(9/9)
Conclusion :
Les doctrines OTAN sont adaptées à des armées professionnelles, stables, face à des adversaires plus faibles.
👉 Elles ne fonctionnent pas dans une guerre totale contre un ennemi égal ou supérieur, menée par une armée massivement mobilisée.

(8/9)
Le problème n’est pas le niveau des instructeurs, mais les contraintes :
– volume immense de recrues
– formation extrêmement courte
– faible densité d’instructeurs
– conditions matérielles difficiles

(7/9)
Exemple concret : la médecine tactique.
Des experts occidentaux recommandent un usage plus limité du garrot. Logique chez eux.
❌ Inapplicable dans une armée de mobilisés formés en urgence.

(6/9)
Autre erreur occidentale : leur modèle suppose des soldats expérimentés, entraînés et motivés.
Or, dans une guerre totale, ces profils disparaissent très vite.

(5/9) Beaucoup de cadres supérieurs ukrainiens ont un statut de “vétérans” acquis hors du combat réel.
👉 Leur compréhension de la guerre moderne vient souvent de vidéos, pas du terrain.

(4/9)
Pourquoi ? Deux raisons majeures :
1️⃣ Les armées occidentales n’ont pas d’expérience récente de combats d’infanterie modernes.
2️⃣ Elles enseignent des programmes validés par des états-majors eux-mêmes déconnectés de cette réalité.

(3/9)
Oui, elles offrent une bonne formation individuelle (organisation, discipline, matériel).
❌ Mais cette formation doit être profondément adaptée : elle ne correspond pas à la réalité du front ukrainien.

(2/9)
Constat central :
👉 Les armées occidentales ne peuvent pas enseigner la guerre terrestre telle qu’elle est vécue aujourd’hui en Ukraine, en particulier le combat d’infanterie contre infanterie.

I hope so too, but I'm not optimistic. The EU is weak and divided, and the fifth column is large.