Le corps, comme un paysage primordial, poli par l’ombre et la lumière, où chaque muscle est une phrase antérieure au langage. Là où la chair s’arrondit, le désir cesse d’être faute, devient connaissance. Soudain la nudité n’est pas un dévoilement, mais un retour à une innocence où le plaisir pense.
December 18, 2025 at 12:23 PM
Le corps, comme un paysage primordial, poli par l’ombre et la lumière, où chaque muscle est une phrase antérieure au langage. Là où la chair s’arrondit, le désir cesse d’être faute, devient connaissance. Soudain la nudité n’est pas un dévoilement, mais un retour à une innocence où le plaisir pense.
Le dos offert, le ventre serré, la peau marquée par les gestes de l’autre, ils forment une seule bête haletante, faite de honte, de fièvre et d’obéissance. Dans le souffle coupé, plus que le froissement des draps et cette certitude obscure d’être enfin à sa place, cloué par le désir des autres.
December 16, 2025 at 4:48 PM
Le dos offert, le ventre serré, la peau marquée par les gestes de l’autre, ils forment une seule bête haletante, faite de honte, de fièvre et d’obéissance. Dans le souffle coupé, plus que le froissement des draps et cette certitude obscure d’être enfin à sa place, cloué par le désir des autres.