Haha c’est une étape obligatoire dans l’épopée parentale !

Merci de ne pas lâcher votre combat contre la dystopie apparente.

Deux lois, deux visions, zéro cohérence.

👉 Confier les indicateurs au MSSS, c’est centraliser pour contrôler.

👉 Les confier à Santé Québec avec les experts, c’est améliorer pour vrai.

Le choix devrait être évident.

La population n’est pas dupe.

@fmsq.org @fmoq.bsky.social

La Loi 15 (art. 74-75) donne déjà à Santé Québec le devoir d’élaborer un programme national de qualité et le pouvoir d’édicter des normes.

Bref : la qualité, c’est son travail.

PL106 fragilise la gouvernance.

La mission de Santé Québec est claire : organiser les services, soutenir la performance, améliorer la qualité et l’expérience patient.

Impossible de remplir ce mandat sans indicateurs pertinents.

Qui de mieux que l’opérateur terrain pour les développer avec les cliniciens?

Aujourd’hui, on veut faire croire à la population qu’on peut fixer des cibles sans consulter les experts et menacer de couper 25 % de notre rémunération si elles ne sont pas atteintes.

C’est une récupération politique que je refuse d’accepter

Il y a 6 ans, j’ai travaillé à l’INESSS pour élaborer 19 indicateurs de qualité. Le gouvernement ne les a jamais appliqués.

J’ai tenté, à maintes reprises, d’implanter des indicateurs dans plusieurs spécialités : aucune ressource ne nous a été donnée.

Il y a 11 ans, j’avertissais Gaétan Barrette en commission parlementaire : sa loi 10 manquait cruellement d’indicateurs de performance pour en mesurer le succès. Il a imposé sa réforme quand même.

Le podcast de deux heures est disponible ici !

youtu.be/QuqHNT7yJR4?...

N’importe quand !

Comme n’importe quel médicament, il peut y avoir des effets secondaires (ils sont décrits dans la monographie) mais ils sont rarissimes.

Dans la balance des risques vs bénéfices, ces derniers l’emportent.

C’est d’ailleurs pour ça que c’est disponible sans ordonnance.

Vous faites bien de pousser!