Je ne saurais pas dire pour ce qui concerne Parr lui-même mais, en tout état de cause, le regard des visiteurs des expos de Parr est fortement teinté de racisme de classe.
La sociologie de ceux qui fréquentent les expos d'art contemporain est éclairante.
Quant à exposer Parr sur sa table basse...

Ou de complaisance.
Je renvoie notamment à la critique de Simona Crippa et Johan Faerber :
www.collateral.media/post/une-ren...

Le corps du notable est sacré.
Le corps du gueux est négligeable.
#CorporatismeDeClasse

Toute l’œuvre d'Emmanuel Carrère me paraît relever de l'imposture.
Écrivain d'un égotisme maladif et d'autant plus glauque qu'il est invasif (mensonges et manipulations).
Avec un racisme de connivence qui passe crème au sein de la gauche bourgeoise.
Et style consternant de platitude prétentieuse.

Exemple type de l'autrice/auteur éminemment sympathique dont l'écriture pèse trois tonnes. J'imagine qu'elle est à côté de son écriture parce qu'elle essaie de se conformer à un modèle "efficace" d'histoire susceptible de plaire à un large lectorat - et de fait ça marche. Si tel est le projet...

Au bout de presque trente ans de mariage, Luce n’est jamais tout à fait certaine du ton de son mari, ni de la signification de ses expressions faciales. Dédain pour son esprit obtus, compassion pour sa naïveté, affection envers son grand cœur ?
Ou alors toutes ou aucune de ces options ?

J.C. Oates

Ah mince...

Mais pourquoi cette iconographie ?
La sémiotique de cette photo raconte une valorisation de Robert Birenbaum par le fait de sa présence aux côtés du président.
Macron en caution de Birenbaum...
D'autant plus contresens que Macron a un passif sur le sujet.
www.revolutionpermanente.fr/Pantheonisat...

Choix iconographique surprenant (irréfléchi j'imagine), surtout quand on se souvient comment Macron a voulu récupérer politiquement l'hommage à Manouchian (et a évincé de la cérémonie de panthéonisation Léon Landini).
www.revolutionpermanente.fr/Pantheonisat...

Certes la réalité ne sera pas moins noire.
Elle a tendance à m'écraser moi aussi.
Je tentais de répondre à un désarroi qui m'est familier...
Comment se déporter de l'écrasement, consolider sa propre survie psychique et émotionnelle.
Rester vivace.
Se régénérer quand cela devient indispensable.

C'est bien la "gourmandise" de ce personnage navrant qu'il faut souligner.
(Outre le fait bien plus inquiétant qu'il est incité par le pouvoir en place à s'exprimer comme il le fait.)
C'est un tueur fanatique.
Pour qui la guerre est un idéal, une vocation.
Parfait servant des profiteurs de guerre.

Et à propos de l'arrogance "civilisatrice" des Renan, Ferry, Sarraut et autres propagateurs d'un roman national-républicain qui pour être grotesque et fallacieux demeure une forte référence idéologique à droite, lire :

LeRoi Jones (in Le Peuple du Blues)
leditdebinh.blogspot.com/2025/11/rhiz...

Selon moi, c'est une sorte d'occultation causée par la surexposition numérique.
Qui requiert une déconnexion (numérique) sensible. Pour une reconnexion (à la nature, à sa propre présence, à la beauté).
Un processus parfois éprouvant à traverser.
Insister... être patient... rester doux.
#lâcherprise

C'est précédé de : "Il m'avait dit, un jour où il était entré dans mon bureau et m'avait trouvé sans cravate :"

Et c'est un extrait du "Fils de l'homme-dé", de Luke Rhinehart.

Lequel a écrit beaucoup de romans à chier, mais les deux parlant de L'homme-dé sont cultes (et très problématiques).