Ah ah tellement

Seulement 7 en commun cette année (peut être 8 avec Avatar, que j’ai pas encore vu).

Surpris de la présence de #BetterMan (j’étais persuadé que c’était une merde ce truc et j’avais dû rater tes posts). Je me doutais des Soderbergh, du Johnson, d’Avatar, de Weapons, du Boyle. Par contre je m’attendais pas à #Sinners et #Rapace

Ça a l’air tout naze

Ce qui me surprend, c’est que les nego soient rendues publiques à renforts d’interviews, de communiqués et d’offres médiatisées

J’étais persuadé que le gars était déjà richissime

Mais il l’était pas déjà, milliardaire ??????????

T’es plus à Rennes ??? Je débarque

Ça sent une espèce de règlement de compte, non ?

Je pense que ça aura un lien avec le docu de Dan Farah #TheAgeofDisclosure, comme un pont entre Rencontres du 3e type et Pentagon Papers (au risque de faire redite ?).

Et puis une référence « gratuite » à #Shining quelques années après #ReadyPlayerOne et à #Ratatouille quelques années après #EverythingEverywhereAllAtOnce, c’est non !

Effectivement. Puis Larry, le papa de David, est très copain avec Donald.

La plaie !

Et enfin, un mot sur la mise en scène de LONERGAN, particulièrement bluffante, accumulant avec une étonnante humilité des idées toutes plus novatrices les unes que les autres (la caméra qui flotte dans les airs, les changements d'axe pour provoquer le malaise...).

Que c'est appréciable également de porter l'art-thérapie au pinacle. Et que cette série est drôle aussi, tellement de « bouffées » comiques qui créent des respirations bienvenues (petit kink pour la réplique tordante de Mortimer sur le « petit » salon chez Suzanne).

Jamais stigmatisants, toujours bienveillants, les dialogues sont écrits avec précision et vitalité. #Empathie a d’ailleurs été écrite avec l'aide de 2 psychiatres, et ça se sent. Que c'est bon une vision positive de la CLOZAPINE.

La dimension psychiatrique du récit, à la fois réaliste et militante, est la plus value incontestable de cette série. Les patients sont toujours filmés à bonne distance, avec pudeur, authenticité et respect, pour délivrer in fine un discours profondément humaniste et engagé

comme vecteur de résilience. Et Thomas NGIJOL, waouh, révélation totale. Acteur jusqu’à présent cantonné à des comédies franchouillardes potaches dont je raffolais peu, mais là, il est inattendu et déchirant dans le rôle de cet agent maltraité.