Eric Billy
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Genetic, #CRISPR, cancer, immuno-oncology, Radioligand Therapy, RLT. «La vérité est dans la nuance et le succès dans les détails» FR/EN Opinions are my own
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ericbilly.bsky.social
Il n’y a pas de bons ou mauvais naturopathes; il n’y a que des charlatans arnaqueurs.
Le meilleur pour moi c’est ceux qui préconisent une cure de jus de pamplemousse pour la détoxication; que que cela réduit la fonction hépatique 🤔😏🤦‍♂️
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Dans Current Biology !👌🏻
Merci 🙏🏻
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sandrachoupiqueen.bsky.social
En complément
Le business de la naturopathie (et autres charlataneries)
prospère sur la détresse et les peurs des gens

avec la complicité très active de BigComplémentsAlimentaires
des conspi

& l'indifférence complice des pouvoirs publics, niveaux national & local

www.youtube.com/watch?v=PR7Y...
Margot Brunet : « Il n'y a pas les bons et les mauvais naturopathes »
YouTube video by Conspiracy Watch
www.youtube.com
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Le Pr Ninot voulait structurer le champ des soins non médicamenteux.
Il a surtout offert une tribune de respectabilité à des pseudo-thérapies sans fondement.
Sous prétexte d’ouverture, c’est la rigueur scientifique qu’on a sacrifiée.
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La science n’a pas besoin d’y croire.
Elle doit prouver.
Donner une apparence scientifique à des pratiques inefficaces, c’est affaiblir la médecine fondée sur les preuves et mettre les patients en danger.
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Le Pr Pierre Cochat (Haute Autorité de Santé) le dit clairement :

“Nous ne pouvons pas avoir déremboursé l’homéopathie et ne pas appliquer les mêmes règles à toutes les thérapies.”
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Ces confusions alimentent un marché du désespoir :
patients atteints de cancer ou de maladies chroniques détournés de traitements efficaces au profit de promesses sans fondement.
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En médecine, une règle simple :
👉 Pas d’essai clinique, pas de preuve.
👉 Pas de preuve, pas de soin.
Et pourtant, on continue de promouvoir des pratiques “douces” jamais testées sérieusement.
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Le paradoxe est total :
Ninot dit vouloir “séparer la science de l’ésotérisme”, mais il légitime (involontairement?) ceux qu’il prétend évaluer.
Ses congrès sont devenus une scène où le pseudo-scientifique se pare des atours de la rigueur.
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Résultat : une caution académique donnée à des pratiques sans preuves scientifiques.
Même la Miviludes classe certaines, comme la fasciathérapie, parmi les dérives thérapeutiques.
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Son congrès, le NPIS Summit, a accueilli des stands et partenaires issus de la nébuleuse pseudo-scientifique :
🔹 naturopathes antivax
🔹 vendeurs du “Bol d’air Jacquier” (déjà condamnés)
🔹 promoteurs de “santé intégrative” financés par Boiron ou Olisma.
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Le Pr Grégory Ninot (Université de Montpellier) se présente comme l’évaluateur des “interventions non médicamenteuses”.
Mais son travail a offert une vitrine à des pratiques jamais validées scientifiquement.
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Excellent article de @lexpress.fr ou l’on apprend que sous couvert de “soins non médicamenteux”, des pseudo-thérapies (naturopathie, fasciathérapie, etc) revendiquent une légitimité scientifique qu’elles n’ont jamais démontrée.
Et certains chercheurs leur ouvrent grand la porte
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ericbilly.bsky.social
Quand tu avais prévu de partir au petit matin pour un trail mais que les températures ont chuté fortement et que le paysage est très différent de la veille.
Tu changes de parcours, les vêtements mais la sortie est maintenue… même sous la neige. Belle journée.
ericbilly.bsky.social
Pas besoin de créer une entité de « médecine intégrative » si on ne souhaite qu’enquêter sur la pertinence de ses pratiques. Elles doivent faire la preuve par des essais qu’elles sont efficaces dans le cas contraire il n’y a rien évaluer.
ericbilly.bsky.social
On espère une réaction rapide et significative de @unistra.fr, alors qu’un psychiatre, professeur des Hôpitaux universitaires de Strasbourg, promeut les pratiques douteuses d’un mouvement controversé et suivi par la Mivilude.
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lexpress.fr
"Chaque mafia a son domaine d'expertise" : enquête sur l'essor inquiétant de la criminalité verte
➡️ https://l.lexpress.fr/Kqi
ericbilly.bsky.social
Le message est clair : sans action forte et coordonnée, le fardeau du cancer va exploser. Prévention, équité, innovation et solidarité doivent être les piliers d’une réponse globale, humaine et durable à l’un des plus grands défis sanitaires.
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ericbilly.bsky.social
Les données du GBD 2023 offrent une base solide pour guider les politiques publiques. Elles permettent de cibler les priorités, d’évaluer les progrès et d’orienter les investissements vers les interventions les plus efficaces et équitables.
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Malgré son poids croissant, le cancer reste sous-financé dans les politiques de santé mondiale. Il est urgent d’aligner les ressources sur l’ampleur du problème. L’inaction coûte des millions de vies et freine les progrès en santé publique.
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Le rapport appelle à renforcer la prévention, le dépistage, les traitements et les soins palliatifs, en particulier dans les pays à faibles ressources. Le cancer exige une réponse mondiale coordonnée, durable et fondée sur la solidarité.
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ericbilly.bsky.social
L’objectif de l’ONU de réduire d’un tiers la mortalité prématurée par maladies non transmissibles d’ici 2030 semble hors d’atteinte. Le rythme actuel ne permettrait qu’une baisse de 6,5 %. Il faut accélérer les efforts de prévention et d’accès.
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ericbilly.bsky.social
Les cancers pédiatriques représentent 1 % des cas mais 3,2 % des années de vie perdues. Leucémies et tumeurs cérébrales sont les plus fréquents. L’impact est disproportionné et nécessite des efforts spécifiques en recherche et en soins.
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