que je veux en vivre,
- mais parce que j’ai déjà un business solide derrière.

Je n’ai pas la pression du MRR pour payer mon loyer, je peux me concentrer sur le défi de builder.

Pour toi c'est quoi le plus difficile ? formation ou SAAS ?

Et je le dis directement aux builders : beaucoup quittent tout pour “vivre du SaaS” sans mesurer le risque. Attention aux influenceurs qui vendent du rêve : le SaaS, c’est dur, instable et sans garantie.

Et c’est précisément pour ça que je peux me permettre d’y aller maintenant :
- pas parce

délivrer de la qualité, être régulier… ce n’est pas "facile". Mais c’est linéaire : tu crées, tu lances, tu vends.

Le SaaS, c’est l’inverse :
- tu peux bosser 6 mois… et faire 0 €;
- ou bosser 2 semaines… et trouver ton marché.

Aucun filet de sécurité. Juste ton produit face au réel.

Cette fois :
- Interdit de coder 6 mois.
- J’utilise ShipSaaS (mon boilerplate Next FullStack) pour aller vite.
- Ça fait une semaine que je bosse dessus.
- Dans 1–2 semaines, ça sort. Point.

Voici les 3 principes simples qui orientent ma façon de builder maintenant :

c’est l’ego du développeur qui nous bloque : on veut un projet brillant, complexe… et au final on ne ship rien.

J’ai déjà fait l’erreur inverse aussi : passer presque un an sur un SaaS… pour rien. Plus jamais.

Je m’étais fixé un objectif simple : sortir un SaaS avant la fin de l’année.

Ce sont les réseaux qui essaient de t’en coller une.

Recommence. Réapprends. Redémarre.

Autant de fois que nécessaire.
Le “trop tard” n’existe que dans la bouche de ceux qui ont arrêté d’essayer.

- Tu peux commencer un sport à 35 ans.
- Reprendre des études à 39.
- Apprendre à nager à 40.
- Lancer un business en ligne à 45.
- Changer de vie à 50.
- Faire le tour du monde à 60.

La vie ne suit pas une timeline standard.

Elle ne t’impose aucune deadline.

de leur redonner envie de rester.
Aujourd’hui, on ne te lie plus à un champ…
Mais on cherche à te lier fiscalement à ton pays.
L’Histoire ne se répète pas toujours, mais elle rime souvent.

ouvriers à leurs ateliers jusqu’au paiement complet de leurs dettes et taxes.
C’est ainsi qu’est né le servage médiéval — un système de quasi-esclavage qui a duré plus de mille ans.

Ce parallèle fait froid dans le dos.

Un empire en déclin qui, pour survivre, enchaîne ses citoyens plutôt que

impériale à plus de 35 000 fonctionnaires et augmente massivement les impôts pour financer son armée.
Les taxes deviennent si écrasantes que les citoyens fuient l’Empire pour échapper aux collecteurs d’impôts.
Pour les retenir, l’État émet des décrets liant les paysans à leurs champs et les

plus de Français se barrent, définitivement.
Et au lieu de se remettre en question…

Il choisit la voie la plus simple : créer de nouvelles taxes et resserrer le contrôle.

Ça me rappelle étrangement la fin de l’Empire romain :

En l’an 297, l’empereur Dioclétien agrandit l’administration

L’IA ne va pas disparaître.
Elle va juste devenir invisible, intégrée partout, dans chaque outil, chaque workflow.

Si t’es développeur, ne parie pas sur la baisse de l’IA.
Parie sur ta capacité à t’en servir avant les autres.

« Ça va retomber, comme la bulle Internet. »

Shorter, c’est pour les traders et les investisseurs.

Dans la vraie vie, il y a plus à perdre à parier sur la baisse qu’à surfer sur la vague.

Parce que pendant que certains doutent, d’autres s’adaptent, expérimentent et prennent de l’avance.

J’ai compris ça quand j’ai arrêté de vivre au jour le jour.
Et depuis, tout a changé.
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