« Ceux qui ont voulu interdire ce colloque pensaient nous faire taire mais l’interdiction ne tue pas une idée et la rend plus vivante encore. Chaque interdiction est en réalité un aveu de peur et ceux qui craignent le débat sont ceux qui n’ont plus confiance en leurs propres arguments. »

« Nous ne défendons pas une simple cause mais la signification même de l’université : le droit de penser sans tutelle, de discuter sans permission, de chercher sans peur. »

« La neutralité face à l’oppression n’est pas de la science, c’est de la complicité. Le chercheur véritable n’est pas neutre devant la vérité, il lui est fidèle par conscience et par responsabilité. »

et que la connaissance n’a pas besoin d’autorisation politique mais de courage intellectuel.

On nous reproche de ne pas être neutres, eh bien je le dis clairement : la neutralité face à l’injustice n’est pas une vertu, c’est une faiblesse. »

Ma grande fatigue c’est l’inscription positive dans la logique de résilience (enfin chacun·e son "trigger" dans ce post du coup nespa)

👀

Tu t’es perdu aussi :)

On dira jamais assez combien le procès de Mazan et son traitement médiatique (+ la production "intellectuelle" afférente d’essais en tout genre) a incarné, cristallisé et entériné ça

Adelphes, alliés, ou ennemis politiques, je vais jamais m'entendre avec des gens dont le cadre d'analyse de la folie est "c'est le monde qui est fou pas nous", svp ceci doit cesser.

Amin 🙏🏼

Me suis énervée sur ça la semaine dernière mais je me suis fait tomber dessus par les copaines au motif que son intervention était "parfaite" etc.

Il explique que la folie c'est sombre et sordide, et il invite ces gens à aller à Sainte Anne, voir les effets des médicaments, l'infantilisation, tout ça.

Oui ok très bien mais le truc sordide là, c'est pas la folie, c'est Sainte Anne.