#Ciné2023
152. Une affaire d'honneur

On rigolait pas avec l'honneur en 1887 ! Ça se défie en duel à tours de bras ! Hyper bien chorégraphiés, ces duels ne sont qu'une démonstration d'éros mal placés.
Instructif.

#Ciné2023
151. Cash

Dans un scénario original aux multiples rebondissements, Raphaël Quenard tient bien son rôle.
Sympa.

#Ciné2023 @NetflixFR
150. Maestro

Globalement, je me suis ennuyée (j'ai l'impression que le film s'adresse aux connaisseurs de Bernstein) mais Carey Mulligan a une belle occasion de nous émouvoir.
#WCC2023
#OpéraMariaCallas

#Ciné2023
149. La chimère

Loin d'avoir tout compris, j'ai mis du temps à accrocher (j'ai même failli partir) à l'histoire de ce pilleur de tombes, à la recherche de trésors et de son amour perdu.
Mystérieux, Josh O'Connor déambule entre personnages excentriques et femmes charmées.

#Ciné2023
148. Winter break

Voici un film de Noël à ajouter à la liste des films de Noël !
Drôle, intelligent, enneigé, émouvant, terriblement humain grâce à ses personnages tous imparfaits et si attachants.

#Ciné2023
147. Fremont

Heureusement que les 10 dernières minutes amènent un peu d'enjeu (et Jeremy Allen White) à un film court (<1h30) qui semble sans fin.
En résumé, je me suis ennuyée.

#Ciné2023
146. Les trois mousquetaires : Milady

Plaisant divertissement aux grandes ambitions : les scènes de bataille sont presque aussi impressionnantes que dans Napoléon.
Eva Green est toute en ambiguïtés.

#Ciné2023
145. Past lives

Tout en douceur, tout en pudeur, les sentiments amoureux sont forts, et les regrets tout autant.
Un très beau film 🥰
(J'ai déjà envie de le revoir)

#Ciné2023
144. Soudain seuls

Haletant et stressant, ce film de survie tient la route pour 3 raisons : la froideur de cette île, Gilles Lelouche et surtout, Mélanie Thierry.
Vraiment bien (et dissuasif contre les croisières en Antarctique).

#Ciné2023
143. Perfect days

Ode à la banalité de nos vies, à la simplicité et au choix de n'être que dans le "maintenant" pour profiter de l'essentiel : la poésie autour de nous et la bonne musique.
Et ce dernier gros plan sur K. Yakusho avec la voix de Nina Simone (Perfection).

#Ciné2023
142. Le temps d'aimer

Le film, pas à la hauteur de ses 1ères images (traumatisantes), est sauvé par sa dernière scène.
A. Demoustier n'a qu'une seule expression de tout le film, V. Lacoste est + convaincant.
Plus touchée par l'histoire mère-fils que celle du couple.

#Ciné2023
141. Napoléon

Aussi épiques et grandioses soient-elles, des batailles très bien filmées ne font pas un grand film. En plus, Joaquin Phoenix est trop vieux pour le rôle.

#Ciné2023
140. La passion de Dodin Bouffant

La mise en scène est remarquable de fluidité, avec une caméra toujours en mouvement, la complicité entre les acteurs évidente.
Mais que ce film représente la France aux Oscars, je comprends pas (les américains ne sont pas si gourmets)

#Ciné2023
138. How to have sex

Portrait désenchanté et émouvant d'une ado qui, enivrée de musique et de vodka, navigue entre ses sentiments profonds et ce que la "société" attend d'elle.
L'actrice principale nous fait douloureusement sentir cet écartèlement.

#Ciné2023
137. Little girl blue

Trop somnolé pour avoir un avis éclairé sur ce film-ovni où Marion Cotillard passe d'actrice à Carole Achache, et bute parfois.
Je retiens beaucoup de douleurs transmises de femme en femme, comme un poids dont la réalisatrice se déleste.

#cine2023 Le consentement
Les mots sont + puissants que les images : V.Springora disait l’innommable d’une écriture blanche ou elliptique, V.Filho adapte scolairement ce récit qui perd en puissance avec des images choc qui ne disent rien de l’indicible.
Reste le jeu de K.Higelin, JO.Rouve & L.Casta

#Cine2023
Un #secondtour au scénario fainéant certes rempli de bonnes intentions. Un Dupontel gentillet qui s’oubliera vite

Du grand du bon du long Scorcese. #killersoftheflowermoon
(Trop court ?) (j’aurais bien pris encore un peu du tout).#cine2023 #scorcese

Et si face ce monde brutal nous parlions de poésie, de différences, d’acceptation, de liberté, d’envol, de tolérance, de choix, de l’amour inconditionnel d’un père pour sa femme & son fils, de Romain Duris & surtout de Paul Kircher, j’aimais déjà le père, tel père tel fils… #cine2023 #leregneanimal