Yannick Le Fur
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Yannick Le Fur
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Product Manager Microids_off, ex-Rédacteur en chef de jvcom🎮. Cinéphage compulsif depuis plus de 35 ans🎞️, serial-watcher boulimique📺 et Corgiphile🐶.
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Vous êtes cinéphiles et vous vous demandez si il y a des films qui pourraient vous intéresser sur Free TV ? Ne cherchez plus, j’ai trouvé ce grand cru signé The Asylum (Sharknado) !
Conjuring: L’Heure du Jugement échoue à créer le frisson, n’arrive pas assez à caractériser la famille de victimes pour qu’on s'attache à elle et l’histoire des Warren résonne comme un passage de flambeau au détriment de la tension.

🖊 La p’tite critique : www.yansolo.fr/conjuring-lh...
Le duo évolue au long des épisodes, à l’image du scénario principal manquant sans doute de tension et d’un vrai sentiment de paranoïa. Toutefois, les scènes d’action assurent un bon rythme parfaitement orchestré par le studio français Fost (Le Sommet des Dieux) et les danois de Sun Creature.
Très bonne surprise que Splinter Cell: Deathwatch. Servi par une belle animation, une DA jouant habilement avec l’ombre et la lumière, et une réal élégante, la série propose un scénario classique mais efficace, usant notamment du fossé genérationnel séparant Sam et Zinnia.
Y a un petit quelque chose, oui.
Même si Ghost of Yotei n'est pas un monstre de puissance, il se distingue par sa palette de couleurs et sa gestion de la lumière parfaitement utilisées afin d'amener des ambiances différentes d'une région à l'autre. Un vrai plaisir pour l'œil.
Les premiers retours concernant le Frankenstein de Guilllermo del Toro sont excellents. Je n’en attendais pas moins. Ceci étant, comment dire non à un tel casting ?
Un immense artiste que j’ai toujours adoré et qui par certains cotés a participé à ma cinéphilie (je ne compte plus ses affiches que j’avais dans ma chambre à l'époque). RIP
Le grand Drew Struzan s’en est allé hier à l'âge de 78 ans. Il avait signé la plupart des affiches les plus mythiques du cinéma dans un style reconnaissable au premier coup d’oeil dont celle de The Thing réalisée en 24h suite à une demande express d’Universal.
Je ne sais pas ce qui m'impressionne le plus dans Une Bataille après l’autre. La prestation hallucinante de DiCaprio et Penn, le fait que Paul Thomas Anderson sache filmer des scènes d’action ou que Warner ait produit un film aussi ouvertement politique et anti Trump.
Ca me rassure presque un peu. Louper del Toro... J’aurai été au bout de ma vie.
Me dis pas qu’il y avait une projo publique du Frankenstein de del Toro en présence du maitre à Paris ?!
Elle se cloture par une fin ouverte qui devrait être importante pour le futur du DCU (S02 de Creature Commandos et le prochain Superman). Malheureusement, pas de S03 en vue pour le moment mais la promesse par James Gunn de revoir rapidement le personnage.
Excellente S02 de Peacemaker qui approfondit le personnage en le faisant passer d’anti-héros à quelqu’un de beaucoup plus humain. John Cena s’amuse comme un fou, Gunn se fait plaisir sur les dialogues et situations (cet ep. 6 et son twist incroyable !) et on en redemande.
On pourra aussi trouver certains partis-pris bizarres (le traitement d’Hitchcock) ou une fin tentant presque de réhabiliter Gein en s’attardant sur sa schizophrénie ou son rôle dans l’affaire Ted Bundy. Je n’ai pas passé un mauvais moment mais la saison reste étrange & hallucinée.
De plus, à l’inverse des autres saisons centrées sur les meurtriers, Ed Gein Story ne cesse de passer d’une histoire à l’autre, en revenant fugacement sur l’influence d’une mère autoritaire ou en multipliant les histoires secondaires.
En nous faisant entrer dans la tête d'Ed Gein (très bon Charlie Hunnam), on est témoins de ses fantasmes nécrophiles et de sa fascination pour l'Holocauste qui se matérialisent par des meurtres fictifs et des pratiques malsaines bien réelles, ceci brouillant un peu plus les cartes.
Monster : Ed Gein Story est très déstabilisante. Délaissant l’analyse clinique, la saison alterne entre réalité et fiction en juxtaposant les faits et plusieurs films influencés par le serial killer, de Psychose au Silence des Agneaux en passant par Massacre à la Tronçonneuse.
C’était de l’ironie. 😌
Exclusif, Amazon modifie le logo de 007 et les titres des James Bond les + problématiques par :

- From Ukraine with Love
- Live and Let Shine
- The Man with the Golden Bun
- A View to a Grill
- Licence to Chill
- Tomorrow Never Lies
- The World Is Good Enough
- No Time for a Pie
Deux exemples pour constater la différence entre l’original et la nouvelle affiche. Outre l’aspect étrange de la nouvelle pose, ce parti-pris témoigne d’une vision fortement biaisée de ce qui définit le personnage sans parler d’une morale bien pensante pour toucher... pour toucher qui en fait ?
Je n’en reviens toujours pas qu’Amazon se soit dit que c’était une bonne idée d’enlever le flingue de toutes les affiches digitales des James Bond. L’absurdité de la réflexion me laisse sans voix.
Ceux qui ne voient Ghost of Yotei que comme une pâle copie de AC Shadows n'ont a priori pas saisi la philosophie du titre dont l'approche cinématographique est omniprésente ds les cadrages, les ambiances ou l'utilisation du cinémascope. Ça fait vraiment partie de l'ADN du jeu !
Malheureusement entre des personnages peu ou pas développés (qui sont réellement Gisèle et Le Baron, aucune idée), le reveal loupé de l’identité du nazi, sa connexion mentale avec Ferraud jamais vraiment expliquée, on est face à une narration rushée qui minimise l’immersion.
Je viens de finir l’adaptation de la BD Les Sentinelles et c’était plaisant. Malgré le gloubiboulga d’influences et d’intrigues pas toutes maîtrisées et de vrais pbs d’écriture, ça fait plaisir de voir une prod fr de ce niveau, qui plus est servie par un beau production design.