Valerie M. Delmotte
Valerie Masson-Delmotte is a French climate scientist and Research Director at the French Alternative Energies and Atomic Energy Commission, where… more
Source: Wikipedia
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Reposted by: Valerie M. Delmotte
🌡️ The September 2025 #C3S Climate Bulletin reports the third-warmest September globally, with an average surface air temperature of 16.11°C — 1.47°C above estimated pre-industrial levels. Global average sea surface temperature reached 20.72°C, the 3rd-highest on record for September.
Reposted by: Valerie M. Delmotte, Diane E. Pataki
📣 Attention: Early-career researchers from developing countries & countries in transition!
Are you interested in becoming a Chapter Scientist and supporting author teams for #IPCC’s Seventh Assessment Report?
Apply by 18 Oct 2025
🔗 www.ipcc.ch/2025/10/07/c...
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Reposted by: Valerie M. Delmotte
❗ Infections à virus du Nil occidental : désormais 41 cas autochtones, dont 7 en Île-de-France pour la première fois.
13 formes neuro-invasives (celles les plus graves) parmi eux, et un patient très âgé est mort.
🦟 Attention au moustique classique, vecteur de ce virus!
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13 formes neuro-invasives (celles les plus graves) parmi eux, et un patient très âgé est mort.
🦟 Attention au moustique classique, vecteur de ce virus!
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Reposted by: Valerie M. Delmotte
Cyclogénèse explosive de la dépression de tempête #Amy au nord des îles britanniques. Sur cette animation AIRMASS du satellite MTG, on visualise notamment l'advection d'air polaire depuis le Groenland et le vigoureux jet d'altitude en rouge. @eumetsat.int #stormAmy
by Valerie M. Delmotte — Reposted by: Juan Cole
A bloc of oil-producing states with powerful petrochemical interests is distorting scientific findings and opposing any controls on new plastics.
Preventing a weak treaty was a victory for those advocating strong, binding measures regulating plastic production.
www.science.org/doi/10.1126/...
Preventing a weak treaty was a victory for those advocating strong, binding measures regulating plastic production.
www.science.org/doi/10.1126/...
UN politics won’t deliver an ambitious plastics treaty
Negotiators again failed to finalize the text for a global plastics treaty in Geneva in August 2025. The talks exposed two harsh truths. Consensus on the treaty text, where no state formally objects, ...
www.science.org
Reposted by: Valerie M. Delmotte, Jonathan A. Foley
NEW – EAT-Lancet report: Three key takeaways on climate and diet change | @orladwyer.carbonbrief.org @yaninequiroz.bsky.social @giulianaviglione.bsky.social
Read here: buff.ly/8XCDGp6
Read here: buff.ly/8XCDGp6
Vous trouverez ici à la fois notre article, un éditorial (à l'angle éthique), des points de vue contradictoires, et des points de vue politiques, y compris à l'angle des droits des peuples autochtones, ici :
www.frontiersin.org/journals/sci...
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www.frontiersin.org/journals/sci...
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Nous rappelons ce qui est déployable, efficace, prouvé pour protéger les régions polaires sans tenter des interventions incertaines dans des écosystèmes fragiles : renforcer les effets de décarbonation et les aires marines protégées
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et donc diversion d’attention et ressources vers des approches spéculatives aux conséquences incertaines.
Ces concepts pourraient être détournés comme stratégie pour créer une illusion de solution au détriment des efforts de décarbonation ("complacency", "predatory delay")
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Ces concepts pourraient être détournés comme stratégie pour créer une illusion de solution au détriment des efforts de décarbonation ("complacency", "predatory delay")
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Leur déploiement à grande échelle reste incertain et prendrait des décennies pour les investissements dans les infrastructures et les structures de gouvernance, ce qui en fait des réponses incertaines et tardives par rapport aux leviers d’action pour l’atténuation –
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Les cadres complexes de protection de l’environnement et de gouvernance des régions polaires rejetteraient probablement des opérations de terrain et des projets de grande échelle. Un déploiement unilatéral serait associé à des risques géopolitiques.
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Les coûts initiaux seraient très élevés (centaines de milliards de $), le déploiement demanderait des décennies voire davantage de maintenance, des ressources qui ne sont pas disponibles ou seraient au détriment de la recherche et des efforts de décarbonation rapide
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Leur déploiement entraînerait de sérieux dommages environnementaux dans les régions polaires fragiles (introduction de polluants, infrastructures, logistique) mais aussi de graves conséquences imprévues (via la circulation atmosphérique et océanique notamment)
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Au final, aucun de ces concepts ne respecte les critères requis pour être considéré comme approche responsable notamment pour leur faisabilité et probabilité de succès
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injection d'aérosols dans la stratosphère pour réfléchir le rayonnement solaire et limiter le réchauffement polaire : moins efficace pendant la nuit polaire, injections répétées, coûts logistiques, risques en cas d'interruption, pas d'effet sur CO2, effets indésirables via circul. atmosphérique
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Fertilisation de l'océan austral par l'ajout de fer pour doper les blooms de phytoplancton et absorber du CO2 atmosphérique : peu efficace, rejets d'autres gaz à effet de serre, modification des écosystèmes, déficit en nutriments dans d'autres régions (effet sur pêcheries) via circulation...
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Déployer des rideaux sous-marins pour empêcher l'eau de mer chaude de faire fondre les parties flottantes de l'Antarctique : difficultés de mise en oeuvre et logistiques, pollutions, modification de la circulation océanique et dommages aux écosystèmes
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Stopper l'effet lubrifiant de l'eau sous les secteurs des calottes qui glissent rapidement en forant pompant l'eau sous glaciaire : énormes difficultés logistiques, coût énergétique énorme, introduction de contaminants + faible efficacité (réorganisation de l'écoulement de l'eau)
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Gérer la glace de mer en pompant l'eau de mer et en la projetant au-dessus de la glace de mer pour l'épaissir : nombre massif d'équipements qui seraient nécessaires pour avoir un effet, manque d'infrastructure, dispersion d'équipements... logistiquement infaisable
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Gérer la glace de mer en dispersant des billes de verres pour augmenter l'albédo : efficacité incertaine, déploiement implausible (armada de bateaux, quantité de matériaux), et surtout toxicité pour l'écosystème marin : pollution délibérée (ce qui a conduit à stopper un projet)
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Nous avons proposé une méthodologie d'évaluation critique, avec 6 critères essentiels et objectifs définissant ce qui peut relever d'une approche responsable pour limiter l'escalade des risques climatiques (dimensions de faisabilité et déploiement)
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Différentes terminologies peuvent être associées à différentes perceptions : ingéniérie climatique, technologiques climatiques émergentes, régération, restauration, réparation climatique, ou interventions (analogie médicale - qui suggère quelque chose de ponctuel, précis)
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Ces concepts sont proposés en complément possible voire alternative à la réduction des émissions de gaz à effet de serre.
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C'est dans ce contexte qu'émerge la promotion de différents concepts de géo-ingéniérie polaire, des interventions technologiques ciblant spécifiquement la glace de mer, les calottes, l'océan et le climat polaire
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Les régions polaires sont aussi caractérisées par des conditions extrêmes, des environnements fragiles, des difficultés logistiques, et des cadres spécifiques de gouvernance.
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Implications planétaires via l'accélération de la montée du niveau de la mer, la circulation océanique, les flux de gaz à effet de serre qui peuvent être induits par le dégel des sols gelés...
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Risques graves pour des espèces et écosystèmes terrestres et océaniques uniques et fragiles, pour les modes de vie des communautés locales et autochtones de l'Arctique
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Amplification polaire du réchauffement, recul de la cryosphère : neige, glace de mer, déstabilisation de plateformes de glace flottante, perte de masse du Groenaldn et de l'Antarctique
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Le point de départ tient aux bouleversements des régions polaires induit par la réponse du climat aux émissions de gaz à effet de serre provenant des activités humaines
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