Communes (Mons, Boussu, Quaregnon, Saint-Ghislain) : Attente de dépôts de permis en 2025, freinés par études manquantes (EIE, inventaire déconstruction).

SPGE et opérateurs techniques : Retards dans les discussions et études préalables pour la démolition, sans calendrier ferme.

Le retard dans la démolition du pertuis aérien à Mons-Borinage, lié au projet BHNS, s'explique par l'absence de documents techniques clés pour respecter les normes environnementales et administratives wallonnes.

Ces obstacles repoussent les travaux au-delà de 2027, potentiellement jusqu'en 2030, aligné sur d'autres BHNS wallons freinés par des défis similaires.

Le report au-delà de 2027, potentiellement jusqu'en 2030, maintient la saturation de la N51 et freine l'amélioration de la mobilité pour ces 80 000 habitants environ, sans alternative immédiate viable.

Communes concernéesCes communes nécessitent des permis spécifiques pour les travaux et subissent les retards administratifs :

Mons (départ du tracé et chef-lieu).Boussu.Quaregnon.Saint-Ghislain (arrivée dans le Borinage

Des projets similaires, comme à Charleroi, avancent avec des budgets comparables, mais les défis administratifs freinent globalement les BHNS wallons

Ce BHNS s'inscrit dans la Vision FAST 2030 de la Wallonie, qui ambitionne de doubler l'offre de transports publics pour atteindre 10% de part modale d'ici 2030, en priorisant intermodalité et décarbonation.

Manque de transparence et priorisation insuffisante, comme dénoncé par le député Massaki, malgré un budget régional de 50 millions d'euros alloué

Retards dans les discussions entre acteurs régionaux et locaux, avec dépôt des permis espéré seulement courant 2025 par commune (Mons, Boussu, Quaregnon, Saint-Ghislain).

Raisons principales

Absence de validation du document "Problème-Objectif-Contrainte (POC)", essentiel pour avancer les études et permis.

Le retard du projet de Bus à Haut Niveau de Service (BHNS) entre Mons et le Borinage est principalement dû à des blocages administratifs et des lenteurs dans les validations techniques.

Raisons principales
aucune confirmation précise n'indique cet horizon pour Mons-Borinage, mais les démarches risquent de repousser les travaux bien au-delà de 2027.

Absence de validation du document "Problème-Objectif-Contrainte (POC)", essentiel pour avancer les études et permis.

Bien que des sources évoquent un possible report à 2030 pour d'autres lignes BHNS en Wallonie (comme à Liège),

aucune confirmation précise n'indique cet horizon pour Mons-Borinage, mais les démarches risquent de repousser les travaux bien au-delà de 2027.

Un manque de transparence et des avancées trop lentes, qualifiant le projet d'attendu mais urgent à concrétiser avec ses 50 millions d'euros régionaux.

Initialement prévu pour 2026-2027, il rencontre des retards dus à des validations administratives en suspens, comme le document "Problème-Objectif-Contrainte (POC)", et des permis par commune (Mons, Boussu, Quaregnon, Saint-Ghislain).

Alors que les mutuelles sont richissimes. Et ce, sur le dos des cotisants et de l'état. Dites, Monsieur VDB,

Alors que les mutuelles sont richissimes. Et ce, sur le dos des cotisants et de l'état.

Dites, Monsieur VDB, Pouvez-vous vous exprimer à ce sujet et dire ce que vous prévoyez pour mettre un terme à cette fumisterie ?