Je recommande la version d'Elvis Presley, langoureuse à souhait.

Je me permets de noter que c'est presque de la triche de citer une chanson de Noël, la météo faisant presque partie du genre, question sans doute qu'on comprenne bien que Noël = hiver. 🤓

En complément de programme: La guerre des graffitis.

Photos prises au coin de l'avenue Papineau et de la rue Dandurand
(a) le 22 juillet 2025 et
(b) le 22 décembre 2025.

(5/5) Je recommande chaudement la ressource éducative (en anglais) qui suit pour comprendre ce que sont les dialogueurs et quelles sont leurs limites.

thebullshitmachines.com

(4/5) Je ne suis pas un expert du domaine, mais j'ai assez lu sur la question pour être inquiet du marketing entourant cette technologie et des usages qui en sont faits. Je suis de ceux qui ont hâte que la bulle spéculative éclate.

(3/5) Dans l'exemple donné dans l'article de La Presse, le problème n'est pas que le dialogueur ait généré un bout de texte qui semble inquiétant pour la personne qui le lit, c'est de croire qu'on puisse confier à ce générateur de texte probabiliste un quelconque rôle dans un processus automatisé.

(2/5) Le journaliste pourrait alors se rendre compte par lui-même que ces systèmes ne sont pas du tout appropriés pour automatiser des tâches (ou comme outil de recherche d'information, ou comme psychologue, ou comme éducateur, etc.).