Saïd Benmouffok
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Professeur de philosophie Chef de file de @placepubliqueparis.bsky.social pour les municipales de 2026 https://saidbenmouffok.fr
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Quand les grands magasins parisiens et régionaux ouvrent leurs portes à Shein, ils cautionnent un modèle économique qui détruit la planète et piétine les droits humains.
Ils deviennent complices.

À Paris, nous avons besoin de commerce responsable, pas de fast fashion toxique.

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Il y a pourtant une solution simple, concrète et efficace :
Récupérer les invendus et les excédents alimentaires, pour les redistribuer à ceux qui en ont besoin.

Mais pour que cela devienne une réalité, j'ai besoin de vous !

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Pendant que nos étudiants sont contraints de choisir entre manger, se soigner ou se loger, à Paris, en 2023, 87 000 tonnes d’aliments encore consommables ont été jetées. 150 kilos par habitant. Chaque année.

C’est absurde. C’est injuste. C’est indécent.

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Je parle de Paris, ma ville, mais ce combat est national et nous devons le porter partout.

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Lorsque j'ai commencé à parler de gaspillage et de précarité alimentaires, beaucoup d'entre eux m'ont dit que je perdais mon temps, ce baromètre prouve le contraire. Nous devons agir et le faire vite !

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Il est urgent que les responsables politiques cessent de détourner le regard. Nous avons besoin d’une réforme structurelle.

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La précarité étudiante n’est plus une exception, elle est devenue la norme.
Et cela, nous ne pouvons pas l’accepter.

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Comment tolérer que dans l’un des pays les plus riches du monde, 7ᵉ puissance mondiale, l’accès à l’éducation se fasse au prix de la privation ?

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En 2025, la jeunesse qui étudie est contrainte de choisir entre se nourrir, se soigner et se former.

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Et pour beaucoup, la pauvreté conditionne jusqu’à leurs choix d’avenir : près d’un tiers ont renoncé à l’établissement qu’ils souhaitaient intégrer, un quart ont modifié leur orientation, et certains songent à raccourcir leurs études faute de moyens.

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Forcées de choisir pour manger, deux étudiantes sur cinq ont déjà renoncé à des soins gynécologiques et 23 % vivent la précarité menstruelle. Plus de six sur dix déclarent ressentir majoritairement des émotions négatives.

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Cette précarité n’est pas qu’économique, elle touche à la dignité.

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Plus d’un tiers des étudiants sautent régulièrement des repas par manque d’argent. Près d’un sur six dépend aujourd’hui de l’aide alimentaire. La moitié réduit les portions ou se tourne vers des produits moins chers, avec des conséquences directes sur leur santé.

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Hier, l’IFOP a publié son baromètre annuel sur la situation des étudiants en France. Vous vous en doutez, si j'en parle aujourd'hui c'est parce que les résultats sont glaçants...

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Sébastien Lecornu, Emmanuel Macron, voilà des propositions concrètes.
Je vous ai mâché le travail, à vous d’agir maintenant et de prouver que vous avez vraiment à cœur l’avenir de notre jeunesse.

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- Développer les séjours d’échanges linguistiques et culturels. La vraie ouverture sur le monde, pas un uniforme et un drapeau.
- Investir dans la formation et l’emploi des jeunes. Pour qu’ils puissent enfin construire un avenir concret.

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- Créer un revenu d’autonomie pour les jeunes majeurs et étudiants. Parce que deux semaines en treillis ne paient ni la nourriture ni le loyer.

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Alors, puisqu'à droite les idées vous manquent, en voici quelques-unes pour agir concrètement :
- Reverser le budget du SNU à l’Éducation nationale. Les professeurs et les élèves apprécieront.

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Il est temps de changer de cap. Il est temps d’agir pour notre jeunesse !

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En réalité, le SNU n’est qu’un symptôme du bilan d’Emmanuel Macron en matière de jeunesse : réforme du bac désastreuse, Parcoursup transformé en lessiveuse, explosion de la précarité étudiante, mobilité sociale à l’arrêt, anxiété climatique sans réponse politique...

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Voilà le supplément d’âme que Macron aura tenté d’insuffler à sa politique de jeunesse : un imaginaire national de substitution, une logique militaire, à mi-chemin entre l’embrigadement et le divertissement bas de gamme.

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Les images officielles du SNU en disent long : des adolescents au garde-à-vous sous le drapeau, d’autres exécutant des chorégraphies mal orchestrées.

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Ce projet révèle surtout une vision passéiste de la jeunesse, en complet décalage avec ses aspirations à l’autonomie, à l’émancipation et à la liberté.

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