaucoup les plans de coupe qu'utilise Ozu.
Souvent sur des objets où partie de bâtiment pour signifier le temps qui passe, les pensées de ses personnages, leurs émotions, c'est vraiment intelligemment utilisé de sa part.

November 19, 2025 at 2:14 PM

CrockTune

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j'avais beaucoup de chose a dire sur ce film, mais j'ai du me "limité" à ça 👀

Film 8
I Was Born But,... (1932)
Il raconte la vie quotidienne d'une famille prolo, plus précisément les aventure des deux enfants de cette famille qui a déménager en banlieue de la ville pour que le père de famille soit + proche de son emploie.
Après beaucoup de péripéties, notamment des bastons avec le bully du quartier et du séchage de cours, les deux frère finissent par se faire des amis.
Mais un soir alors qu'ils sont invité chez leurs amis qui n'est autre que le fils du patron de leurs père, ils découvre lors d'une projection de film que leurs père amuse la galerie pour sécurisé sa place. (ça permet à Ozu de planquer un dialogue méta où l'un des collègue du père dis a ce dernier qu'il ferais un bon acteur de comédie)
Les enfants comprennent alors ce qu'est le capitalisme ToT, mais vont shame leurs daron car il s'écrase trop devant son boss et prévoie une grève de la faim (on va encore frapper des enfants sous couvert de correction bref c 1932), malgré tout, tout semble se finir bien et le film se termine sur les enfants et leurs ami qui parte vers l'école bras dessus bras dessous.
La mise en scène est routinière et les lieux visité sont très peu nombreux, le plus important du film se passe entre la maison et le chemin de l'école, ça créer une certaine familiarité au fur et à mesure du film, très intimistes.
Une chose que je remarque aussi, c'est que les personnage masculin qui sont souvent le centre de ses récits, sont aussi très souvent en galère et recherche quelque chose, l’emploie, l'amour, les bonnes notes, l'argent...
Je pense que cela doit être dû à la crise économique que subissais le pays à cette époque.
Je finirais sur une info que je trouve pertinente, a un moment le père demande au enfants ce qu'il veulent être plus tard et les enfants répondent "général" d'une par pour ne pas a subir ce que subit leurs père et j'y vois aussi une critique ou du moins une mise en scène de la monté du climat militaire ambiant au japon.

November 18, 2025 at 7:42 AM

CrockTune

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Banger absolu, malgré une scène méga grave je trouve

Film 7
Tokyo Chorus (1931)
On suit Okajima un jeune homme à l'école (je vous jure c'est un autre Okajima XD), des années plus tard il est employé dans une boite d'assurance et c'est la que la merde commence.
Voyant sont collègue injustement virer, il tente de faire pression au patron, résulta il est viré, s'en suis une suite d'absurdité et sarcasme.
Le film est très drôle, malgré une scène qui aujourd'hui choquera a raison, on vois un gamin se faire frapper genre violemment c assez fou.
Au final Okajima retrouvera sont ancien prof et fera des petits boulots pour lui, ce dernier lui ayant promis de lui trouvé un vrai taff si il l'aidais.
Malheureusement comme beaucoup de film de Ozu la fin prend à revers, tout le monde est joyeux alors qu'un grand repas réunissant les anciens élève et camarade de Okajima prend place.
Le prof apporte l'heureuse nouvelle, il a trouvé une place de prof a sont ancien élève mais ce post signifie s'éloigné de sa famille.

Le récit est vraiment drôle comme dis plus haut, la mise en scène et surtout les cartons de texte me fume de rire c'est du grand art XD
On suit aussi le quotidien de ce gars qui galère et on survol beaucoup de problème et de thématique sociétale, c'est le premier film depuis le début que j'ai envie de revoir direct.

November 17, 2025 at 8:03 AM

CrockTune

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A un moment Ozu brise la règle des 180° mais ça va c pas horrible

Film 6
The Lady and the Beard (1931)
On suit l'aventure d'Okajima, un homme qui fait du sport de combat, il a ça de particulier qu'il est très vieux jeu un peu naïf et a une barbe, un jour il va surprendre une bandit qui extorqué une femme.
Après sont sauvetage, la victime va commencer à créer une relation avec Okajima, lui donnant des conseils pour mieux se faire accepter dans la société, rasé sa barbe.
La bandit quant a elle va promettre d'une menace qu'elle n'oubliera pas ce qu'a fait Okajima.

Je vous passe quelques péripéties de mariage arrangé et rendez vous, au final la bandit revient et fini chez Okajima, lui avouant ses sentiments, mais ce dernier n'en a que faire il est déjà amoureux, sa promise finir par arriver et devant leurs relations sincère la bandit promet de devenir une autre personne, car elle aussi veux de cette vie heureuse.
Le film se termine sur une note amère car alors que la bandit disparaît dans la ville et qu'Okajima regarde la boutique du barbier constatant que sa barbe repousse.
On nous rappelle que bien que rasé, les poils repousseront toujours, on suppose alors que le combat pour une vie rangée ne sera pas si simple pour la bandit.

Le film est très drôle, je n'en ai pas parlé mais c avant tout un comédie, Okajima est très excentrique comme personne et il a quelques galère pendant le film.

November 16, 2025 at 4:58 PM

CrockTune

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Acab on rappel

Film 5
Night's Wife (1930)
Quel film, on suit l'aventure nocturne d'une père qui cherche de l'argent alors que sa fille est gravement malade, suite à son braquage le père va se voir poursuivre par les forces de l'ordre.
Après être retourné chez lui, un inspecteur va le retrouver grâce au indice qu'il a laissé dans sa fuite et le malfrats va coopérer pour enfin se livrer au petit matin, laissant sa femme et sa fille derrière.

Le film a de très bonnes idées de mise en scène, notamment pour les indices sur le passage du protagoniste.
Ils ne sont jamais réellement utilisés, mais on comprend leurs importance et quand arrive l'inspecteur on sait comment il a remonté la piste.
Malgré son début en toute précipitation le film se finit sur une note calme et paisible.
A noter aussi que l'inspecteur fait preuve d'humanité ce qui contraste avec le policier qu'on voit au tout début qui fait déguerpir un sans abris sans le moindre remords.

November 15, 2025 at 2:57 PM

CrockTune

@crocktune.bsky.social

Un exellent film qui est court et fun

Film 4
I Flunked, But... (1930)
On retourne à l'école et c'est peu de le dire, le film se fini à l'école, on retrouve aussi les même têtes que dans les précédent films, une petite impression de troupe de théatre c'est marrants, bref
Le film raconte l'histoire malchanceuse d'un étudiant qui me rappel un peu moi XD, il est nul en cours, aide ses amis et les vois passer l'année quand lui la rate (true story ToT), il finira donc a l'école avec quelques flemmard comme lui à devoir repasser sont année, c'est là que le film s'arrête.
Maintenant, je veux la faire une aparté, ça fait 2 film que je vois des danses chorégraphié de bande de pote, est-ce que c'est un truc pour signifier une cohésions de groupe ? C'est un vrai truc que faisais les garçons de cette époque ? C'est une carricature de l'armé ? Ça me perturbe trop, HELP ME XD

Évidemment que serais un film d'Ozu sans amourettes, bien qu'elle soit moins présente dans ce film il y en a une, mais le cœur du film reste la mise en scène encore une fois de cette jeunesse masculine qui galère, là où Days of Youth dépeignai la lose dans la drague avec un à coté scolaire, ici c'est la lose à l'école avec un à coté romantique.
Je préfère de loin cet aspect japano-centré au précédent film + américain, je trouve que la pâte d'Ozu se démarque mieux avec ce genre de récit et contexte.

November 14, 2025 at 9:36 AM

CrockTune

@crocktune.bsky.social

J'ai beaucoup aimé ce film malgré ma haine de l'influence des usa xD

Film 3
Walk Cheerfully 1930
Un film qui déborde d'influence américaine, ce film de gangster raconte l'histoire d'un bandit qui va tomber amoureux d'une femme et qui par amour va chercher a devenir un homme honnête.
Mais cela ne va pas être facile et malgré sont anciennes vie derrière lui, deux de ses anciens ami·e vont finir par le dénoncer a la police et l'obligé à purgé sa peine avant de pouvoir vivre heureux avec son amour.

Le film comme dis plus haut est très marqué par l'influence américaine, on joue au golf, au billard,... Je ne suis pas très fan de tout cet aspect du film, mais forcé de constater que cela crée un pur film de gangster qui par cette influence coche toutes les case (on va suivre de petite magouille, des disputes interne, des scène de violence armée ou non).
Et pourtant Ozu ne s'y perd pas et nous fait suivre le quotidien d'une relation qui se crée avant tout.

November 13, 2025 at 4:41 PM

CrockTune

@crocktune.bsky.social

J'ai menti, le deuxième film est un court métrage xD (y'en a que 2 dans la liste à priori)

Film 2
A Straightforward Boy (1929)
On suit un kidnappeur qui va enlevé un enfant insupportable et regretter très vite.
C'est une comédie sympathique, les blague visuel marche bien, il y a du comique de répétition, les kidnappeur (car ils sont deux) sont les pires, ils sont d'une part violent avec l'enfant mais aussi complètement debile et nul.
Ce film est très différent du premier, la caméra cut beaucoup, elle semble plus dynamique, je pense que cela est du à la durée extrêmement courte de la version que j'ai vu.

Le court métrage fait 30 minutes à la base, il existe apparemment aussi une version de 21 minutes restauré que je n'est pas réussi a trouver, pour ma part j'ai vu la version de 14 minutes ToT

November 12, 2025 at 12:32 PM

CrockTune

@crocktune.bsky.social

1er film
Student Romance: Days of Youth (1929):
Ça raconte l'histoire d'un étudiant (sac a merde que je déteste de toute mon âme) qui suite à sa technique pour trouvé une belle meuf va se retrouvé en concurrence au ski avec sont "ami" ami entre guillemet parce que le premier est un fdp et le second subi sont amitié 😭
Vraiment très drôle et énervant comme film XD quand on suit le fdp et qu'on le vois faire des dinguerie j'avais envie de le frapper et quand on suit le mec sympa, lui et la meuf sont minions.

La réalisation est très cool et on a quelques plan qui se répète notamment pour ouvrir et clôturer le film, ça montre selon moi la boucle de cette routine étudiante où ces deux gars cherche l'amour en vain, car oui la fille finie avec une autre personne et les deux garçon on bien le seum 😎
Le film est très bien rythmé je trouve, y'a quelques plan qui suggère l'état mentale des personnages.
Je pense a un moment précis où on voit un poêle qui se fait remplir de bois et juste après la cheminé vu de l'extérieur pour montré qu'un personnage rage et qui coupe sur le même personnage plus tard qui fume une pipe et expire la fumé en ruminant, bref la réalisation ne fait pas que montrer elle raconte aussi.
J'aurais aimer voir le tout premier long métrage mais il est perdu en tout cas on sens déjà que Ozu maîtrise la caméra.

November 11, 2025 at 1:55 PM

CrockTune

@crocktune.bsky.social

J'ai récemment dénichée tout les film de Yasujirō Ozu, je vous propose des critiques qui spoil chaque jours sur ses 35 long métrage disponible dans ce thread 👀
Disclamer : je ne suis pas une critique ciné, c'est juste mon avis à chaud sur des films que je découvre