💶 Les salaires progressent en termes réels, mais continuent de ralentir au 3e trimestre, aussi bien en termes réels que nominaux. Le reflux de l’inflation depuis le pic de 2022 contribue toujours à limiter la progression des salaires négociés.

🤝Les difficultés de recrutement poursuivent leur décrue sur les derniers mois en France, dans les trois grands secteurs d’activité. On observe également cette tendance à la baisse dans l’Union européenne.

📊Le taux de chômage est quasi stable au 3e trimestre (+0,1 point) et progresse de 0,3 point sur un an, pour s’établir à 7,7 % de la population active. Le halo du chômage reste pour sa part stable ce trimestre.

🏭 35 % des entreprises remplissent leur obligation, avec un taux d'atteinte nettement plus élevé dans les grandes entreprises et qui varie du simple au double selon les secteurs d’activité.

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↗️ En 2024, les bénéficiaires de l’OETH représentent 92 % des effectifs attendus pour satisfaire l’obligation légale, soit 4 points de plus qu’en 2023.

📈 Cela représente un taux d'emploi de 5,1 % (en tenant compte de la majoration des bénéficiaires âgés de 50 ans ou plus). Il progresse de 0,2 point par rapport à 2023.

En 2024, 720 800 travailleurs handicapés - représentant 490 400 équivalents temps plein - sont employés dans les 111 300 entreprises assujetties à l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés (#OETH).

L'étude complète ⤵️ dares.travail-emploi.gouv.fr/publication/...

📈 Les allocataires ayant entre 53 et 59 ans perçoivent plus souvent du RSA ou de l’ASS (37 % après trois mois) et sont moins souvent en emploi salarié (24%).

🔎 Trois mois après la fin de leur droit, 31 % des allocataires âgés de moins de 59 ans occupent un emploi salarié, 18 % perçoivent le revenu de solidarité active (RSA) et 11 % bénéficient de l’allocation de solidarité spécifique (ASS).

📊 Au second semestre 2022, environ 54 000 personnes en moyenne atteignent chaque mois la fin de leur droit au régime de l’assurance-chômage : elles représentent un cinquième des sorties de l’indemnisation.

🟰 Conflits individuels : stables
67 % des établissements concernés

Recours aux prud’hommes : en baisse
📉 19 % des établissements concernés (−7 pts vs 2014–2016)

Principal motif : contestation du licenciement

📣Les grèves persistent (8 %), avec notamment une hausse des conflits interprofessionnels liés aux mouvements sociaux sur les retraites.