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Les tests des récentes sorties Blu-ray sont sur https://testsbluray.com, tout simplement ! (On cause aussi un peu ciné plus largement)
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Potemkine éditent Retour à la raison, 4 courts de Man Ray accompagnés en musique par le groupe SQÜRL (feat Jim Jarmusch), et restaurés assez efficacement en 4K. Notre test détaillé est à retrouver en ligne !

https://testsbluray.com/2025/10/19/test-blu-ray-man-ray-retour-a-la-raison/
Il y avait la découverte de la plaque de Michael Mann aujourd'hui, je suppose que cela permet, pour les images, d'avoir toutes les plaques. Je passerai voir demain matin si elle a été retirée.
Y a un vrai projet structurel : les jeunes excellents qui ont tous une culture commune car ils ne vont plus au point de deal grâce à la signalisation : hop, dans le GPV (Groupe de Protection des Vieux).
On le retrouvera d'ailleurs demain matin au Palais Bondy pour sa masterclass, évènement qui cloturera pour moi ce festival #Lumiere2025 !
Je crois qu'il faudrait carrément demander à Dom de designer la fameuse signalétique qui dissuaderait les clients.
...à l'époque, et qu'il pouvait alors se sentir bien seul. Quand il voit la carrière à long terme du film, et l'accueil qui lui a été fait, il ne se sent plus seul.
Et comme la plupart des invités, il s'est dit ému de voir la salle pleine, la ferveur des gens, pour lui et son film, même si The Killer avait connu à l'époque un beau succès à l'international. Il n'empêche que Woo avait du batailler pour imposer ses influences, pas forcément ultra diffusées à HK...
...qu'il est donc allé piocher cela ailleurs. Pour lui, il n'y aurait pas de John Woo sans le cinéma français.
Il a surtout rendu hommage au cinéma français, celui de la nouvelle vague et celui de Melville, dont il s'est énormément inspiré, ce qui lui a donné l'impression de boucler la boucle en venant ici. Si HK avait sa propre culture, il pense qu'il lui manquait par contre son propre cinéma, et...
La présentation a été assurée par John Woo lui-même... depuis le haut de la salle ! Arrivé en fauteuil roulant, et ne se tenant que péniblement debout sur une canne, c'était plus simple pour lui comme ça.
Resto 4k (à partir du négatif 35mm) dans la lignée d'Une balle dans la tête, si ce n'est que l'hétérogénéité des différents plans est bien plus flagrante, et avec un paquet de fondus franchement en moins bon état (sans compter les plans flous). Par contre, les couleurs sont plus stables. 8/10
...totalement inutilisées le reste du temps, alors que ça nous ferait de la variété pour changer de la ritournelle revenant sans cesse !
7.5/10
Mais le film a un rythme de croisière efficace, déroulant tout du long, et si Sally Yeh doit composer avec un rôle franchement cliché (souvent réduit à friser l'hystérie), le trio masculin fonctionne très bien. J'avais par contre oublié que le film avait quelques mélodies sympas en fin de film...
Cela passe mieux à la revoyure, le film étant notamment très cohérent et ramassé (malgré son 1h55), même si pour un film qui défouraille autant, les protagonistes (dont le Grand Méchant) survivent un paquet de fois.
Après Une balle dans la tête, c'était le revisionnage de The Killer, là aussi via sa récente restauration 4k. The Killer, c'est aussi un film de mon adolescence, longtemps mon Woo préféré (cte cliché), mais j'en suis revenu, notamment à cause de son final que je trouve too much.
"Les maires doivent proposer des choix sains" ?
Caroline Vié, de 20 minutes. Je pense que Stéphanie Belpêche, du JDD, était là aussi.
Reposted by Testsbluray.com
Sur X, un compte proche de l’extrême droite se mobilise aussi contre… un festival de cinéma de patrimoine…
L'équipe du film était là pour présenter celui-ci, avec une discussion avec le public post-projection (mais perso, j'ai John Woo, donc on fait ses choix dans la vie). Lafitte était très en forme (et prépare sa 2nde réalisation, et s'excuse pour la 1ere).
C'est d'ailleurs ça le souci : au final, les persos les plus principaux ne sont pas les plus intéressants, les mieux fichus.
Sur 2h (que le film ne justifie jamais vraiment), ça fait progressivement un peu long.
5.5/10
...bourgeois sans réelle considération pour lui, tout en arrivant à faire face au perso de Lafitte sur son propre terrain. Le proxy moral du film est exactement là, peut-être de façon un peu flagrante, mais il est clairement le perso le mieux habité et écrit du film.
D'un côté, on comprend le proxy moral qu'elle incarne, mais le film semble parfois lui donner un peu trop d'ambiguïté, presque involontairement.
C'est finalement Personaz qui impressionne le plus, naviguant avec justesse le majordome dévoué et rigoureux, mais qui doit se farcir les caprices des...
Cela donne l'impression que le perso de Lafitte n'a rien à faire, qu'il n'est pas malin ou sait y faire, mais se contente de se baisser pour ramasser l'oseille (un paquet de paquet de fois). Foïs et son rôle un peu ingrat de fille "indigne" joue la stoïcité, mais semble surcompenser cela.