Glucksmann est fidèle au bellicisme de BHL, son mentor et compagnon de route de son père André.

L'obsession de BHL pour les croisades choisies est légendaire. Il suffit de regarder ses livres : « La Guerre sans l'aimer », « Réflexions sur la Guerre... », « De la guerre...».

Serbie, Libye...

On a déjà les premiers extraits!
De la grande littérature carcérale

Et potentiellement dangeureux.

Cette obsession de l'ordre, du travail, des "valeurs" patriarcales et du virilisme, la France l'a connue avec la « révolution nationale » du régime de Vichy et du pétainisme.

On se rapproche de plus en plus des lois de Nuremberg dis donc.

Avec cet "hygiénisme" xénophobe et raciste, les nazis de la Maison Blanche visent en quelque sorte, 90 après, le même « maintien de l'héritage génétique et racial ».

Comme dirait Léa Salamé, l'essentiel c'est qu'il y ait un « moment de radio » hein 😅

Et de favoriser du même coup les tendances nationalistes, xénophobes, racistes et foncièrement anti-musulmanes d'auteur.es chez Grasset. Et ça fonctionne.

Parmi les maison d'Hachette restantes, entre Stock, Calmann-Lévy, JC Lattès et Grasset, c'est la dernière qui reste la cible n*1 de Bolloré

C'est vrai. Mais pour le moment, le Grasset-Bolloré ne diffère en rien du précédent Grasset. Ce n'est pas Fayard.

Olivier Nora reste aux manettes et les autrices/auteurs ne quittent pas le bateau. Il faudra attendre une nomination de Bolloré type Lise Boëll chez Fayard

On devine donc que le terme de « mouvement passionnément antisémite » répété à l'envi pour désigner LFI est une co-production Malka / Enthoven

www.lemonde.fr/societe/arti...

Grasset publie presque toutes les sensibilités (Despentes, Sorj Chalandon, Michelle Perrot, Alice Coffin...) et reste la maison de Malka, Yann Moix, BHL, Philippe Val ou Caroline Fourest (« Le Vertige MeToo »).

Le coup de Malka n'est pas donc le dernier du genre chez Grasset

Pour le coup, mieux vaut écouter sur France Inter la série « Face à l'Histoire » et deux épisodes assez remarquables : « Le fantôme de Philippe Pétain » et « Sigmaringen, le crépuscule des bourreaux ».

www.radiofrance.fr/franceinter/...

Du Enthoven dans le texte.

À la sortie du tribunal hier, @lemonde.fr raconte qu'il a de nouveau qualifié LFI de « mouvement passionnément antisémite ».

www.lemonde.fr/societe/arti...

Même sentiment au visonnage des 2 épisodes. Personnages plats, aucune intrigue, une ville qui n'est jamais filmée (Derry, c'est dans le titre!) ou demeure trop propre, des anachronismes...

Profond ennui.

En revanche, 1962 ne correspond pas aux romans. Il se déroulent en 1957/58 et 1985 ensuite.

Me demande plutôt si Hollywood sait encore nous faire croire à ses histoires.

• La série a « Derry » dans le titre et ne prend pas le temps de traîner dans ses rues.

• Des personnages plats.

• En 1962, un militaire noir américain (Leroy Hanlon) victime de racisme et soutenu par sa hiérarchie?

"Every wall is a door", Emerson wrote. And Trump or his MAGA Zombies gonna find out eventually

... le servant de la haine et de l’oppression, cette génération a dû, en elle-même et autour d’elle, restaurer à partir de ses seules négations une part de ce qui fait la dignité de vivre et de mourir. »

Albert Camus, « Discours de Suède », 1957

... Héritière d’une histoire corrompue ou se mêlent les révolutions déchues, les techniques devenues folles, les dieux morts et les idéologies extenuées, ou de médiocres pouvoirs peuvent aujourd’hui tout détruire mais ne savent plus convaincre, ou l’intelligence s’est abaissée jusqu’à se faire...