Observatoire Toulousain des Pratiques Policières
@opptlse.bsky.social
38 followers 87 following 5 posts
Observatoire porté par la Fondation Copernic, la Ligue des Droits de l'Homme et le Syndicat des Avocats de France. https://www.ldh-france.org/observatoires-des-pratiques-policieres-agir-pour-la-defense-des-libertes-publiques/
Posts Media Videos Starter Packs
opptlse.bsky.social
D'accord, mais le diamètre est faible, on dirait du 40, non ?
opptlse.bsky.social
Lors de la manifestation #flotille d'aujourd'hui, un dispositif réduit de #CRS , une poignée de policiers nationaux sur le côté, tous plutôt loin des manifestants.

Manifestation qui s'est déroulée dans le calme.
Quand on ne met pas des #BAC ou #FAR à 3 mètres des manifestants, ça se passe bien...
Reposted by Observatoire Toulousain des Pratiques Policières
isimvix.bsky.social
Bienvenu sur BlueSky à l'Observatoire des Pratiques Policières de #Toulouse @opptlse.bsky.social 🙂

Must follow 👇👇👇
opptlse.bsky.social
Les évènements d'hier à #Toulouse nous ont motivé à ouvrir un compte ici.
La charge, effectuée par la #CRS84 est brutale. Les grenades de désencerclements utilisées de manière offensive. Beaucoup de passants, journalistes et même deux observateurs ont étés frappés sans aucune raison.
Reposted by Observatoire Toulousain des Pratiques Policières
isimvix.bsky.social
"Cette agression s’ajoute à la liste déjà longue (voir les rapports de l’OPP) des violences envers les observateur·es qui sont, à Toulouse, régulièrement pris·es pour cible par les policiers."
Les observateur·es de l’OPP pris à partie, bousculé·es, frappé·es et matraqué·es par les policiers toulousains de la Compagnie Départementale d’Intervention - CDI

Un des OPJ qui pilotait le dispositif policier avait donné le ton quand il s’était adressé aux observateur·es avant le rassemblement en leur signifiant qu’il considérait qu’ils et elles étaient des manifestants et qu’ils et elles seraient traité·es en conséquence. Les observateur·es lui avaient répondu en lui disant qu’ils et elles n’étaient pas manifestants, en lui rappelant leur statut au regard du droit international et qu’en particulier ils et elles avaient le droit d’observer une manifestation même si celle-ci était interdite.

Les policiers des CDI sous ses ordres ont donc suivi les consignes et s’en sont pris aux observateur·es sur les allées Roosevelt en les bousculant violemment puis en les frappant à coup de matraques.
Reposted by Observatoire Toulousain des Pratiques Policières
ldhlille.bsky.social
Solidarité avec nos camarades de l'observatoire de Toulouse

@ldhtoulouse.bsky.social
ldh.fr
Hier soir lors d'un rassemblement en soutien à la #Palestine à #Toulouse il a été fait usage de la force pour disperser les manifestants & à l'encontre d'observateurs. Manifester ne constitue pas un crime, encore moins quand il s’agit de se mobiliser pour la fin d’un génocide
www.ldh-france.org/m...
Photo de Serge d'Ignazio de deux policiers interpellant violemment un manifestant
Reposted by Observatoire Toulousain des Pratiques Policières
ldh.fr
Hier soir lors d'un rassemblement en soutien à la #Palestine à #Toulouse il a été fait usage de la force pour disperser les manifestants & à l'encontre d'observateurs. Manifester ne constitue pas un crime, encore moins quand il s’agit de se mobiliser pour la fin d’un génocide
www.ldh-france.org/m...
Photo de Serge d'Ignazio de deux policiers interpellant violemment un manifestant
opptlse.bsky.social
Communiqué de l'OPP - Observatoire toulousain des pratiques policières, sur les violences policières à #toulouse le 02 octobre 2025.

@violencespolicieres.fr
Violences policières à Toulouse
Une manifestation pour le soutien à la flottille de Gaza 
violemment réprimée par la police toulousaine
La nouvelle était tombée dans la journée, le préfet Durand avait décidé d’interdire la manifestation 
organisée par un collectif d’organisations.
À 18h30, un dispositif d’une centaine de policiers de la Compagnie Départementale d’Intervention -
CDI et des CRS s’est mis en place à Jean Jaurès. Les militant·es chantent se regroupent sur le site, les 
services d’ordre - SO des différents syndicats CGT, SUD et FSU se positionnent en tête du 
rassemblement en se tenant par les bras en mesure de protection.
Un officier de police judiciaire - OPJ signifie aux manifestant·es que la manifestation est interdite et 
que toute personne ne se dispersant pas sera verbalisée. A 18h41, suite à un coup de sifflet de l’OPJ,
une charge extrêmement violente sur le cortège est effectuée suivie du tir de nombreuses grenades 
dont plusieurs grenades de désencerclement. Une fois de plus, ces grenades censées, comme leur nom 
l’indique, être utilisées de manière défensive ont été utilisées comme des armes d’attaque contre des 
manifestant·es qui ne présentaient aucun danger pour les policiers. Des militant·es syndicaux et 
associatifs ont été violemment matraqué·es, mis·es à terre, traîné·es au sol sur plusieurs mètres. Deux 
militant·es ont été évacué·es aux urgences hospitalières pour des plaies à la tête. Les drapeaux et la 
banderole de tête sont, tels des trophées, arrachés et confisqués par les policiers Dans l’heure qui a suivi, les policiers des CDI et de la BAC ont « fait la chasse » aux « manifestant·es » 
et ont procédé à de nombreuses charges, interpellations et tirs de grenades ; en particulier dans la rue 
de Rémusat qui a été littéralement noyée sous le gaz lacrymogène en intoxicant de nombreuses et 
nombreux passants et badauds. Le comportement des policiers a été, verbalement et physiquement, 
extrêmement agressif, bien loin de la maîtrise que l’on serait en droit d’attendre de personnes 
dépositaires de l’ordre public.
Quelle était, hier soir à Toulouse, la nécessité d’utiliser la force et des armes de guerre contre des 
personnes rassemblées pacifiquement en soutien à la Palestine dont le Président Macron vient de 
reconnaître l’État ?
L’usage de la force a été totalement disproportionnée et ne souffre d’aucune justification au regard 
des constats effectués ce 2 octobre par les membres de l’OPP.
Les observateur·es de l’OPP pris à partie, bousculé·es, frappé·es et matraqué·es par les 
policiers toulousains de la Compagnie Départementale d’Intervention - CDI
Un des OPJ qui pilotait le dispositif policier avait donné le ton quand il s’était adressé aux 
observateur·es avant le rassemblement en leur signifiant qu’il considérait qu’ils et elles étaient des 
manifestants et qu’ils et elles seraient traité·es en conséquence. Les observateur·es lui avaient 
répondu en lui disant qu’ils et elles n’étaient pas manifestants, en lui rappelant leur statut au regard 
du droit international et qu’en particulier ils et elles avaient le droit d’observer une manifestation 
même si celle-ci était interdite. 
Les policiers des CDI sous ses ordres ont donc suivi les consignes et s’en sont pris aux observateur·es 
sur les allées Roosevelt en les bousculant violemment puis en les frappant à coup de matraques
Reposted by Observatoire Toulousain des Pratiques Policières
ldh.fr
LDH France @ldh.fr · May 21
Condamnation d’un membre de la BRAV-M pour violences le 1er Mai 2021 sur un membre de l'Obs. parisien des libertés publiques. La #LDH rappelle l’urgence de la dissolution de cette unité au mode opératoire dangereux & de mettre fin à l’impunité des #violencespolicières.
www.mediapart.fr/jou...
Un policier de la Brav-M condamné à un stage de citoyenneté pour des violences
Loïc M. avait poussé et fait tomber un observateur de la Ligue des droits de l’Homme qui filmait la manifestation du 1er mai 2021. Un autre procès, cette fois pour des violences commises lors de la m…
www.mediapart.fr
opptlse.bsky.social
Les évènements d'hier à #Toulouse nous ont motivé à ouvrir un compte ici.
La charge, effectuée par la #CRS84 est brutale. Les grenades de désencerclements utilisées de manière offensive. Beaucoup de passants, journalistes et même deux observateurs ont étés frappés sans aucune raison.