Pour elles, les critères proposés pour restreindre l'accès à ce droit ne sont absolument "pas opérants" ni "stricts". Ils placent le médecin dans une posture "toute puissante", ni "souhaitable" ni "demandée", de celui "qui devra décider qui peut vivre et qui peut mourir".

Alors que l'Assemblée nationale a entamé lundi 12 mai l'examen d'une proposition de loi sur l'aide à mourir, une vingtaine d'organisations soignantes rangées derrière le collectif "Soins de vie" tirent la sonnette d'alarme.

@justinemaurel.bsky.social a interrogé le président de l'Isnar-IMG, qui a été reçu par le cabinet du ministre de la Santé en marge de la manifestation des internes.