Non aux déserts pharmaceutiques !

NON à la fermeture du service de chirurgie et bloc opératoire de l'hôpital d'Apt ! Signons et partageons la pétition des soignant·e·s pour le maintien du service de chirurgie de l'hôpital d'Apt :...

Deux cents personnes se sont rassemblées pour protester contre la potentielle fermeture des urgences de nuit de l'hôpital de Magny-en-Vexin. Cette commune du Val-d'Oise est située en plein désert médi...

Charlotte Blandiot-Faride, maire d'une commune de Seine-et-Marne, soutient avec des centaines d'élus locaux une proposition de loi transpartisane pour lutter contre les déserts médicaux en régulant l'...

Le ministre de la Santé Yannick Neuder a dévoilé vendredi les 151 zones rouges, principalement au centre et sud-ouest hors littoral de la France, qui bénéficieront dès septembre du soutien de médecins généralistes, jusqu'à deux jours par mois, pour lutter contre les déserts médicaux.

Le dispositif lancé en 2022, dont le gouvernement s’est inspiré, compte aujourd’hui 750 généralistes qui se relaient, au fil des semaines, dans huit centres de santé.

La mesure, qui prévoit de demander à des médecins d’aller prêter main-forte dans les territoires les moins bien pourvus, s’appliquera à partir de septembre, sur la base du volontariat.

Le jeudi 19 juin, les sénateurs ont adopté une nouvelle loi sur la profession infirmière pour en redéfinir leurs missions. Dans un contexte de manque d'accès aux soins, de vieillissement de la population, de déserts médicaux persistants et du retour de la politique d'efficacité à l'hôpital public, cette loi est en réalité d'un nouvel écran de fumée.Notre Classe / Santé / Sénat / Casse de l'hôpital / Infirmière

A Baugé-en-Anjou, commune nouvelle du Maine et Loire de 12 000 habitants, la maison de santé compte 65 professionnels de santé, et bientôt 80. Une hyperattractivité rare qui lui permet de ne pas souff...