Toujours cette question : c’est quoi, quelqu’un qui est contre les anti-fascistes? 🧐

À la librairie le Black Market, à Dijon

Sophie Binet: "Les bras m'en tombent"
Le Monde: Sophie Binet menace de s'auto-mutiler.

Non, cela fait plusieurs fois que je ne suis pas d’accord avec la façon de présenter des faits. Je garde l’abonnement car mon fils prépare sp et le monde est le journal de référence. Mais si vous voulez en profiter pour y mêler la CGT, libre à vous.

Je comprends mieux pourquoi mes amis font des pieds et des mains pour envoyer leurs proches en Turquie pour les soins!
Bon courage à vous

On attend autre chose d’un journal de votre qualité. Ce titre est indigne: 0 contexte, elle a employé une expression toute faite et TRÈS connue, vous adoptez le point de vue des plaignants, d’emblée.
Ça fait 2 fois cette semaine ( on est mardi!) que je réfléchis à maintenir mon abonnement !

Ça m’a décidée à faire une heure de prévention au débotté vendredi avec mes 3e.

Je détestais Duras, j’avais commencé avec Le ravissement de Lol V Stein, aussi!
Et puis j’ai lu la Douleur, où elle raconte le retour d’Antelme des camps. Et c’est formidable!

J’échange avec des gens. Vraiment. Au boulot, avec mon gamin, avec de la famille un peu éloignée : j’explique les conséquences du fascisme, les dérives… je crois qu’il y a beaucoup de gens qui ne voient pas tout!

Dans le même temps, Blanquer n’hésite pas à accuser ces mêmes enfants d’être responsables de la baisse de niveau…

Comment ne pas être en grève demain?

Où l'on apprend que le père de l'enfarineur porte plainte contre... Bardella pour ses propos tenus après l'évenement. www.auposte.fr/bardella-con...

@lemonde.fr pouvez-vous mettre en regard la violence du projet de Bardella? Pour qu’on se rende bien compte de qui agresse qui.
L’orientation de vos articles me fait vraiment reconsidérer mon abonnement.

Je plussoie

"C'est pas bien de jeter des oeufs sur les politiciens" est une phrase qui n'a aucune signification dans un monde où les policiers déchirent quotidiennement des tentes de sans-logis au cutter.

Les manifestants sont des cibles vivantes, les casseroles sont interdites, les banderoles sont décrochées, la presse est aux ordres, il ne reste que le débat aka: donner encore la parole aux fafs.
Ils créent eux-mêmes les conditions de la violence.