En fait, cette remarque permet de résoudre ce problème de manière purement algébrique. Il suffit de résoudre le système des règles, puis de calculer s(cible) qui est la valeur cherchée.

C'est une propriété des systèmes de réécritures choisis. Tu peux associer un réel s(X) à chacun des symboles de sorte que pour chaque règle X->AB...Z t'as s(X)+1=s(A)+s(B).. donc le nombre de règles pour atteindre un mot est constant.

Je l'ai fait il y a un moment, mais je crois que je me contente de faire une exploration recursive par un parcours en profondeur en memoisant les impasses.

Et plus de leaderboard global. Ce qui est tristement la solution la plus raisonnable. We can't have nice things...

Le cadre d'usage ne dit pas ça. Il parle globalement d'utiliser l'IA de manière éthique et responsable, en prenant en considérant les limites de fiabilité de l'IA et la nécessité d'exercer un regard critique.
Un logiciel de détection est juste une instance d'un LLM calibrée pour faire la détection.

Je remarque que j'ai donné une date par habitude pour les avis de septembre, mais l'entrée en poste dépend de nombreux facteurs.

À ce stade je ne peux que vous engager à lire le descriptif et à comparer avec l'ancien. Les sujets 0 préciseront la partie document et la note annuelle de mise en oeuvre précisera les modalités de passage et d'évaluation.

Pas possible d'annoncer une date, mais le plus tôt possible.
Oui, il y aura une banque.

C'est à comprendre dans le sens "réalisation informatique".

Ça se rapproche !

Au passage, c'est impressionnant de lire sur Usenet les retours de spectateurs sur les films de mon année de naissance. On a tendance à penser que l'internet social est né début 2000, mais les codes du net ont 45 ans !

Un LLM a très peu de chance d'arriver à faire des raisonnements déductifs corrects, mais pour toutes les règles *syntaxiques*, on peut très bien s'en sortir par énumération depuis les hypothèses de tous les théorèmes par règles d'éliminations. Il suffit de rajouter des constructions générées via LLM

En tout cas, pour l'IA, il y a une différence majeure : le coût dépend du nombre d'utilisateurs et donc ça ne peut pas être un vecteur d'égalité comme pouvait l'être les MOOC.

Je n'ai pas fait d'analyse poussée, mais des études ont montré l'impact positif des MOOCs dans les pays cherchant à développer l'enseignement supérieur en l'absence de ressources humaines mobilisables.
L'ES français n'est peut-être pas le bon point de comparaison.

Le livre "référence" est sûrement Artificial Intelligence: A Modern Approach de Russel et Norvig, en tout cas, c'est celui que j'ai dans la bibliothèque. Mais il est assez décevant je trouve.

L'exploration probabiliste contrôlée est certainement la clé de nombreux problèmes d'optimisations difficiles.