Benjamin Cataliotti
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Monteur, critique et journaliste volubile. Parle de montage et d'écriture comme si c'étaient les choses les plus importantes au monde. Chronique Raccords et désaccords dans SOFILM. Threads démultipliés www.cataliottiediting.fr
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Entretien avec un empire dans @sofilm.bsky.social . Où David Cronenberg profite de la sortie du très beau "Les Linceuls" pour dire tout le mal qu'il pense des phrases toutes faites face au deuil, parle d'humour et de noirceur, évoque même le fiasco de son dernier date et rend hommage à David Lynch :
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J'adore aussi mais ça ne m'a pas empêché d'avoir les oreilles qui chauffaient un peu, notamment (surtout) quand arrive le tueur à la réunion du Christmas Club. On sort d'une série de séquences géniales, intenses, mais que la musique reprenne aussi sec, c'est le moment où mon attention a décroché
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c'est vraiment un drôle de film. Un peu comme Un peuple et son roi, finalement. L'impression que Schoeller cache différents micro-récits potentiellement géniaux dans ses films mais est retenu par une lourdeur, peut-être due à ses dispositifs, ou son envie de ne se fâcher avec aucun personnage
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Comme souligné par @lucyinthesky4.bsky.social , ça paraît presque être le meilleur service qu'on puisse rendre à un film que les gens doivent quand même avoir beaucoup de mal à identifier. Mais "Rembrandt" est vraiment tout sauf le pamphlet antinucléaire que les lobbyistes semblent avoir vu.
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Oui film dans un constant faux rythme, très alourdi par ses interprètes et l'impression qu'il ne veut pas non-plus trop brusquer, ou prendre de directions trop précises, ou, ou... mais je suis d'accord : sa singularité le rend touchant sans tout à fait le sauver
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En attendant que le gouvernement pousse son dernier souffle, mon texte dans @sofilm.bsky.social sur le montage de Nouvelle Vague, film acrobate qui s'amuse à danser avec les mythes, préférant aux jump cut godardiens la douceur de plans fixes cadrés - comme toujours avec Linklater - sur la jeunesse
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Une jolie clé donnée par Linklater dans @liberation.fr pour comprendre le style de son euphorique "Nouvelle Vague" : un film moins inspiré par Godard que par Jacques Rozier.
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J'ai cru que tu parlais du dernier Taylor Swift
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Ça n'arrive qu'aux gens qui critiquent PTA, désolé
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Un bain de soleil après l'autre : JE SUIS DÉJÀ MORT TROIS FOIS, le beau documentaire consacré à Jacques Nolot, réalisé par Maxence Vassilyevitch, pour lequel j'ai cosigné le montage, sera projeté ce jeudi 24 septembre au Cine104 de Pantin, à 20h. En présence du cinéaste et de son cinéaste d'acteur.
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Le temps perdu de Claudia Cardinale

(Il était une fois dans l'Ouest, Sergio Leone. 1968)
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Il finira le film comme autostoppeur, histoire d'arrêter les frais
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"Aujourd'hui, Maman est morte"
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Détendons-nous avec Jack Nicholson

(Cinq pièces faciles, Bob Rafelson, 1970)
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Il faut lire les critiques avant de voir les films de peur que le film spoile le contenu du texte.
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Oh pas trop loin, quelque part entre deux saisons
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(je suis à la saison 4. Je suis conquis)
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L'histoire retiendra qu'un pain de viande ne suffit pas toujours à empêcher un grand film
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La rentrée sera Rock ou ne sera pas
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Mon nouveau livre. Il sera sur les rayons mi-septembre.
Pour moi, "Géant" était beaucoup plus que le portrait d'un acteur...
J'espère que nous aurons l'occasion d'en parler après un film ou dans une librairie.
La couverture de mon nouveau livre "Géant. Vie et mort de Rock Hudson". On y voit Rock Hudson dans "Seconds", le visage à moitié dans l'ombre.